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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Marchande (1875)
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Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

TEXTE : musees-occitanie.fr

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Portrait de Léopold Petiet (1877)
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Le “Portrait de Léopold Petiet” est une œuvre peinte en 1875 par Marie Petiet, une artiste française reconnue pour ses scènes de genre et ses portraits. Ce tableau représente son père, Léopold Henri Petiet (1819-1885), qui était également peintre amateur. L’œuvre est actuellement conservée au musée Petiet de Limoux, une institution fondée grâce aux donations de la famille Petiet, notamment de Léopold, de son frère Auguste et de sa fille Marie.

TEXTE : Mairie de Limoux

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Vielle femme d'Aurus
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La “Vieille femme d’Aulus” est une peinture réalisée en 1884 par l’artiste française Marie Petiet. Ce portrait représente une femme âgée originaire d’Aulus, une commune située dans le département de l’Ariège en France. L’œuvre est conservée au musée Petiet de Limoux, ville natale de l’artiste.

Marie Petiet, née le 20 juillet 1854 à Limoux et décédée le 16 avril 1893 au Château de La Bezole, était une peintre française reconnue pour ses portraits et scènes de genre. Son travail met souvent en avant des personnages de la vie quotidienne, capturant avec sensibilité et réalisme les expressions et les émotions de ses sujets.

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Marie-Madeleine au désert (1877)
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Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Bartholo et Rosine (1877)
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Marie Petiet (1854-1893) était une artiste peintre française originaire de Limoux, en Occitanie. Élevée dans une famille d’artistes, elle a été initiée très jeune à la peinture par son père, Léopold, et son oncle, Auguste Petiet. Elle a également étudié sous la direction de Jean-Jacques Henner, un peintre alsacien renommé.

Parmi ses œuvres notables figure “Bartholo et Rosine", une peinture réalisée en 1877. Ce tableau illustre des personnages de la comédie “Le Barbier de Séville” de Beaumarchais, mettant en scène Rosine et son tuteur Bartholo. L’œuvre est conservée au musée Petiet de Limoux.

Le musée Petiet, situé à Limoux, abrite une collection significative des œuvres de Marie Petiet, offrant un aperçu de son talent et de sa contribution à l’art du XIXe siècle. Ce musée a été fondé grâce aux efforts de son mari, Étienne Dujardin-Beaumetz, également peintre et homme politique.

Pour en apprendre davantage sur Marie Petiet et admirer ses œuvres, une visite au musée Petiet de Limoux est vivement recommandée.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Portrait d’Elise
Chronologie
XIXe siècle - 2e moitié
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Ce portrait fut présenté au Salon de 1880. Il s’agit d’une amie du couple Dujardin-Beaumetz, Elise Calat, demeurant près de Limoux. Elle aurait posé plusieurs fois pour Marie Petiet.

Elise est assise dans un fauteuil, en pleine lumière, sur un fond brun très sombre, comme si elle se trouvait face à une fenêtre dans une salle obscure.

Cette oeuvre est l’un des rares portraits aux couleurs claires peint par Marie Petiet, le fond sombre contribuant à accentuer le jaune de la robe. On ne retrouve ni les camaïeux, ni les dégradés chers à l’artiste, mais deux touches de rouge – les fleurs de la ceinture et de la coiffure – enrichissent cette économie chromatique.

La toile a été découverte grâce une photographie, avant d’être signalée par son propriétaire au musée qui put l’acquérir en 1992.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

TEXTE : musees-occitanie.fr

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Rêverie (La Marichou) (1879)
Huile marouflée sur contreplaqué
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Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Guignol au village
Chronologie postérieur à 1886
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Guignol au village fut exposé au Salon de 1887 où il fut "fort remarqué". Cette mention, ainsi que la signature indiquent que Marie Petiet est alors mariée, et situent cette toile après 1886. Quelques modèles ont été identifiés : au premier rang à gauche Mademoiselle Pic, camériste de Marie Petiet, un valet de pied, reconnaissable à son gilet jaune à rayures et le père Pédémas, coiffé d’une casquette, régisseur du domaine.
Cette scène charmante et bien composée accuse cependant quelques faiblesses, en particulier dans le traitement des ombres et des touches. Le détail des marionnettes, singulier par sa facture enlevée, montre que Marie Petiet pouvait peindre d’une manière plus moderne.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

Portrait de Madame M. F.
Chronologie (1886 à 1889)
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Acquise en 2016 sous le titre Portrait d’une dame de qualité, cette toile est signée "Marie Beaumetz-Petiet", ce qui permet de la dater entre 1886, année de son mariage et 1893, celle de son décès.

Ces éléments ont permis de la rapprocher d’un tableau exposé au Salon de 1891, Portrait de Mme M. F., l’une des rares œuvres de la période connues par les sources. L’identité du modèle n’est pas connue, mais sa tenue de dentelle noire, ses bijoux, dont le croissant de lune décoré de diamants qu’elle porte dans les cheveux, laissent penser qu’il s’agit d’une grande bourgeoise, bien différentes des limouxines servant habituellement de modèles à la peintre.

Le style et les moyens picturaux mis en œuvre dans le Portrait de Madame M. F. semblent plus démontrer l’influence d’un peintre mondain comme Carolus-Duran, que celle de Jean-Jacques Henner chez qui s’est formée Marie Petiet. Cependant, le modelé des chairs et l’impression de douceur qui émane du visage restent caractéristiques de la manière de Marie Petiet. Il est ainsi permis de faire le lien entre cette œuvre et l’évolution sociale du couple Marie Petiet-Etienne Dujardin-Beaumetz, la carrière politique de ce dernier prenant une tournure nationale, les époux fréquentent des cercles plus mondains que par le passé.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

L’écaillère
Chronologie (1886 à 1889)
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On peut dater l’œuvre entre 1886, date du mariage de Marie avec Étienne Dujardin-Beaumetz, et 1889, lorsqu’elle apparaît dans le Catalogue illustré du Salon, à Paris.

La toile représente une jeune femme assise sur une chaise rustique, dans une harmonie de couleurs bleues et grises. Elle écaille des huîtres d’un geste sûr et précis, mais semble s’être interrompue un instant pour regarder le spectateur.

Devant le modèle, le coffre en vannerie est une authentique bourriche. Il sert de support à un panier d’osier et à une assiette d’huîtres ouvertes. Il s’agit de marennes plates, détails qui rappelle le goût documentaire de l’artiste. Ce qui semble la préoccuper dans cette œuvre est cependant moins la représentation des gestes du travail que de traduire une ambiance générale, marquée par la grande douceur qui émane du modèle.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Marie Petiet (1854 La Bezole (Aude) - 1893 La Bezole)

La jeune fille aux oies (1870)
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« La Jeune Fille aux oies » est une peinture de Marie Petiet, artiste française née en 1854 à Limoux et décédée en 1893. Cette œuvre, réalisée dans les années 1870, illustre le style réaliste de l’artiste, mettant en scène la vie quotidienne en milieu rural. Le tableau est actuellement conservé au musée Petiet de Limoux, dédié à l’œuvre de l’artiste.

Marie Petiet a été initiée très jeune à la peinture par son père et son oncle, tous deux artistes. Elle a étudié sous la direction de Jean-Jacques Henner, qui l’a orientée vers l’art du portrait. Son œuvre est imprégnée de réalisme et de fraîcheur, reflétant la vie provinciale de l’Aude.

Le musée Petiet de Limoux abrite plusieurs de ses œuvres, notamment « Guignol au village », « Jeune fille lisant une lettre » et « Les Blanchisseuses ».

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Jeunes filles à l’église
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« Jeunes filles à l’église » est une peinture de l’artiste française Marie Petiet (1854-1893), conservée au musée Petiet de Limoux. Cette œuvre représente des jeunes femmes assistant à une cérémonie religieuse, illustrant le talent de Petiet pour capturer des scènes de la vie quotidienne avec sensibilité.

En 2017, le tableau a été prêté pour l’exposition itinérante « Women Artists in Paris, 1850-1950 » aux États-Unis, mettant en lumière des femmes peintres formées à Paris. Après cette tournée, l’œuvre est retournée au musée Petiet en 2018.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Trois grisettes toulousaines (1879)
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“Trois grisettes toulousaines” est une peinture réalisée en 1879 par l’artiste française Marie Petiet (1854-1893). Cette œuvre représente trois jeunes femmes, appelées “grisettes”, qui étaient des ouvrières ou des employées de boutique dans le Toulouse du XIXᵉ siècle. La scène se déroule probablement sur le Pont Neuf de Toulouse, avec en arrière-plan les bords de la Garonne. Un détail notable est la présence de violettes accrochées à la robe de la jeune femme au centre, fleur emblématique de Toulouse.

Cette peinture est conservée au musée Petiet de Limoux, dédié à l’œuvre de Marie Petiet. L’artiste, originaire de Limoux, s’est formée dans l’atelier parisien de Jean-Jacques Henner et est reconnue pour ses portraits et scènes de vie quotidienne empreints de réalisme et de fraîcheur.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Le musée Petiet abrite plusieurs autres œuvres de l’artiste, telles que “Les Blanchisseuses” (1882) et “L’Écaillère” (1886-1889), qui illustrent également la vie quotidienne des femmes de la région.

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Les Blanchisseuses (1882)
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« Les Blanchisseuses » est une peinture célèbre de l’artiste française Marie Petiet, réalisée en 1882. Cette œuvre dépeint une scène de la vie quotidienne, illustrant des ouvrières dans un atelier de blanchisserie. Présentée au Salon de Paris en 1882, elle a été saluée pour le réalisme et la fraîcheur de sa représentation. Le critique Paul Leroi a notamment souligné « le piquant des physionomies, le naturel des attitudes et l’habileté consciencieuse d’exécution » de cette toile.

Aujourd’hui, « Les Blanchisseuses » est conservée au musée Petiet à Limoux, dans l’Aude. Ce musée, fondé grâce aux donations de la famille Petiet, abrite une collection significative d’œuvres de Marie Petiet, offrant un aperçu précieux de la vie provinciale française du XIXᵉ siècle.

Marie Petiet (1854-1893) était une artiste originaire de Limoux. Formée dans l’atelier parisien de Jean-Jacques Henner, elle est reconnue pour ses portraits et scènes de vie quotidienne, mettant en lumière les habitants et les activités de sa région natale. Son œuvre est empreinte de réalisme et de sensibilité, capturant avec authenticité la vie provinciale de l’époque.

Marie Petiet naît au château de La Bezole, près de Limoux, en 1854. Élevée dans le goût des arts, elle commence à s’exercer dans la copie des grands peintres sous l’influence de son père Léopold, lui-même peintre amateur.
Elle poursuit sa formation à Paris dans l’atelier du peintre Jean-Jacques Henner qui influence profondément son œuvre.

Durant quelques années, elle expose régulièrement à Paris au Salon, mais la peinture reste pour elle un loisir qu’elle pratique à La Bezole, choisissant le plus souvent ses modèles dans son entourage. De la période suivant son mariage avec le peintre et homme politique Etienne Dujardin-Beaumetz (1886), on connait très peu d’œuvres, son activité artistique semble beaucoup diminuer.

Avec son père Léopold, puis son époux, elle crée en 1880 et 1881 le musée qui porte son nom, en faisant don à la ville de Limoux des bâtiments et d’une partie de la collection familiale.

Marie Petiet s’éteint en 1893 à La Bezole.

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Autoportrait, Musée Petiet, Limoux.

René-Xavier Prinet, Musée Petiet, Limoux

Henry Caro-Delvaille, Musée Petiet, Limoux.

Edouard-Joseph Dantan, Musée Petiet, Limoux.

Madeleine Smith-Champion, Musée Petiet, Limoux.

Jean-Jacques Henner, Musée Petiet, Limoux.