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Bourré (Loir-et-Cher).
La maison éclusière du barrage de Vallagon, vue depuis la rive gauche du Cher sur Saint-Julien-de-Chédon.
Bourré (Loir-et-Cher).
La maison éclusière du barrage de Vallagon, vue depuis la rive gauche du Cher sur Saint-Julien-de-Chédon.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes et barrage-écluse de Vallagon sur le Cher.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Le Gouvernement français décide en 1809 de creuser un canal en Berry.
Le tracé retenu comprend trois branches à partir de Fontblisse commune de Bannegon dans le département du Cher.
Une de ces branches emprunte le cours de la rivière le Cher, de Noyers-sur-Cher à Saint-Avertin, près de Tours.
Cette partie du Cher est donc équipée de barrages avec écluses. Les travaux sont exécutés de 1836 à 1841.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Bourré (Loir-et-Cher)
Habitations troglodytes.
A partir du XVe siècle, les chantiers de construction, en particulier des châteaux de la Loire, connaissent un grand développement. L'un des matériaux privilégiés sera le tuffeau, extrait en carrières souterraines. Le tuffeau blanc de Bourré, l'un des plus fins, a été abondamment employé. Un très grand nombre de carrières souterraines se développent. Après leur abandon, ces carrières de tuffeau seront utilisées en caves, champignonnières, ou habitations troglodytes.
Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire)
Habitation troglodyte rue des Perrières.
Il y a 10 millions d'années, le quart nord-ouest de la France, excepté la Bretagne, est recouvert par ce que les géologues appellent la Mer des Faluns. Des sédiments marins se déposent. Les dépôts, mêlant sable et débris de coquilles, peuvent atteindre une vingtaine de mètres d'épaisseur dans des cuvettes litorales comme celle de Doué-la-Fontaine.
Facile à creuser et à travailler, le calcaire des faluns a des caractéristiques le font utiliser pour différents usages, telle la pierre de taille, les moellons, le sable ou comme matière première pour la fabrication de la chaux. On l’utilise également pour l’amendement des terres siliceuses et acides.
Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les paysans ont creusé le sol pour en extraire le "falun" utilisé pour fertiliser les champs. Les caves qui ont été aménagées abritaient, à la fin du XVIIIe siècle près de la moitié de la population du sud-saumurois.
Fin XVIIIe siècle et début XIXe, Doué connait l'apparition de grandes carrières est consécutive à un développement important des activité de construction. A cette époque apparaissent de nouveaux habitats souterrains, ceux des carriers, comme aux Perrières.
D'autres cavités sont plus anciennes, comme une ancienne carrière mérovingienne du Ve siècle ou l'on fabriquait les sarcophages. Les premiers habitats souterrains fortifiés apparaissent au IXe siècle. Des habitants de Saumur se seraient réfugiés dans ces cavernes pour échapper aux raids des vikings au IXe siècle.
www.les-perrieres.com/fr/les-perrieres/user/documents/201...
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