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568 rue Saint-Ferdinand
Construit en 1885

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84 rue Saint-Augustin

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96 rue Saint-Augustin

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781 Rue du Couvent

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962 Rue Agnès

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118 rue Saint-Augustin

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110 rue Saint-Augustin

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6682-86 rue de la Roche
Maison de type shoebox, surnom donné aux bâtiments de petit gabarit (forme rappelant les boîtes à chaussures) dont les principales caractéristiques sont d'avoir un seul étage, un toit plat, la majorité du temps ils ont une porte centrale en façade et une petite fenêtre de chaque côté et assez souvent d'une petite galerie surplombée d'une marquise ou auvent. Dans l'arrondissement Rosemont-La Petite Patrie il y en aurait 561.

D'où vient l'idée de construire ce type de bâtiment? En fait ce sont les ouvriers du début du XXe siècle qui les ont construites, et ils n'avaient pas les moyens de construire des édifices de plus grandes dimensions. Il semblerait que ce soit l'avènement du tramway qui ais favorisé le développement rapide de plusieurs quartiers de Montréal, dont Rosemont.

Les terrains y étant moins cher, cela a permis aux familles ayant des moyens limités d’accéder à la propriété. Certains ont pu se construire des duplex ou triplex, mais beaucoup ont opter pour une maison plus modeste.

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6663 rue Chambord
Construit en 1923

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12286, rue Notre-Dame Est (vers 1927)
Maison en brique érigée en bordure du fleuve à une époque où plusieurs familles aisées se font construire des maisons de villégiature dans cette section de l’île qui possède encore un caractère agricole.
Tiré du site Montréal - Le parcours riverain

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11501 Notre-dame E
Construit en 1940

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10180 boulevard Gouin E
Construit en 1910

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Maison Oakes
8320 boulevard Gouin Est.

Cette demeure, construite en 1909, est représentative de la mode victorienne qui a cours entre 1850 et les premières années du XXe siècle. Ce courant urbain combine plusieurs styles. Il apparaît dans les villages québécois vers la fin du XIXe siècle et détonne par rapport aux constructions villageoises habituelles.

Le courant victorien se démarque par ses volumes répondant à des géométries variables, sa verticalité, son éclectisme, son refus de la symétrie, sa surcharge d'éléments esthétiques tels que les dentelles de bois, les toupies et modillons. Ici, sur le toit on voit une galerie faîtière et une crête.

La maison Oakes présente une ornementation faite de jeux de briques autour des ouvertures. L'utilisation de ce matériau remonte à 1850. Toutefois, il faut attendre 1900 pour voir apparaître la brique de plusieurs couleurs dite brique polychrome. D'influence anglo-saxonne, on l’adopte tout d’abord en milieu urbain à cause de son faible coût de production.

Tiré de l'affiche historique face à la maison.

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12480, rue Notre-Dame Est (1890)
Maison Arsèene Lacroix

Construite en 1885, cette maison pittoresque appartient depuis toujours à l'une des plus anciennes familles de Pointe-aux-Trembles: les Lacroix.

À l'origine, cette résidence était située sur la ferme des Lacroix, dont les terres s'étendaient du fleuve jusqu'à l'extrémité
nord du village de la Pointe-aux-Trembles. Cultivateur bien connu, Arsène Lacroix père fut également échevin de la ville
de la Pointe oux-Trembles au début du XXe siècle.

D'influence anglo-américaine, cette maison est caractérisée par son toit mansardé pointu, son revêtement de brique,
sa logette, ses lucarnes d'ornements victorien et son porche d'inspiration classique.

La maison Arsène Lacroix fut bâtie par Adolphe Colerette, lequel avait participé activement aux travaux de construction du presbytère Saint-Enfant-Jésus, d'où la ressemblance entre les deux bâtiments.

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12413, rue Notre-Dame Est (1890)
Maison Bénard

Construite en 1890, cette jolie maison était originellement située sur l'actuelle 19e Avenue, près
de la voie ferrée. Ce n'est qu'en 1922 quelle fut déménagée sur son site actuel.

D'influence américaine, ce bâtiment possède un toit brisé à deux versants. Son perron-galerie est
couvert par un toit prolongé et les lucarnes se retrouvent sur la seule pente forte du brisis.

Entièrement restaurée par M. Joseph Bénard, qui s'en porta acquêt eur en 1974, cette maison
constitue un bel exemple d'édifice à toit mansardé. Le toit à la Mansart a de particulier d'offrir ceci:
plus d'espace habitable à une maison qu'un pignon traditionnel de même hauteur.

Tombé en désuétude du fait du risque d'incendie que présentait ce genre de charpente, ce n'est qu'au milieu du XIXe sièecle que ce type d'architecture connut un regain de popularité.

Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:

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11949 rue Saint-Joseph
Maison Étienne-Fisciau

Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Cette maison est la plus vieille toujours existante du cœur du village de la Pointe-aux-Tromble-..
Elle aurait été construite entre 1800 et 1823 par Étienne Fisciau et son fils Hyppolite, tous deux maîtres menuisiers.
Située à la limite de la palissade des anciennes fortifications du village et de l’emplacement de la première chapelle et du premier cimetière de la paroisse, elle fut épargnée par le destructeur incendie du village en 1912 qui détruisit une soixantaine de maisons et bâtiments du cœur du village.
Construite à l'origine dans le style des maisons québécoises traditionnelles à toit à deux venants, elle subit, à une date imprécise, une transformation la dotant d'une toiture en mansarde d’inspiration américaine.

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Maison Pierre-Chartrand (Maison du Bon Temps)
8000 boulevard Gouin Est.

Elle aura traversé plus de deux siècles

On doit à une équipe d’experts (*) une étude patrimoniale de la Maison Pierre-Chartrand, à la fois historique et architecturale, déposée à la Ville de Montréal en novembre 2007.

La saga des Chartrand

L’étude établit qu’un premier Pierre Chartrand s'est fait concéder, le 26 juin 1705, une terre de 60 arpents par les Messieurs de Saint-Sulpice, seigneurs de l’île de Montréal. Ce n'est qu’en 1731 qu’on mentionne l’existence ( d'une maison construite en pierre ) lui appartenant, en plus d'une grange et d’une étable. L'aveu et dénombrement (inventaire et recensement) de 1731 nous apprend aussi que le nombre d’arpents dont il dispose a quadruplé (terres 1142 et 1143, selon le plan seigneurial).

Mais voilà qu'au décès de Pierre, survenu en 1734, un second Pierre Chartrand devient propriétaire des deux terres, suivi d'un troisième, à la fin du siècle. Dans l'intervalle, une deuxième maison de pierre aurait été construite sur le lot des Chartrand sans qu’on en connaisse le lieu exact. Par ailleurs, nous savons qu’une de ces maisons a disparu vers la fin du XIX* siècle. En effet, un contrat de 1910 établit que « la maison de pierres qui existait (...) a complètement été démolie... » On peut penser que la maison de Pierre Chartrand (le premier) a succombé et qu'une nouvelle a été construite entre 1744 et 1807, compte tenu de ses caractéristiques architectoniques.

Périodes moderne et contemporaine

De 1827 à 1911, divers cultivateurs habitent successivement la maison de pierre. C'est en 1911 qu elle entre dans son cycle de spéculation. Les entrepreneurs Henry Lemaître-Auger, Joseph Rhéaume et Marius Dufresne conçoivent un lotissement avec rues et ruelles. Mais la guerre de 1914 met fin à ce projet.

En 1949, Joseph Rhéaume, devenu propriétaire, cède son domaine aux Frères du Sacré-Cœur. Ceux-ci occupent les lieux jusqu'en 1958. Des investisseurs se relaient durant la décennie suivante.

C'est en 1969 que la Ville de Montréal se voit recommander l'acquisition du secteur compris entre les boulevards Gouin et Perras. La démolition de la maison, envisagée, n'aura pas lieu puisque, le 22 juin 1970, la Ville procède à l’expropriation des terrains et entreprend la restauration de la maison, au coût initial de 60 000 $.

* Étude patrimoniale de la Manon du Bon Temps. 8000 boulevard Gouin Est Montréal, par Beaupré et Mcftaud, arct*edet. avec la cotaboraüon de mislorien Alan Stewart, novembre 2007, pour la V»e de MorMal.

Tiré de l'affiche historique face à la maison.

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Maison Pierre-Cadieux
9790, boulevard Gouin Est
Construction vers 1800

Ancienne maison de ferme en pierre. La famille Cadieux occupe la résidence jusqu’au début du 20e siècle.

Maison en pierres des champs représentative de la maison rurale des XVIIIe et XIXe siècles.
Typique du modèle Québécois, le toit étant moins aigu que celui du modèle français, d'autres éléments les différencies tels que :
ses fondations, son perron-galerie et le nombre des ouvertures qui sont disposés avec symétrie.

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12180, rue Notre-Dame est (1905)
Maison Lauriault

Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Mon histoire débute au début du XXe siècle comme en fait
foi un journal, daté du 8 août 1905, découvert lors de travaux
de rénovation. Mon patronyme rappelle celui de mon premier
occupant, M. Hormidas Lauriautt, commis-voyageur.

On me caractérise comme une maison pittoresque en raison
de mon architecture d'inspiration victorienne et néoclassique.
Observez bien le jeu de mes volumes, la fine menuiserie de
mes pignons, mes poteaux en bois tourné et la décoration en
fonte qui surplombe ma fenêtre-en-baie.

Au fil des ans, j'ai évolué au gré des besoins, de mes principaux occupants.

En mai 1912, l'arrivée de M. Joseph Morin, marchand de pianos. Bienveillante envers sa cécité, j'abandonne l'éclairage au gaz pour lui offrir les avantages de l'électricité.

En novembre 1918 s'installe un nouveau propriétaire, M.Oscar Benoît, marchand. Homme d'action, il préside la Commission scolaire de Pointe-aux-Trembles ainsi que l'association des marchands. Prestige oblige, il embellit mon apparence par l'ajout de larges galeries et la construction d'une aile (no 12178) pour recevoir ses concitoyens. Tels des sentinelles, les deux lampadaires témoignent de sa fonction de maire de la ville de Pointe-aux-Trembles, de 1927 à 1931.

En octobre 1944, sa veuve, Mme Audia Charbonneau, me cède à M. Charles-Arthur Giroux, entrepreneur. J'ai abrité, sous mes combles, quatre générations de cette famille liée au fleuve Saint-Laurent, et ce , durant 50 ans.

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Maison Jean-Baptiste-Pépin.
7555, boulevard Gouin Est.

Cette maison rurale date de la fin du XVIIIe siècle. De modèle québécois, notamment par sa fenestration, elle se rapproche du modèle français à deux versants par son absence de sous-sol
et de perron ainsi que par son court larmier.

Au fil des ans, son environnement est lourdement modifié. Il semble qu’après 1911, son grand terrain est morcelé et vendu en lots, victime des opérations de spéculation de l’époque. On effectue également de nombreux travaux affectant l’intérieur de cette ancienne maison de ferme. Toutefois, elle aurait conservé son apparence extérieure d’origine. Certaines modifications confirment néanmoins son évolution dans le temps, notamment ses fenêtres doubles à grands carreaux, à la façon de la seconde moitié du XIXe siède.

Survol généalogique

En 1786, Jean-Baptiste Pépin épouse Marie Corbeil. De leur union naissent cinq filles et deux garçons. À la mort de leur mère, les filles cèdent leur part d’héritage à leurs frères, Jean-Baptiste et Joseph. Deux maisons en font partie. Jean-Baptiste conserve celle de la Côte St-Michel (une section de l’actuelle rue Jany). Joseph, père de quatorze enfants, hérite de la maison du boulevard Gouin.

Quatre générations de Pépin ont habité cette demeure entre 1800 et 1911 (Jean-Baptiste, Joseph, Piene et Ferdinand). Cette famille est importante dans le développement de la partie ouest de Rivière-des-Prairies. En 1879, elle détient au moins onze terres de ce côté du village.

Les Pépin représentent la famille québécoise rurale typique, nombreuse et catholique. Plusieurs membres de cette famille s’impliquent dans la vie religieuse de Rivière-des-Prairies. Joseph, Stanislas, Antoine et Pierre travaillent à l’administration des biens de la paroisse à titre de marguilliers entre 1831 et 1888. De plus, un des leurs, prénommé Joseph, sera curé de la paroisse en 1870. Les Pépin s’unissent aux familles voisines, notamment les Corbeil, contribuant à l’essor de l’est de l'îe de Montréal.

Tiré de l'affiche historique face à la maison.