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L'accueil dans le quartier de Malá Strana est sérieux, puisque de grandes tours gardent la porte au bout du pont Charles. La première de gauche est la plus ancienne et était construite avec l'ancien pont Judith (même juste avant pour être précis) que le pont-ci à remplacer. Elle date du XIIe siècle et était à l'origine romane. Ce n'est qu'au XVIe siècle qu'elle fut réparée dans un style renaissance donnant l'aspect un peu près actuel. La seconde tour fut construite quant à elle en même temps que celle à l'autre bout du pont au XVe siècle dans un style gothique tardif. Elle reprend les petits échauguettes pointus de nombreux autres tours de Prague pour notre plus grand plaisir.

Sources : Wikipédia (Muti) && Monuments historiques (CZ) && Office du tourisme (CZ)

Déjà avec l'art nouveau on n'est pas habitué à en voir souvent, mais avec ce palais rondocubiste, c'est encore une autre rareté. Déjà pour définir le style, comme on peut le décomposé, ça parle de cubisme. Et le cubisme dans l'architecte, ça se rapproche d'un art d'entre-deux-guerres : l'art Déco. On peut donc le considéré comme l'art déco tchécoslovaque (même si quelque exemples en ex-Yougoslavie existent également) et à mettre comme successeur naturel du style Sécession arborant déjà de nombreuses géométries dans la capitale tchèque.

Voilà pour la partie définition, concernant l'immeuble plus qu'original, il fut commandé en 1922 par la compagnie d'assurance italienne Riunione Adriatica di Sicurtà (raccouci en Adria) et exécuté par Josef Zasch avec l'aide de Pavlo Janák. Outre les assurances, un cinéma a prit place au commencement dans son sous-sol et pouvant accueillir jusqu'à milles personnes (moins 1). Il accueillit parmi les premiers films sonores de la ville et devint si réputé que les différents régimes étrangers qui avaient la main mise sur l'état tchèque se l'acapèrent rapidement. Durant les années 60, un théâtre municipale occupa également l'immeuble. Son rez-de-chaussée est quant à lui occupé de commerce, il y a même un passage à son effet. Finalement en 1998, une restructuration complète du sous-sol mit à disposition un peu plus de 300 places et devint une autre organisation théâtral. Le cinéma semble avoir fait ses valises sans date précise.

Mais bref, quelle invitation à l'imagination avant d'aller voir un film une telle façade.

Sources : Monuments historiques (CZ) && Office du tourisme (CZ) && Wikipédia (CZ/FR) && Office du tourisme (Multi) && Wikipédia sur le style (Multi)

Canon gothique par excellence de la ville, la tour du pont Charles servit à bien des usages.

Tout d'abord en imposer, construite au XIVe siècle dans un pur style gothique devenu étalon pour bien des autres œuvres dans le pays tchèque.

Elle servit aussi d'arc de triomphe à son commanditaire, le fameux Charles IV (oui celui du pont qu'il y a juste derrière et de l'université susnommée plus d'une fois). Ce roi de Bohême fut bien plus que cela puisqu'il accéda au titre d'empereur du fameux Saint-Empire-Romain-Germanique et reignat sur une très bonne partie de l'Europe centrale (aka Empire du milieu). Il n'oublie pour autant pas pour autant sa ville et la développa tout au long de son règle (puisque la couronne de l'empire n'est pas héréditaire, autant en profiter tant qu'on l'a sur la tête).

La tour se distingua également en étant une étape obligatoire de la procession royale lors du sacre d'un nouveau roi (départ de la Vieille Ville arrivée Château + Cathédrale, n'oubliez pas de composter votre ticket).

Et aller pour lister un dernière atout de cette tour, parce qu'on a pas la soirée non plus et bien la tour permit une défense plus efficace lors des sièges de la vieille ville lors des différents assauts. Bon par contre cela n'a pas été de tout repos pour cette vieille dame et elle perdit de nombreux ornements au fil des agressions.

Le dernier gros lifting intervint au XIXe siècle où elle eu la chance d'avoir des retouches et ajouts réalistes à son style original.

Sources : Wikipédia tour (Multi) && Monument historique sur le pont (et un gros paragraphe sur la tour) (CZ) && Site touristique tenu par une association à propos de la tour (CZ) && Wikipedia sur Charles IV (Multi)

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Die Hänge um den Talkessel von Haindorf (Hejnice) sind von zahlreichen interessanten Felsformationen gespickt. Teilweise erinnern die Felspartien sogar in ihrer Größe an die Felsen des Zittauer oder Elbsandsteingebirges. Die Felsen der Friedländer Zinne (Frýdlantské cimbuří) sind mit Wandhöhen von über 20 m die wohl eindrucksvollste Formation. Vom Tal aus sehen die schroffen Felstürme tatsächlich wie Zinnen einer gewaltigen Festung aus. Dabei ist der Name wohl in Anlehnung an die etwa 8 km entfernt gelegenen Friedländer Burg entstanden. Die Felsen sind - wie auch der größte Teil des Isergebirges - aus Granodiorit aufgebaut. Der Brandfels wurde als höchste der Zinnen im Jahr 1978 durch eine Eisenleiter für Wanderer zugänglich gemacht. Somit lässt sich der imposante Ausblick über den Talkessel, das Isergebirge und in das Dreiländereck noch besser genießen.

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