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Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


L'église Sainte-Croix.

Une chapelle castrale fut édifiée au même endroit que l'église actuelle au début du XIe siècle.

Elle doit son nom à un morceau de la vrai Croix rapporté de Terre Sainte et détaché de celui qui était au monastère de Beaulieu-lès-Loches, offert par Foulque Nerra.

Louis XI y marie ses deux filles.
Le 3 novembre 1473, sa fille ainée Anne de France épouse, dans la chapelle du château, Pierre de Beaujeu, cadet de la maison de Bourbon. Elle sera regente de 1483 à 1491,
Le 8 septembre 1476, sa fille Jeanne*, 12 ans, est mariée à Louis d’Orléans, 14 ans, futur Louis XII. A l’intérieur, des vitraux immortalisent cet évènement. Fondatrice de l'ordre monastique des Annonciades en 1502, elle sera honorée comme une sainte dès sa disparition; elle est le deuxième membre de la lignée capétienne, après Saint Louis, à avoir été ainsi distinguée.

En novembre 1753, les logis royaux s’écroulent sur la chapelle royale de Sainte-Croix. Reconstruite, la chapelle devint église paroissiale en 1755. La restauration n’est terminée qu’en 1757.

Le clocher et le porche datent du XIXe siècle.


* Jeanne de France était la deuxième fille de Louis XI et de Charlotte de Savoie. Elle nait le 23 avril 1464 à Nogent-le-Roi. Elle sera élevée par sa mère, avec sa soeur aînée Anne, à Amboise, pendant cinq ans.
Peu avant la naissance du futur Charles VIII, le roi Louis XI, son père, l'expédie dans le Berry, en 1569 à l'âge de 5 ans. L'enfant qui sera surnommée plus tard «Jeanne l'Estropiée», ou «Jeanne la boiteuse» souffre déjà de déformations qui s'accentueront avec l'âge: scoliose, rachitisme, développement inégal des jambes, une épaule plus basse que l'autre, petite taille.
Dans le Berry, à Linières, la petite Jeanne sera élevée par un cousin du roi, François de Linières, et sa femme, Anne de Culan, contre une pension annuelle de 1200 livres. Ses parents adoptifs, sans enfant, prirent soin d'elle et de son éducation, lui apprenant à lire et écrire, l’arithmétique, la poésie et les arts, la broderie et la tapisserie ainsi que la pratique du luth. Fervents chrétiens, ils lui inculquèrent une foi solide.
Dans le cadre de sa politique d'alliance, Louis XI avait fiancé Jeanne à l'âge de 26 jours, à Louis d'Orléans (futur Louis XII), 2 ans. Le contrat de mariage sera signé le 8 octobre 1473, à Jargeau, alors que Jeanne a 9 ans, et Louis d’Orléans, 11 ans. Lors de la signature de ce contrat, seul Louis est présent, la petite Jeanne étant absente. Lorsque Louis et sa mère Marie de Clèves découvrent la fillette, boiteuse, difforme, ils ont un choc, le futur mari fait demi-tour et la future belle-mère s'évanouit. Malgré tout, après avoir obtenu une dispense de Rome, Louis et Jeanne étant cousin, le mariage est célébré à Montrichard le 8 septembre 1476. Etaient présents, Charlotte la mère de Jeanne, l'évêque d'Orléans, mais ni Louis XI ni Marie de Clèves. Le lendemain, Louis d'Orléans présente sa femme Jeanne à la population de Blois, puis Jeanne repart vers Linières, seule. Pendant que Jeanne mène une vie de prières et de charité, de son côté, Louis mènera une vie de plaisirs et de débauche. Ce qui n'empêchera pas sa femme de se précipiter au chevet de son mari, en avril 1483, quand celui-ci sera atteint de la petite vérole.
A la mort de Louis XI (août 1483), Louis d'Orléans échoue à obtenir la régence, les Etats Généraux la confieront à la soeur aînée de Charles VIII, Anne de France dite Anne de Beaujeu par son mariage, le seul fils de Louis XI, ayant alors 13 ans.
Une coalition de seigneurs orchestrée par Louis d'Orléans entreprend de vouloir soustraire le roi à ses tuteurs, ce sera la Guerre Folle. La rébellion tourne à l'avantage de la famille de Beaujeu et Louis d'Orléans est fait prisonnier à la bataille de Saint-Aubin-du-Cormier le 28 juillet 1488.
Pendant ses trois ans de captivité, Jeanne rendra visite à son mari, et intercédera auprès de son frère le roi pour le faire fléchir, et finalement Charles relâche le prisonnier fin juin 1491 et le nomme gouverneur de Normandie.
Reconnaissant, à son retour de prison, Louis consent à garder jeanne près de lui, il lui confiera même ses biens lors de son départ pour l'Italie, à la suite de Charles VIII (il en profite pour essayer, en vain, de conquérir le Milanais à son profit).
Après son retour en France, il s'éloignera de nouveau de Jeanne, mais la laissera libre de sortir de Linières et d'aller et venir de châteaux en châteaux.
Le 7 avril 1498, le roi Charles VIII est à Amboise avec sa femme Anne de Bretagne. En grande envie d'asister à un jeu de paume, le roi en voulant emprunter l'escalier se heurte le front contre le linteau d'une porte basse. Il se relève et pour assister à la partie. Ce n'est que le soir qu'il tombera inanimé puis décédera quelques heures plus tard. Tout roi qu'on est, il faut savoir baisser la tête.
Charles VIII n'ayant pas eu d'enfant vivant, Louis d'Orléans, frère du roi défunt, montera sur le trône sous le nom de Louis XII, sans rencontrer d'opposition.
Louis XII tiendra Jeanne à l'écart et lui interdira d'assister au sacre le 27 mai 1498. Le nouveau roi entamera immédiatement une procédure d'annulation de son mariage avec Jeanne, pour se remarier avec la veuve de Charles VIII, Anne de Bretagne, ce remariage lui permettant de garder le duché de Bretagne.
La procédure est basée sur le traité de Langeais qui réunissait le royaume de France et le duché de Bretagne : Lorsque Charles VIII épouse Anne de Bretagne à Langeais, en 1491, il fut prévu que Anne devrait épouser Louis, le frère de Charles, si celui-ci venait à mourir avant qu'il eut un héritier mâle, ce qui advint. L'affaire était compliquée, Anne étant déjà mariée, elle avait du faire annuler celui-ci pour épouser Charles, enfin, Charles mort, Louis étant également marié, il du aussi faire annuler le mariage pour pouvoir épouser Anne. Louis envoie donc la demande d'annulation de son mariage avec Jeanne de France, à Rome, en se basant sur le traité de Langeais, mais le pape Alexandre Borgia transmet le dossier à un tribunal ecclésiastique à la cathédrale Saint-Gatien de Tours, en mentionnant les motifs d'annulation admis par le droit canon. De son côté Anne, qui veut récupérer son duché, exige une promesse de mariage de Louis, sans quoi Anne pourrait reprendre Nantes et Fougère. Louis intente donc un procès à Jeanne en présentant deux clauses de nullité : le non-consentement et la non-consommation. Les époux étant mariés depuis plus de vingt ans, le non-consentement n'est pas retenu, reste la non-consommation. Les avocats de Louis font valoir que la difformité de Jeanne prouve la non-consommation : "imparfaite, viciée, maléficiée de corps, inapte au commerce avec l'homme". Jeanne est interrogée et répond que : "aucun défaut corporel ne lui interdisait l'union charnelle et que son mariage avait été consommé, même sachant qu'elle n'était pas aussi belle que la plupart des femmes, cela ne l'empêchait pas d'être apte au mariage et à la maternité". Louis se rendant alors compte qu'il risque de paraître soit faible soit menteur, finit par admettre, fin octobre 1498, que le mariage avait bien été consommé. C'est alors qu'une lettre signée de Louis XI est retrouvée qui précise que "Louis d'Orléans ne pouvait refuser le mariage sans quoi il risquait la mort et que Jeanne était stérile et mpropre au mariage". Louis prête alors serment sur l'Evangile qu'il "ne couchait jamais avec son épouse nu à nu". Le pape Alexandre VI Borgia, acceptera finalement l'annulation du mariage, en échange du Valentinois donné à son fils César Borgia.
Le 8 janvier 1499, Louis XII épouse à Nantes la reine Anne de Bretagne, veuve de Charles VIII. Jeanne reçu en compensation le titre de duchesse de Berry et fonda à Bourges la congrégation mariale de l'Annonciade, congrégation dont la spécificité est l'imitation des vertus de Marie : "prudence, pureté, humilité, vérité, louange, obéissance, pauvreté, patience, piété et compassion". Elle s'installera à Bourges à partir de février 1499 et aidera les habitants lors de l'épidémie de peste. Elle se préoccupe de la misère, de l'éducation et de la justice pour son peuple qui la surnommera "la bonne duchesse". Elle prononcera ses voeux en 1503 et meurt 2 ans plus tard, le 4 février 1505 à l'âge de 41 ans. Louis XII lui fit faire des funérailles grandioses.
Une demande de canonisation est lancée en 1614. Jeanne est béatifiée le 18 juin 1742 par Benoît XIV. Elle sera canonisée par Pie XII le 8 mai 1950. Elle est la quatrième reine de France faite sainte, après Clotilde (la femme de Clovis), Radegonde (femme de Clotaire Ier, fils de Clovis) et Bathilde (une ancienne esclave devenue reine en épousant Clovis II).


www.mariedenazareth.com/qui-est-marie/sainte-jeanne-de-fr...
fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_de_France_(1464-1505)
www.histoire-pour-tous.fr/histoire-de-france/3949-jeanne-...

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher). by sybarite48

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Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

La Crypte sous la collégiale


Déambulatoire.


Auparavant, appelée "Église Saint-Jean" ou "Église des Grottes", cette crypte, construite au VIe siècle, fut l'église primitive.

La crypte est composée d'une nef carrée, d'une abside centrale en cul de four, de trois chapelles rayonnantes et d'un déambulatoire. Elle est ornée de peintures murales des XIIe, XIVe siècles.

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher). by sybarite48

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Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

La Crypte sous la collégiale


Chapiteau du déambulatoire.


Auparavant, appelée "Église Saint-Jean" ou "Église des Grottes", cette crypte, construite au VIe siècle, fut l'église primitive.

La crypte est composée d'une nef carrée, d'une abside centrale en cul de four, de trois chapelles rayonnantes et d'un déambulatoire. Elle est ornée de peintures murales des XIIe, XIVe siècles.

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher). by sybarite48

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Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

Saint-Aignan-sur-Cher (Loir-et-Cher).

La Crypte sous la collégiale


Chapiteau du déambulatoire.


Auparavant, appelée "Église Saint-Jean" ou "Église des Grottes", cette crypte, construite au VIe siècle, fut l'église primitive.

La crypte est composée d'une nef carrée, d'une abside centrale en cul de four, de trois chapelles rayonnantes et d'un déambulatoire. Elle est ornée de peintures murales des XIIe, XIVe siècles.

Château-Renard (Loiret) by sybarite48

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Château-Renard (Loiret)

Château-Renard (Loiret)


Eglise Saint-Etienne et Saint-Pavas.

Collatéral sud.
South collateral.


Au début du Moyen-Âge, un prieuré dédié à saint Amand est installé par des moines bénédictins sur le mont d'Ouanne. Le prieuré dépendait de l'abbaye de Ferrières-en-Gâtinais.

Après avoir chassé les moines et fait main basse sur le prieuré, en 961, Renard Ier comte de Sens, fait cadeau à l'église des reliques de saint Pavace (évêque du Mans au IVe siècle) dont il s'est emparé*. Il construit la forteresse, le château-haut, autour de l'église.

En 1110, en représailles des pillages commis par les descendants de Renard Ier, le roi Louis VI le Gros** fait détruire la forteresse, y compris l'église.

Elle est reconstruite par les villageois dans la seconde moitié du XIIe siècle. elle fera l'objet de nombreux remaniements. Il en reste les piliers de la nef.

Les hautes œuvres de la nef remonteraient à 1230, lorsque Robert, comte de Joigny, rétablit les fortifications du château.

Une restauration sera faite en 1574, après les guerres de Religion et un incendie en 1568.

L'orgue aurait été installé au XVIIe siècle et restaurées dans les années 70 dans un style plutôt XVIIIe.

Des vitraux, inspirés du thème des "quatre saisons" ont été offerts par le maître verrier japonais Hidého Matsuda résidant à Chalette-sur-Loing, en 2002.


* Le culte des reliques connaît un apogée du IXe au XIe siècle. Le culte des reliques alimente un commerce parfaitement établi. Voler des reliques, c'était s'assurer la venue de nombreux pèlerins faisant tourner l'économie locale.

** Louis VI le gros luttera pendant plus de 30 ans, de 1101 à 1135, contre les seigneurs pillards. En 1124, devant la menace germanique, il sera le premier à faire appel à l'ost.

Monumentos Nacionais. Leiria, Portugal by Biblioteca de Arte-Fundação Calouste Gulbenkian

Monumentos Nacionais. Leiria, Portugal

Deambulatório do Mosteiro de Santa Maria de Alcobaça. Igreja.

Fotógrafo: Mário Novais (1899-1967).
Fotografia sem data.

[CFT003.120780]

Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre) by sybarite48

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Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre)

Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre)


La Collégiale Saint-Etienne.

La rotonde. Le déambulatoire de l'étage et la coupole.


La rotonde, a été ajoutée à l'extrémité ouest d'une église antérieure. La date de la fondation de la rotonde, est mentionnée par les chroniques vers 1042-1045.

Le sol du déambulatoire de l'étage a été recouvert d'une dalle de béton armé au début XXe siècle, pour éviter l'écartement des murs de la rotonde.

Avant les restaurations de Viollet-le-Duc, vers 1840, la rotonde était couverte par une toiture conique qui obturait les ouvertures du dernier étage. L'architecte a remplacé cette couverture par un toit en terrasse au-dessus de la tribune du premier étage, transformant ainsi le dernier niveau en clair-étage, coiffé par une coupole.

Vers 1848-1850, Le déambulatoire du premier étage est couvert par une toiture plate en plomb et les baies du deuxième étage du noyau central sont vitrées.

(Untitled) by sftrajan

© sftrajan, all rights reserved.

Deambulatório com capelas radiantes
Lisbon Cathedral, Alfama, Lisbon, Portugal
11 Nov. 2017

DSC00178

Chauvigny (Vienne) by sybarite48

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Chauvigny (Vienne)

Chauvigny (Vienne)

Église Saint-Pierre.

Chapiteaux peints du déambulatoire (XIIIe siècle).

Rond-point du choeur.

Troisième colonne (à gauche) : sirènes-oiseaux. Au Moyen-Âge, les sirènes sont symboles de la luxure et de la lubricité. L'oiseau est quant à lui plutôt un symbole positif; il est plus près du Ciel.

Quatrième colonne (à droite) : lion ailé à tête humaine et queue terminée par une main. Dans le bestiaire chrétien, le lion est un animal positif, c'est un symbole de vigilance et de sagesse. Le lion ailé est le symbole de l'évangéliste Marc. Au Moyen-Âge on le plaçait à la porte des églises comme gardien. On disait que le lion effaçait ses traces avec sa queue, ici la queue prolongée par une main semble chasser la tentation qui grimace. Mais aussi, dans l'art chrétien, le sphinx, corps de lion et tête humaine, par sa double nature humaine et animale était symbole indissociable du bien et du mal.

Chauvigny (Vienne) by sybarite48

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Chauvigny (Vienne)

Chauvigny (Vienne)

Église Saint-Pierre.

Chapiteaux peints du déambulatoire (XIIIe siècle).

Rond-point du choeur: De face, un démon entraînant un homme. A droite, Satan.

Chauvigny (Vienne) by sybarite48

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Chauvigny (Vienne)

Chauvigny (Vienne)

Église Saint-Pierre.

Chapiteaux peints du déambulatoire (XIIIe siècle).


Chapiteau de droite: L'annonce faite aux bergers* avec l'ange aux mains levées et ailes déployées, et Babylone la grande prostituée représentée sous les trait d'une prostituée qui tient dans sa main gauche une fiole de parfum et dans sa main droite une coupe d'abomination*.

Chapiteau de gauche : Monstres mangeurs d'hommes symbolisant la mort.


* "Il y avait dans la région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit. Un ange du Seigneur se tint près d'eux et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa clarté ; et ils furent saisis d'une grande crainte. Mais l'ange leur dit : "Soyez sans crainte car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple : aujourd'hui vous est né un Sauveur, qui est le Messie, Seigneur, dans la ville de David. Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche." Et soudain se joignit à l'ange une troupe nombreuse de l'armée céleste, qui louait Dieu." (Luc, II, 8-14.)


* Apocalypse 17
…Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d'écarlate, et parée d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or, remplie d'abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre.…

Chauvigny (Vienne) by sybarite48

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Chauvigny (Vienne)

Chauvigny (Vienne)

Église Saint-Pierre.

Le chevet, avec son étagement sur trois niveaux: abside, déambulatoire et absidioles.

Des parapets de pierre, curvilignes, coiffent abside (le plus haut), déambulatoire et
absidioles, ce qui donne un aspect de coupole. En réalité, ces murets dissimulent des toitures en tuiles plates.

Chênehutte-Trèves-Cunault (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Chênehutte-Trèves-Cunault (Maine-et-Loire)

Chênehutte-Trèves-Cunault (Maine-et-Loire)

Eglise prieurale Notre-Dame de Cunault.

Nef collatérale voûtée d'arêtes avec des arcs-doubleaux qui séparent les travées. Chapiteaux sculptés.


fr.wikipedia.org/wiki/Vo%C3%BBte_d%27ar%C3%AAtes#/media/F...
fr.wikipedia.org/wiki/Arc-doubleau#/media/File:Arc.double...

Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre) by sybarite48

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Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre)

Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre)


La Collégiale Saint-Etienne.

Le déambulatoire de la rotonde.

Le diamètre de la rotonde est d'environ 22 m, le déambulatoire autour du noyau central fait environ 6 m. Le noyau central environ 10 m de diamètre.
Le déambulatoires est couvert par de petites voûtes séparées par des arcs qui relient les piliers du noyau central aux colonnes engagées du mur extérieur de la rotonde.

Le sol du déambulatoire de l'étage a été recouvert d'une dalle de béton armé au début XXe siècle, pour éviter l'écartement des murs de la rotonde.

Vers 1848-1850, Le déambulatoire du premier étage est couvert par une toiture plate en plomb et les baies du deuxième étage du noyau central sont vitrées.Xe siècle, pour éviter l'écartement des murs de la rotonde. Vers 1848


www.persee.fr/doc/racf_0220-6617_2004_num_43_1_2960

Deambulatório da Sé de Lisboa by vmribeiro.net

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Deambulatório da Sé de Lisboa

LISBOA (Portugal): Deambulatório da Sé.

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A cabeceira com deambulatório foi mandada construir por D. Afonso IV, para seu panteão familiar. Esta constitui o mais importante capítulo gótico entre Alcobaça e a Batalha e é o único deambulatório catedralício gótico nacional.
As capelas são poligonais, com acesso por arcos apontados e iluminadas por janelas com o mesmo perfil com vários lumes, onde surgem simples altares de cantaria, duas delas com portas de acesso ao claustro.

Dueto gótico by geoorgesf

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Dueto gótico

Esta foto participó en el juego En un lugar de Flickr

Los vitrales de origen gótico (XIV) de la Capilla de Nuestra Señora de la Piedad (Capela de Nossa Senhora da Piedade - port.) en la girola (charola) o el deambulatorio (deambulatório), un espacio que rodea el altar mayor, en la Catedral de Santa María Mayor de Lisboa - Catedral de
Santa Maria Maior de Lisboa, también denominada o Sé de Lisboa o Sé Patriarcal de Lisboa (XII-XIV-XVI-XVIII), la capital del Distrito de Lisboa, de la Región de Lisboa, del Área Metropolitana de Lisboa, de la Subregión de la Gran Lisboa, de la Antigua provincia de Estremadura, y la capital de Portugal.

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dspace.ist.utl.pt/bitstream/2295/787779/1/TESE_40775.pdf

LA LEYENDA SOBRE EL AMOR PROVOCADO POR UNA IMAGEN TIRADA POR LA VENTANA:

A dos pasos de la Catedral de Lisboa, en una de las próximas casas, entre 1191 y 1195 nació
Santo António de Lisboa (português europeu) o Santo Antônio (português brasileiro), internacionalmente conocido como Santo António de Pádua o San Antonio de Padua (también venerado como San Antonio de Lisboa), teólogo, predicador y monje portugués. Oficialmente fue estipulado que él nació el 15 de agosto de 1195, con el nombre de Fernando Martim de Bulhões e Taveira Azevedo, en el seno de una familia de la aristocracia descendiente del cruzado Godofredo de Bouillón, y murió en Padua el 13 de junio de 1231. Fue canonizado en 1232. San Antonio de Lisboa, el santo patrón principal de Lisboa, fue bautizado en Sé de Lisboa y, además de otros méritos, se considera "o santo casamenteiro" o "el santo de los matrimonios", por eso la Câmara Municipal de Lisboa organiza justo en la Catedral de Lisboa una ceremonía del casamiento de jovenes novios de origen modesta todos los años el día 13 de Junio. Ellos son conocidos por "novios de Santo António", reciben los regalos del municipio y de diferentes empresas, como forma de ayuda a nueva familia. Se cree que esta tradición está relacionada con la siguiente leyenda que marcó la protección especial de este santo a todos los enamorados y a todas las personas que buscan y esperan el amor en el matrimonio:

*** Una doncella, harta de rezar y esperar a que el Santo Antonio oyese sus peticiones tiró su imagen por la ventana. La estatua pequeña del santo cayendo golpeó en la cabeza a un rico hombre, que luego se enamoró de aquella joven y se casó con ella.
A partir de aquel momento, San Antonio o "Santo Casamenteiro" no tiene descanso atendiendo los pedidos que le están dirigidos por las personas que solicitan su intercesión.

- Desde aquel día legendario en Portugal, Brasil, Perú y algunas partes de América Latina San Antonio de Lisboa es reconocido como el santo de los matrimonios y el día de su fiesta (el 13 de junio) las muchachas solteras tienen la costumbre de comprar su pequeña imagen y colocarla al revés (cabeza abajo) hasta que hayan encontrado un buen marido. Estos rituales generalmente se hacían por la madrugada del día 13 de junio. Pero si la estatua del santo se parte, en este caso los pedazos deben ser juntados y dejados en un cementerio.
- En Brasil, muchas chicas que deseaban encontrar un marido retiraban la figura del bebé de los brazos de las estatuas del santo, prometiendo devolverlo después del cumplimiento de su pedido. Por ese motivo, algunos párrocos mandaban hacer la estatua del santo con el Niño Jesús integrado al cuerpo del santo, evitando así su secuestro.
- En la ceremonía conocida como Festa de Santo António o "trezena" por durar trece días (1-13 de junio) se entonan los cantos correspondientes, se hacen los castillos de fuego y se celebran las comidas junto a una hoguera con el formato de un cuadrado.
El día 13 de junio algunas iglesias distribuyen también los "pãezinhos de Santo António" (panecillos de San Antonio) que, según la tradición deben ser guardados dentro de una lata especial para que no falte la comida durante el año...

- Más información sobre la Catedral de Lisboa:
es.wikipedia.org/wiki/Catedral_de_Lisboa
es.wikipedia.org/wiki/Catedral_de_Lisboa
www.igespar.pt/en/patrimonio/pesquisa/geral/patrimonioimo...

Más información sobre Santo António de Lisboa:
www.pititi.com/festas/festaspop/santonio/santonio.htm
pt.wikipedia.org/wiki/Santo_Ant%C3%B3nio_de_Lisboa
blogs.lavozdigital.es/juanmayo/posts

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Deambulatório da catedral de Ourense

OURENSE (Espanha): Deambulatório da catedral.

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