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Au coin de la rue McTavish et de l'avenue du Docteur-Penfield à Montréal se trouve un ancien bloc appartements de style Art déco. Construit en 1941, il appartient aujourd’hui à l’université McGill. Son apparence générale n’a rien de remarquable, mais il possède tout de même quelques éléments architecturaux intéressants, comme les garde-corps de ses balcons et sa porte d’entrée. Malheureusement, on a installé une affreuse rampe d’accès devant cette dernière. Ceci rend impossible de bien poser le portail au complet, d’où mon choix de cadrage. Par ailleurs, il y avait une jolie fresque en bas-relief derrière cette porte. Mais, comme je ne suis pas entré quand j'ai pris ma photo, je ne sais pas si elle a été préservée.
Le portail Roddick est la monumentale entrée du campus du Centre-ville de l'Université McGill, à Montréal. Il porte le nom de Sir Thomas George Roddick (1846-1923). Sir Roddick fut doyen de la faculté de médecine de 1901 à 1908. On se souvient de lui comme étant le médecin qui a introduit l'usage régulier des antiseptiques pour les chirurgies.
J’ai demandé à un logiciel d’intelligence artificielle de me faire une porte de bois entourée de colonnes de pierres sur un mur de briques rouges couronné de deux têtes de lion avec quelques fenêtres disposées de manière asymétrique, le tout coiffé de l’ombre d’une croix… et pour une touche de réalisme montréalais, j'ai exigé un vélo stationné devant cette fresque.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
Aussi connu sous le nom de "Tour des vierges", le Pavillon Thérèse-Casgrain de l'Université de Montréal est un superbe bâtiment de style brutaliste. Conçu par la firme d'architecte Papineau Gérin-Lajoie Le Blanc, il a été construit en 1963-1964. L’édifice, en forme d’éperon, est très épuré. L’alignement des parois de béton courbées en façade et leur disposition en redans contribuent à créer les lignes pures de la tour. En 1967, l’édifice a obtenu la Médaille Massey, un prix prestigieux d’architecture. Ce prix est aujourd’hui le prix d’architecture du gouverneur général du Canada.
Œuvre de l'architecte Ernest Cormier (1885-1980), le pavillon Roger-Gaudry de l'Université de Montréal est sans doute l'icône la plus connue de l'architecture Art déco à Montréal. Sa construction avait d’abord débuté en 1928, mais a été arrêté en 1931 pour des raisons budgétaires. Ce n’est qu’en 1941 que les travaux ont repris. L’inauguration officielle a eu lieu le 3 juin 1943. Le bâtiment est classé Lieu historique national du Canada.
Located in Montréal, QC, the Roger-Gaudry pavilion of the Université de Montréal was conceived by French Canadian architect Ernest Cormier (1885-1980). It is one of the city’s most famous Art Deco building. Its construction began in 1928, but stopped in 1931 for lack of funding. It started again in 1941 and the pavilion was officially inaugurated on June 3, 1943. The building is classified as a Canadian National Historic Site.