The Flickr Zuilengang Image Generatr

About

This page simply reformats the Flickr public Atom feed for purposes of finding inspiration through random exploration. These images are not being copied or stored in any way by this website, nor are any links to them or any metadata about them. All images are © their owners unless otherwise specified.

This site is a busybee project and is supported by the generosity of viewers like you.

Hof van Busleyden by just.Luc

© just.Luc, all rights reserved.

Hof van Busleyden

Mechelen, Belgium.

Corso Giacomo Matteotti by just.Luc

© just.Luc, all rights reserved.

Corso Giacomo Matteotti

Milan, Italy.

Colonnade by Arend Jan Wonink

Available under a Creative Commons by-nc license

Colonnade

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Abbaye de la Trinité.

Haut du mur nord de la nef. Arcade.


Vestiges de l'église abbatiale Saint-Pierre-etSaint-Paul.

L'abbatiale de la Trinité à Beaulieu-lès-Loches remonte au tout début du XIe siècle lorsque Foulques Nerra, comte d'Anjou, décide, en 1004 au retour d'un pélerinage en Terre Sainte, de la fondation d'une abbaye bénédictine.

Par cette construction, près de sa forteresse de Loches, Foulques Nerra voulait expier ses nombreux péchés et en particulier, dit-on, le meurtre d'Hugues de Beauvais*.

Foulques Nerra concéda à l'abbaye et aux moines de nombreux privilèges : La terre de Beaulieu, avec toutes ses coutumes, un marché hebdomadaire, les droits de justice et de vente dans les limites fixées et un droit d’usage dans la forêt de « Boisoger ».

Foulques Nerra concéda également aux abbés le domaine qui entourait l'abbaye, approximativement le territoire de l’actuelle commune de Beaulieu, et donnait aux habitants des privilèges, tel le droit d’y tenir marché.

L'église, de style roman, est consacrée en 1007 par le légat du pape, mais, le soir même, une tempête emporte la toiture. La reconstruction est entreprise peu de temps après.

L'église reçoit le corps de son fondateur en 1040, et son fils Geoffroy Martel, agrandit l'abbaye.

L'abbaye devint riche et la ville se développa, en particulier grâce à son marché. Au début du XIIIe siècle Beaulieu possédait trois paroisses : Saint-Pierre, Saint-Laurent et Saint-André. La ville, avec son marché, ses "bourgeois" et ses moines, était alors Beaulieu, et, était protégée par la garnison de Loches qui était alors la cité militaire.

Pendant la guerre de Cent Ans, l'abbaye est pillée par les anglais, et incendiée en 1359 et 1412 (par les hommes de Thomas Lancaster, fils du roi anglais Henri IV). Elle n'est restaurée que partiellement dans la seconde moitié du XVe siècle.

En 1562, elle est à nouveau dégradée lors des guerres de Religion. Enfin, avant la fin du XVIe siècle, trois tempêtes endommagent sévèrement la nef et le chœur.

L'abbaye adopte la réforme de Saint-Maur en 1662.

A la fin du XVIIe siècle, l'église est partiellement à l'abandon.

Il y restait 9 religieux en 1768. L'abbaye fut fermée à la Révolution. En 1791, une partie du clocher s'effondre et le mur sud de la nef est démoli pour agrandir la place. L'église est pratiquement laissée à l'abandon.

L'église trouve sa forme actuelle en 1908.

Au début du XXe siècle, la nef est enfin fermée par un mur occidental. Compte tenu de ces vicissitudes, le profil de l'abbatiale n'est pas fréquent : un beau clocher roman haut de 60 mètres, suivi d'un mur roman du XIe siècle percé de fenêtres en plein cintre et, enfin, l'église actuelle dont la nef n'est même pas la moitié de la nef du XIe siècle.

Le clocher de l'abbatiale est regardé comme le plus élevé de Touraine (60 mètres).

La flèche du clocher a été entièrement démontée et reconstruite en 2017. Sur les quelques 5000 pierres, 80 du XIIe siècle ont été réutilisées. Le chantier a coûté environ 2,5 millions d'euros.


* "Au printemps de l'année 1008, un haut personnage de la cour de Robert le Pieux, le comte du palais Hugues de Beauvais, a été assassiné un jour pendant la chasse, sous les yeux mêmes du roi. Les meurtriers sont au nombre de douze. Ils ont agi à l'instigation de Foulque Nerra. Foulque les a lui-même envoyés pour se venger de Hugues qui a pris le parti de Berthe contre Constance : la rivalité des deux reines est à l'origine du meurtre, et le meurtre cause le plus grand scandale.
Il faut punir. Beaucoup veulent que Foulque et les meurtriers soient excommuniés. Un synode se réunit à Chelles, le 16 mai, jour de la Pentecôte. Les archevêques de Sens et de Tours sont présents, ainsi que onze évêques, dont Fulbert, L'excommunication va-t-elle être prononcée séance tenante? Fulbert sollicite un délai de trois semaines pour amener les coupables à résipiscence. Il obtient ce délai et écrit aussitôt à Foulque.
La lettre n'est pas tendre. « Tes satellites, lui dit-il, ont outragé la présence de ton seigneur le roi par un crime si abominable qu'au dire du droit séculier toi aussi tu es coupable du crime capital de lèse-majesté, toi qui leur as donné ta protection et leur as procuré un refuge après leur crime. » C'est la menace de peine de mort. Cependant, Fulbert s'adoucit. « Vous avez échappé de peu, toi et tes complice, à l'excommunication, ajoute-t-il en substance. J'ai obtenu un délai de trois semaines. J'ai aussi obtenu du roi que si tu viens au jugement, sa vengeance s'exercera non pas sur vos vies ou sur vos membres, mais sur vos biens. » Et Fulbert d'enjoindre au comte d'Anjou d'amener lui-même les meurtriers au jugement et de faire amende honorable. Sinon il sera excommunié . " (Lemarignier Jean-François. A propos de deux textes sur l'histoire du droit romain au moyen âge (1008 et 1308). In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1940, tome 101. pp. 157-168)

20230601-9599-Rolducv1.cr3 by Rob_Boon

© Rob_Boon, all rights reserved.

20230601-9599-Rolducv1.cr3

20230601-9599-Rolduc by Rob_Boon

© Rob_Boon, all rights reserved.

20230601-9599-Rolduc

Blois (Loir-et-Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Blois (Loir-et-Cher)

Blois (Loir-et-Cher)

Le château

La façade des Loges qui donne sur la ville. Pignon Est.

Cette façade a été modernisée par François Ier vers 1520.

Elle se caractérise par une suite de niches non-communicantes. La façade s'inspire de celle des loges édifiées par Bramante au Vatican.

Blois (Loir-et-Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Blois (Loir-et-Cher)

Blois (Loir-et-Cher).

Château de Blois.

La façade des Loges qui domine la ville.

La façade des Loges appartient à l'aile François Ier, elle a été modernisée vers 1520. Les loges sont non-communicantes. Cette façade donnait autrefois sur les jardins créés par Louis XII.

Blois (Loir-et-Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Blois (Loir-et-Cher)

Blois (Loir-et-Cher)

Eglise Saint-Nicolas / Saint-Lomer.

C'est à l'origine l'église de l'abbaye Saint-Laumer (ou Saint-Lomer), monastère fondé au XIIe siècle par des moines bénédictins fuyant les Normands et ayant trouvé refuge à Blois. Ces moines du monastère de Corbion dans le Perche qui trouvèrent refuge à Blois en 924, avaient emporté avec eux les reliques de leur fondateur, Saint-Lomer.

Au Moyen Âge, l'église qui abrite plusieurs reliques (Saint Lubin, Saint Laumer, Sainte Marie l'Égyptienne et un fragment de la croix du Christ), est un lieu de pèlerinage fréquenté.

Pendant les guerres de Religion , l’église est mutilée par les protestants et l'abbaye détruite. Les bâtiments de l'abbaye seront reconstruits aux XVIIe et XVIIIe siècles.

A la Révolution, les bâtiments conventuels seront transformés en hôtel-Dieu, puis au XXe siècle ils deviendront le siège de la Direction départementale de l'Equipement.

L'église deviendra église paroissiale Saint-Nicolas.


La construction de l'église actuelle débute 24 ans après l'incendie de l'ancienne église en 1114.

Le chœur, le transept et la première travée de la nef sont construits de 1138 à 1186, date de la translation des reliques de l'ancienne église dans la nouvelle (le 25 mai 1186). Les quatre premières travées appartiennet encore à l'ancienne église.

L'église est terminée au début du XIIIe siècle.

Le portail de la façade occidentale, fin XIIe - début XIIIe, est constitué de trois voussures avec des personnages. A l'origine, le portail était encadré de six statues aujourd'hui disparues.


www.lankaart.org/-9
www.patrimoine-histoire.fr/Patrimoine/Blois/Blois-Saint-N...

Chiostro romanico di Sant-Orso - Aosta (Italy) by henkmulder887

© henkmulder887, all rights reserved.

Chiostro romanico di Sant-Orso  -  Aosta (Italy)

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


Vestiges de l'ancienne synagogue.

Une communauté juive chassée de Blois en 1154* s'installa dans l'actuelle rue de la Juiverie. Ils se réunissaient pour l'exercice de leur cult dans la maison qui fait angle des rues de la Juiverie et Carnot.

En 1394, le conseil de Régence de Charles VI rédigea une ordonnance bannissant tous les juifs de France**, ce qui les obligea à quitter ce quartier où ils habitaient depuis plus de deux siècles.

(Voir panneau sur le site)


* La date est sujette à caution. Il est dit que Thibaut V, dit "le Bon", Comte de Blois, les chassa en 1154, dans "Essais historiques sur la ville de Blois et ses environs" par M. Fournier, Grammairien et Maître de Pension, en 1785.

Mais l'abbé du Mont-Saint-Michel de 1154 à 1186, Robert de Torigni, affirme que le 28 mars 1171, les juifs de Blois auraient crucifié un enfant puis déposé son corps dans un sac qu’ils jetèrent dans la Loire. Le 25 ou 26 mai de la même année, envoya donc 33 personnes, soit un tiers de la communauté juive de la ville, hommes, femmes et enfants, au bûcher, sous l'accusation de crime rituel.

Dans son roman historique, "La Louve de Blois", René Bruneau décrit la situation:
"En 1170, le comte de Blois, Thibaut V, est tombé amoureux de Polcelina, une Juive de sa juiverie, jeune veuve et mère de deux filles. L'affaire scandalise la communauté juive de la ville et déclenche la féroce jalousie de la comtesse Alix (deuxième épouse de Thibaut). Pour autant, Thibaut V ne renonce pas à sa liaison, s'attirant l'hostilité croissante de son épouse, de ses vassaux, de ses serfs. La comtesse fait agir un moine fanatique, farouchement antisémite, qui va agiter une opinion d'avance hostile à la juiverie (le Juif est le déicide et l'usurier), jusqu'à obtenir de Thibaut qu'il condamne à mort l'ensemble des rabbins, de leurs épouses et de leurs filles (soit trente-trois personnes, dont vingt femmes). Polcelina et ses filles sont du nombre."

** Le 17 septembre 1394, alors que le royaume est fragilisé par l'ingérence du roi d'Angleterre en Flandre, en Guyenne, et en Bretagne, que des famines et la peste de 1348 a décimé l'occident chrétien, l'antisémitisme atteint des sommets. Qui plus est, l'Eglise connaissait le "Grand Schisme" depuis 1378, le roi Charles VI, dit le Fou (sa folie se déclarera en 1392), ne renouvèle pas la permission de séjour octroyée aux juifs en 1315 par Louis X.

Nevers (Nièvre) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Nevers (Nièvre)

Nevers (Nièvre)


Cathédrale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.

Toutes les galeries au premier étage sont composéee d'une triple arcature à chaque travée. Une seule travée comprend cinq arcatures. Les deux galeries de la nef ont des arcatures trilobées.




La Cathédrale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte est dédiée à saint Cyr, martyr à l’âge de trois ou quatre ans, en 304, et à sa mère sainte Julitte, une veuve noble résidant à Iconium (aujourd'hui Konya en Turquie). Les deux furent victimes de la Persécution de Dioclétien, ou Grande persécution, qui fut la dernière grande répression du christianisme.

Une cathédrale romane est édifiée dans la première moitiè du XIe siècle, avec un choeur orienté vers l'Ouest.

Une autre cathédrale de style gothique est greffée sur les parties romanes subsistantes, entre les XIIIe et XVIe siècles. Le choeur est transformé en style gothique "rayonnant".

Les chapelles des bas-côtés sont ajoutées au XVe siècle.

La tour, appelée tour Bohier, puis Boyer, fut construite entre les XVe et XVIe siècles. Elle est ornée de statues de plus de 3 mètres de haut représentant des personnages de l'Ancien et du Nouveau Testament.

Les vitraux contemporains (1977-2011), ont été réalisé par les artistes Jean-Michel Alberola, Gottfried Honegger, François Rouan, Raoul Ubac et Claude Viallat en collaboration avec des maîtres-verriers.


fr.wikipedia.org/wiki/Cathédrale_Saint-Cyr-et-Sainte-Jul...
www.bourgogneromane.com/edifices/neversCat.htm

Vendita vino by phacelias

© phacelias, all rights reserved.

Vendita vino

Passaggio lungo il canale dei Buranelli

Colonnade by Shahrazad26

© Shahrazad26, all rights reserved.

Colonnade

Budapest

Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Saint-Malo (Ille-et-Vilaine)

Saint-Malo (Ille-et-Vilaine)

Rue du Château-Gaillard.

20180421_140807-1LCAnd2moreVibrant by Luc Coekaerts from Tessenderlo

Released to the public domain

20180421_140807-1LCAnd2moreVibrant

Cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Vaast

20180421_140619-1LCAnd2moreVibrant2 - kopie by Luc Coekaerts from Tessenderlo

Released to the public domain

20180421_140619-1LCAnd2moreVibrant2 - kopie

Cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Vaast

20180421_140619-1LCAnd2moreVibrant2 by Luc Coekaerts from Tessenderlo

Released to the public domain

20180421_140619-1LCAnd2moreVibrant2

Cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Vaast

Mehun-sur-Yèvre (Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Collégiale Notre-Dame (XIe au XVe siècle). Le clocher-porche.


Le monumental clocher-porche, qui domine la vallée de l'Yèvre, fut construit à partir des années 1170-1180.


La tour-porche compte trois niveaux:

- Le rez-de-chaussée, occupé par un porche bâti sur les fortifications de la ville. Il sert de passage entre le château et la ville basse.
- La salle haute qui communiquait autrefois avec la nef par une grande arcade qui a été condamnée au milieu du XIXe siècle.
- Le beffroi. Le beffroi a été largement reconstruit suite à l'incendie de 1910.


Le portail ouvrant vers la nef est encadré par deux colonnettes à chapiteaux sculptés supportant un gros tore


fr.wikipedia.org/wiki/Collégiale_Notre-Dame_de_Mehun-sur...

(Pierre Martin. Les premiers chevets à déambulatoire et chapelles rayonnantes de la Loire moyenne (Xe-XIesiècles).Saint-Aignand’Orléans, Saint-MartindeTours, Notre-DamedeMehun-sur-Yèvre, La Madeleine de Châteaudun.. Sciences de l’Homme et Société. Université de Poitiers, 2010. Français.)

Mehun-sur-Yèvre (Cher) by sybarite48

Available under a Creative Commons by license

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Collégiale Notre-Dame (XIe au XVe siècle). Le clocher-porche.


Le monumental clocher-porche, qui domine la vallée de l'Yèvre, fut construit à partir des années 1170-1180.


La tour-porche compte trois niveaux:

- Le rez-de-chaussée, occupé par un porche bâti sur les fortifications de la ville. Il sert de passage entre le château et la ville basse.
- La salle haute qui communiquait autrefois avec la nef par une grande arcade qui a été condamnée au milieu du XIXe siècle.
- Le beffroi. Le beffroi a été largement reconstruit suite à l'incendie de 1910.


Le portail ouvrant vers la nef est encadré par deux colonnettes à chapiteaux sculptés supportant un gros tore


fr.wikipedia.org/wiki/Collégiale_Notre-Dame_de_Mehun-sur...

(Pierre Martin. Les premiers chevets à déambulatoire et chapelles rayonnantes de la Loire moyenne (Xe-XIesiècles).Saint-Aignand’Orléans, Saint-MartindeTours, Notre-DamedeMehun-sur-Yèvre, La Madeleine de Châteaudun.. Sciences de l’Homme et Société. Université de Poitiers, 2010. Français.)