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Sceaux-du-Gâtinais (Loiret).


Aquae Segetae ou Aquis Ségeste « les eaux de Segeta ».


Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

l'antique station d'Aquae Segetae est signalée par la Table de Peutinger comme Aquis Ségeste. Le site est placé le long d'un itinéraire routier antique important reliant Lyon au Sud-Ouest de la Gaule.

« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


* La déesse Segeta, était connue pour ses vertus liées à la fertilité.


www.tourismeloiret.com/fr/diffusio/visites/site-archeolog...

file:///W:/Sauvegarde%20Documents/France%20Communes%20Sites/Loiret/Sceaux-du-G%C3%A2tinais%2045/Aquis%20Segeste%20%E2%80%94%20Wikip%C3%A9dia.pdf

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Aquae Segetae ou Aquis Ségeste « les eaux de Segeta ».


Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

l'antique station d'Aquae Segetae est signalée par la Table de Peutinger comme Aquis Ségeste. Le site est placé le long d'un itinéraire routier antique important reliant Lyon au Sud-Ouest de la Gaule.

« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


* La déesse Segeta, était connue pour ses vertus liées à la fertilité.


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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


* La déesse Segeta, était connue pour ses vertus liées à la fertilité.


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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

l'antique station d'Aquae Segetae est signalée par la Table de Peutinger comme Aquis Ségeste. Le site est placé le long d'un itinéraire routier antique important reliant Lyon au Sud-Ouest de la Gaule.

« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

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* La déesse Segeta, était connue pour ses vertus liées à la fertilité.


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Aquae Segetae est une ancienne ville thermale du Haut Empire romain, construite autour d'une source sacrée dédiée à la déesse Segeta*. Ce sanctuaire s'est développé sur un ancien lieu de culte gaulois préexistant. La ville s'étendait à l'époque sur une superficie estimée d'environ 25 hectares.

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« les eaux de Segeta » fut l’une des cinquante-deux villes d’eau de l’Empire romain et était un lieu de pèlerinage important lors de son apogée au 2e siècle après J.-C.

Il reste les vestiges d’une grande cour cultuelle qui était bordée de galeries avec colonnades et un bassin, appelé « nymphée », qui recueillait les eaux d’une source sacrée.

Le site a été redécouvert au XIXe siècle.


* La déesse Segeta, était connue pour ses vertus liées à la fertilité.


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A peaceful scene at the Mỹ Sơn sanctuary, showing the remnants of an ancient Cham temple surrounded by lush greenery and a stone pathway leading towards history.

A wide view of Mỹ Sơn sanctuary, showing the ancient brick temples in the heart of lush Vietnamese nature, offering a glimpse into the history of the Cham civilization.

Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire)


Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».


L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.

Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.

La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.

Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.

L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce joyau de ce monument.


Le martyr de Saint-Léger.

Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.

En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.

Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.

Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.

À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.

Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.

Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.


www.touraine-actualites.fr/actualites-departementales/cul...

fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9ger_d%27Autun

Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire)


Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».


L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.

Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.

La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.

Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.

L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce joyau de ce monument.


Le martyr de Saint-Léger.

Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.

En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.

Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.

Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.

À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.

Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.

Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.


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L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.

Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.

La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.

Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.

L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce joyau de ce monument.


Le martyr de Saint-Léger.

Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.

En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.

Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.

Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.

À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.

Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.

Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.


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Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».


L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.

Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.

La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.

Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.

L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce joyau de ce monument.


Le martyr de Saint-Léger.

Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.

En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.

Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.

Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.

À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.

Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.

Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.


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Moulay Idriss