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Ferrière-sur-Beaulieu (Indre-et-Loire).


Forêt de Loches.


Route Forestière Gabrielle d'Estrées.


Bugle rampante (Ajuga reptans).

Espèce caractéristique des chênaies, mais aussi prairies, lisières, sous-bois, etc.... Présente partout en France métropolitaine, et dans presque toute l'Europe, surtout sur les sols riches et plutôt humides.

En médecine populaire, son application serait recommandée pour calmer les inflammations cutanées brûlantes. Cette réputation d'apaiser les sensations de brûlure la fait appeler parfois "herbe de Saint-Laurent", du nom du saint qui fut condamné à rôtir sur le gril.

Pouillé (Loir-et-Cher)


Aster lancéolée (Symphyotrichum lanceolatum).

Floraison de septembre à octobre. Surtout dans les vallées alluviales.

Origine Amérique du Nord. Assez rare. Vivace introduite en France pour l'horticulture.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)


Kayak sur le Cher, 17 juillet 2002.


Une lamiacée.

En rive du Cher. Possiblement une épiaire des marais (Stachys palustris).


fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89piaire_des_marais

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)


Kayak sur le Cher, 17 juillet 2002.


Une lamiacée.

En rive du Cher. Possiblement une épiaire des marais (Stachys palustris).


fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89piaire_des_marais

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)


Kayak sur le Cher, 17 juillet 2002.


Une lamiacée.

En rive du Cher. Possiblement une épiaire des marais (Stachys palustris).


fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89piaire_des_marais

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Orpin des rochers, orpin réfléchi (Sedum rupestre).

Une vivace de rochers. Rustique. Hermaphrodite (la fleur porte les organes males et femelles).

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Orpin des rochers, orpin réfléchi (Sedum rupestre).

Une vivace de rochers. Rustique. Hermaphrodite (la fleur porte les organes males et femelles).

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)


Gaillet croisette (Cruciata laevipes).

On l'appelle aussi "herbe à miel", les fleurs ayant une odeur de miel.

"Croisette", en raison de la disposition des feuilles verticillées par quatre (en croix par quatre au même niveau).

Une vivace qui pousse, souvent en colonie, dans les milieux humides, en lisière, dans les fossés, bois...

La fleur est petite, environ 2mm, au milieu d'une corolle à 4 lobes.

Plante tinctoriale au Moyen-Âge.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)


Gaillet croisette (Cruciata laevipes).

On l'appelle aussi "herbe à miel", les fleurs ayant une odeur de miel.

"Croisette", en raison de la disposition des feuilles verticillées par quatre (en croix par quatre au même niveau).

Une vivace qui pousse, souvent en colonie, dans les milieux humides, en lisière, dans les fossés, bois...

La fleur est petite, environ 2mm, au milieu d'une corolle à 4 lobes.

Plante tinctoriale au Moyen-Âge.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Cerfeuil des bois.

Attention, grande ressemblance avec la ciguë.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Gaillet jaune, Caille-lait jaune (Galium verum).

Le gaillet était autrefois utilisé pour faire cailler le lait d'où son nom de "Caille-lait". Le nom scientifique de "galium" est d'ailleurs dérivé du grec "gala", lait. Le lait caillé avec le gaillet prend une teinte jaunâtre.

L'utilisation du gaillet comme présure végétale colorait les fromages du type Chester ou Gouda.

Le gaillet serait diurétique et en usage externe permettrait de traiter les dartres et favoriserait la cicatrisation des petites plaies.

Son nom anglais "Lady's bedstraw" viendrait de son utilisation dans la crèche.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Gaillet jaune, Caille-lait jaune (Galium verum).

Le gaillet était autrefois utilisé pour faire cailler le lait d'où son nom de "Caille-lait". Le nom scientifique de "galium" est d'ailleurs dérivé du grec "gala", lait. Le lait caillé avec le gaillet prend une teinte jaunâtre.

L'utilisation du gaillet comme présure végétale colorait les fromages du type Chester ou Gouda.

Le gaillet serait diurétique et en usage externe permettrait de traiter les dartres et favoriserait la cicatrisation des petites plaies.

Son nom anglais "Lady's bedstraw" viendrait de son utilisation dans la crèche.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Gaillet jaune, Caille-lait jaune (Galium verum).

Le gaillet était autrefois utilisé pour faire cailler le lait d'où son nom de "Caille-lait". Le nom scientifique de "galium" est d'ailleurs dérivé du grec "gala", lait. Le lait caillé avec le gaillet prend une teinte jaunâtre.

L'utilisation du gaillet comme présure végétale colorait les fromages du type Chester ou Gouda.

Le gaillet serait diurétique et en usage externe permettrait de traiter les dartres et favoriserait la cicatrisation des petites plaies.

Son nom anglais "Lady's bedstraw" viendrait de son utilisation dans la crèche.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Ancolie des jardins (Aquilegia vulgaris).

Il existe de nombreuses variétés.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Bourrache officinale (Borago officinalis).

Dans l'Antiquité, cette plante était censée rendre fort et joyeux. Pline l’appelait « euphrosinum », celle qui rend l’homme heureux.

Giovanni Battista della Porta (1535-1615) dans "Phytognonomica" nous rapporte l'adage latin « Ego Borago, Gaudia semper ago », Moi, la Bourrache, apporte toujours la joie.

Macer Floridus* assure qu’une décoction de cette plante, répandue dans la salle égaye les convives : Laetos convivas decoctio dicitur ejus Reddere, si fuerit inter convivia sparsa.

Elle aurait été rapportée de Damas par les croisés, son nom est probablement d'origine arabe.


* "De viribus herbarum carmen" de Macer Floridus, serait le premier imprimé à propos des plantes, en 1477 à Naples.
Attribué à "Macer Floribus", l'ouvrage serait d'Odo de Meung qui vécu à la fin du XIe siècle dans la région de la Loire. Ce dernier lui-même s'étant inspiré d'une version précédente (du Xe siècle), une traduction allemande (Salerne) de l'arabe en latin. L'original ayant possiblement été un ouvrage botanique disparu du poète latin Aemilius Macer (Vers 16 avant J.-C.)

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Bourrache officinale (Borago officinalis).

Dans l'Antiquité, cette plante était censée rendre fort et joyeux. Pline l’appelait « euphrosinum », celle qui rend l’homme heureux.

Giovanni Battista della Porta (1535-1615) dans "Phytognonomica" nous rapporte l'adage latin « Ego Borago, Gaudia semper ago », Moi, la Bourrache, apporte toujours la joie.

Macer Floridus* assure qu’une décoction de cette plante, répandue dans la salle égaye les convives : Laetos convivas decoctio dicitur ejus Reddere, si fuerit inter convivia sparsa.

Elle aurait été rapportée de Damas par les croisés, son nom est probablement d'origine arabe.


* "De viribus herbarum carmen" de Macer Floridus, serait le premier imprimé à propos des plantes, en 1477 à Naples.
Attribué à "Macer Floribus", l'ouvrage serait d'Odo de Meung qui vécu à la fin du XIe siècle dans la région de la Loire. Ce dernier lui-même s'étant inspiré d'une version précédente (du Xe siècle), une traduction allemande (Salerne) de l'arabe en latin. L'original ayant possiblement été un ouvrage botanique disparu du poète latin Aemilius Macer (Vers 16 avant J.-C.)

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Rose Baccara.

Rose créée en 1954 par le rosiériste français du Cap d'Antibes, "la maison Meilland".

On doit cet hybride de rose thé d'un rouge intense à Francis Meilland mort en 1958. La rose Baccara est certainement l'une des roses les plus vendues au monde (quelques dizaines de millions).

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Rose Baccara.

Rose créée en 1954 par le rosiériste français du Cap d'Antibes, "la maison Meilland".

On doit cet hybride de rose thé d'un rouge intense à Francis Meilland mort en 1958. La rose Baccara est certainement l'une des roses les plus vendues au monde (quelques dizaines de millions).

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Pivoine.

La pivoine, (genre Paeonia) est une plantes à racines tubéreuses.

Péon (Παιὠν - Paiôn) était un des plus anciens dieux guérisseurs des anciens grecs.
Il soigna et guérit Hadès et Arès de leurs blessures de guerre. Les anciens Grecs dénommaient aussi la pivoine paiônia (παιωνἰα).

La pivoine herbacée était connue des Grecs anciens comme plante médicinale.

Hippocrate (460-370 av. J.C.) la prescrivait comme remède pour attirer les règles.

Certaines variétés de pivoines souvent tardives embaument.

The peony (Paeonia genus) is a plant with tuberous roots.

Peon (Παιὠν - PAION) was one of the oldest healing gods of ancient Greek.
He nursed and healed Hades and Ares from their war wounds. The ancient Greeks also dénommaient peony Paionia (παιωνἰα).

The herbaceous peony was known to ancient Greeks as a medicinal plant.

Hippocrates (460-370 BC. BC) prescribed it as a remedy to bring the rules.

Some varieties of fragrant peonies often late.

Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher)

Pivoine.

La pivoine, (genre Paeonia) est une plantes à racines tubéreuses.

Péon (Παιὠν - Paiôn) était un des plus anciens dieux guérisseurs des anciens grecs.
Il soigna et guérit Hadès et Arès de leurs blessures de guerre. Les anciens Grecs dénommaient aussi la pivoine paiônia (παιωνἰα).

La pivoine herbacée était connue des Grecs anciens comme plante médicinale.

Hippocrate (460-370 av. J.C.) la prescrivait comme remède pour attirer les règles.

Certaines variétés de pivoines souvent tardives embaument.

The peony (Paeonia genus) is a plant with tuberous roots.

Peon (Παιὠν - PAION) was one of the oldest healing gods of ancient Greek.
He nursed and healed Hades and Ares from their war wounds. The ancient Greeks also dénommaient peony Paionia (παιωνἰα).

The herbaceous peony was known to ancient Greeks as a medicinal plant.

Hippocrates (460-370 BC. BC) prescribed it as a remedy to bring the rules.

Some varieties of fragrant peonies often late.