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Pakone est un street artiste originaire de Bretagne et pratique son art depuis près de 30 ans au travers de différents collectifs de street artistes comme C29 ou TSF Crew. Il commence le graffiti en 1988 porté par les influences hip-hop venues des États-Unis et entame alors sa carrière de graffeur. C’est en 2012 qu’il réalise son tout premier arbre sakura sur mur, au festival Meeting of Styles de Perpignan, le tout premier d’une longue série. Depuis, la pratique et la réalisation de cette série de sakura se traduit pour lui comme une véritable séance de méditation, de retour à la nature. Le caractère éphémère du cerisier et de sa beauté, semblable à celui du street art, permet à l’artiste d’apporter un peu de couleur dans les rues monotones de nos villes et en particulier dans la grisaille bretonne. Il est aujourd’hui possible de voir de nombreux sakura éparpillés aux quatre coins de France.
"Pour la petite histoire, les premiers cerisiers offerts par l’ambassade japonaise à la Tunisie auraient commencé à fleurir en 2019. Ces cerisiers sont le symbole de la paix et du renouveau de la nature.
À Djerba, j’ai donc choisi de planter un sakura : une vision onirique et poétique qui s’intègre au milieu des bougainvilliers roses qui bordent les maisons blanches. Les pétales peints semblent danser avec les pétales des bougainvilliers qui ne cessent de tournoyer avec le vent s’engouffrant dans les ruelles de la médina. Ce sakura est un peu le miroir éphémère de l’art urbain, voué à disparaître puis à renaître. Une oasis culturelle, dans un lieu chargé d’histoire et de fraternité." - PAKONE (2022)
Pakone est un street artiste originaire de Bretagne et pratique son art depuis près de 30 ans au travers de différents collectifs de street artistes comme C29 ou TSF Crew. Il commence le graffiti en 1988 porté par les influences hip-hop venues des États-Unis et entame alors sa carrière de graffeur. C’est en 2012 qu’il réalise son tout premier arbre sakura sur mur, au festival Meeting of Styles de Perpignan, le tout premier d’une longue série. Depuis, la pratique et la réalisation de cette série de sakura se traduit pour lui comme une véritable séance de méditation, de retour à la nature. Le caractère éphémère du cerisier et de sa beauté, semblable à celui du street art, permet à l’artiste d’apporter un peu de couleur dans les rues monotones de nos villes et en particulier dans la grisaille bretonne. Il est aujourd’hui possible de voir de nombreux sakura éparpillés aux quatre coins de France.
"Pour la petite histoire, les premiers cerisiers offerts par l’ambassade japonaise à la Tunisie auraient commencé à fleurir en 2019. Ces cerisiers sont le symbole de la paix et du renouveau de la nature.
À Djerba, j’ai donc choisi de planter un sakura : une vision onirique et poétique qui s’intègre au milieu des bougainvilliers roses qui bordent les maisons blanches. Les pétales peints semblent danser avec les pétales des bougainvilliers qui ne cessent de tournoyer avec le vent s’engouffrant dans les ruelles de la médina. Ce sakura est un peu le miroir éphémère de l’art urbain, voué à disparaître puis à renaître. Une oasis culturelle, dans un lieu chargé d’histoire et de fraternité." - PAKONE (2022)
Pakone est un street artiste originaire de Bretagne et pratique son art depuis près de 30 ans au travers de différents collectifs de street artistes comme C29 ou TSF Crew. Il commence le graffiti en 1988 porté par les influences hip-hop venues des États-Unis et entame alors sa carrière de graffeur. C’est en 2012 qu’il réalise son tout premier arbre sakura sur mur, au festival Meeting of Styles de Perpignan, le tout premier d’une longue série. Depuis, la pratique et la réalisation de cette série de sakura se traduit pour lui comme une véritable séance de méditation, de retour à la nature. Le caractère éphémère du cerisier et de sa beauté, semblable à celui du street art, permet à l’artiste d’apporter un peu de couleur dans les rues monotones de nos villes et en particulier dans la grisaille bretonne. Il est aujourd’hui possible de voir de nombreux sakura éparpillés aux quatre coins de France.
"Pour la petite histoire, les premiers cerisiers offerts par l’ambassade japonaise à la Tunisie auraient commencé à fleurir en 2019. Ces cerisiers sont le symbole de la paix et du renouveau de la nature.
À Djerba, j’ai donc choisi de planter un sakura : une vision onirique et poétique qui s’intègre au milieu des bougainvilliers roses qui bordent les maisons blanches. Les pétales peints semblent danser avec les pétales des bougainvilliers qui ne cessent de tournoyer avec le vent s’engouffrant dans les ruelles de la médina. Ce sakura est un peu le miroir éphémère de l’art urbain, voué à disparaître puis à renaître. Une oasis culturelle, dans un lieu chargé d’histoire et de fraternité." - PAKONE (2022)
Pakone est un street artiste originaire de Bretagne et pratique son art depuis près de 30 ans au travers de différents collectifs de street artistes comme C29 ou TSF Crew. Il commence le graffiti en 1988 porté par les influences hip-hop venues des États-Unis et entame alors sa carrière de graffeur. C’est en 2012 qu’il réalise son tout premier arbre sakura sur mur, au festival Meeting of Styles de Perpignan, le tout premier d’une longue série. Depuis, la pratique et la réalisation de cette série de sakura se traduit pour lui comme une véritable séance de méditation, de retour à la nature. Le caractère éphémère du cerisier et de sa beauté, semblable à celui du street art, permet à l’artiste d’apporter un peu de couleur dans les rues monotones de nos villes et en particulier dans la grisaille bretonne. Il est aujourd’hui possible de voir de nombreux sakura éparpillés aux quatre coins de France.
"Pour la petite histoire, les premiers cerisiers offerts par l’ambassade japonaise à la Tunisie auraient commencé à fleurir en 2019. Ces cerisiers sont le symbole de la paix et du renouveau de la nature.
À Djerba, j’ai donc choisi de planter un sakura : une vision onirique et poétique qui s’intègre au milieu des bougainvilliers roses qui bordent les maisons blanches. Les pétales peints semblent danser avec les pétales des bougainvilliers qui ne cessent de tournoyer avec le vent s’engouffrant dans les ruelles de la médina. Ce sakura est un peu le miroir éphémère de l’art urbain, voué à disparaître puis à renaître. Une oasis culturelle, dans un lieu chargé d’histoire et de fraternité." - PAKONE (2022)
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