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Curçay-sur-Dive (Vienne). by sybarite48

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Curçay-sur-Dive (Vienne).

Curçay-sur-Dive (Vienne).


Vestiges de l'ancienne église Saint-Pierre (XIIe, XIIe, XVIIe siècles)

Au premier plan,la sépulture de la famille Baillou de la Brosse.


Le clocher carré est du XIIe siècle.
La nef et le pignon d'entrée ont été reconstruit au XIIIe siècle.
L'abside rectangulaire est du XVIIe siècle.

La porte de la façade occidentale à trois voussures est encadrée de colonnes engagées, avec une statue à droite (un
Saint Pierre ou un évêque?), et un groupe de trois personnages sculptés à gauche.

La nef était couverte de charpente.

Le clocher carré, au sud, est agrémenté de grandes arcatures et d'un logement des cloches ajourés de baies en plein cintre sur trois côtés.


Il y avait à Curçay deux églises paroissiales Saint Gervais et Saint-Pierre, qui relevaient du chapitre de Saint-Martin de Tours.
L’église Saint-Gervais est sur la colline qui domine le vallon de la Dive, c'est l'ancielle chapelle castrale.
L’église Saint-Pierre, maintenant ruinée, est dans la vallée, avec le cimetière à son côté sud.


monumentum.fr/monument-historique/pa00105446/curcay-sur-d...
parvis.poitierscatholique.fr/st-jeancharles/Curcay-sur-Di...

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


Sarcophages mérovingiens découverts en 1952 lors de la réhabilitation du quartier de la gare de Montrichard à l’emplacement d’un cimetière mérovingien.

Les Mérovingiens tiennent leur nom de Mérovée, roi - peut-être légendaire - franc salien. Les Francs Saliens était installés à l'ouest dans ce qui est aujourd'hui la région de l'Overijssel, aux Pays-Bas.

Mérovée serait le père de Childéric Ier et grand-père de Clovis.,

Les Mérovingiens constituent la première dynastie royale de France, qui régna pendant trois siècles (milieu du Ve siècle-751).

La dynastie mérovingienne fut évincée par les Carolingiens, au VIIIe siècle.

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher)


Réserve Naturelle de Grand-Pierre et Vitain.
Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher)


Réserve Naturelle de Grand-Pierre et Vitain.
Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher)


Réserve Naturelle de Grand-Pierre et Vitain.
Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher)


Réserve Naturelle de Grand-Pierre et Vitain.
Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire)

Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire)


Musée de la préhistoire.

Moulage d'une sépulture chasséenne* (fin du IV millénaire au début du IIIe), Auneau (Eure-et-Loire)

Adulte de sexe masculin, accompagné d'une coquille Saint-Jacques, de deux lames en silex et de deux poinçons en os.

La sépulture est datée au carbone 14 entre -3900 et -3400. Elle était accompagnée de 2 autres sépultures individuelles de même époque.


* Chasséen : Faciès culturel du néolithique moyen français défini par le matériel du site de Chassey-le-Camp, en Saône-et-Loire, caractérisé par une céramique fine et lustrée.

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).


Réserve naturelle nationale des vallées de la Grand-Pierre et Vitain.


Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).


Réserve naturelle nationale des vallées de la Grand-Pierre et Vitain.


Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

An elegant British burial by DameBoudicca

© DameBoudicca, all rights reserved.

An elegant British burial

ⓒRebecca Bugge, All Rights Reserved
Do not use without permission.

Reconstruction of an exclusive British cremation burial, with the real finds from a burial from Welwyn Garden city, Hertfordshire, found in 1965. The burial dated from around the late the first century BC and included the cremated remains of a man (that is the pile on the left on the floor), surrounded by game-pieces of glass, metal vessels and wine amphorae and a silver cup - but also a straw mat and wooden utensils and food which have long perished. This was a high status burial without a doubt, and though a lot of the material was locally produced, some of the objects were imported from Gaul and the amphorae and the silver cup were Roman.

Reconstructed and displayed at British Museum.

La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher) by sybarite48

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La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher)

La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher)

Eglise Saint-Barthélemy.

Le cimetière comprend des tombes de la famille de la Selle et Mac-Mahon.

Dont Adèle Marie Magdelaine Françoise, « dite Fanny » (8 juillet 1796 - Norwich † 23 décembre 1872 - La Ferté-Beauharnais), mariée, le 8 janvier 1820 à Sully, avec René de La Selle (1776-1841), seigneur de Ligné

La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher) by sybarite48

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La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher)

La Ferté-Beauharnais (Loir-et-Cher)

Eglise Saint-Barthélemy.

Le cimetière comprend des tombes de la famille de la Selle et Mac-Mahon.

Dont Adèle Marie Magdelaine Françoise, « dite Fanny » (8 juillet 1796 - Norwich † 23 décembre 1872 - La Ferté-Beauharnais), mariée, le 8 janvier 1820 à Sully, avec René de La Selle (1776-1841), seigneur de Ligné

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Averdon (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Averdon (Loir-et-Cher)

Averdon (Loir-et-Cher).

Nécropole néolithique et protohistorique de la Grande-Mesle.

Sépulture néolithique.

La nécropole de la Grand-Mesle à Averdon est la plus grande de la Région Centre. Elle sera utilisée pendant 3000 ans. À partir de -5000 av. J.C.

La nécropole est située sur un éperon rocheux entre deux vallées. L'éperon était déjà occupé dès les débuts du Néolithique, quelques vestiges en témoignent. Parmi les objets ramassés par les premiers explorateurs du XIX°, il existe un tesson muni d‟une petite anse à perforation verticale datable de la Culture de Chambon ( - 4500, Néolithique moyen 1) et un fragment d‟anneau en schiste, réutilisé dans une tombe néolitique, mais fabriqué par les populations post-danubiennes de la Culture de Villeneuve-Saint-Germain (- 4800). (Le site archéologique de la « Grand Mesle » Roland Irribarria UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Le site sera relativement préservé jusqu'à la fin du 19e siècle. En 1895, Ludovic Guignard de Butteville, châtelain de Chouzy, ayant reconnu des vestiges archéologiques, fit faire des tranchées, en travers des tumulus, par ses ouvriers. Il fera faire le premier relevé sur le terrain. Contesté pour ses méthodes brutales de fouilles, il refusera de communiquer son "cahier de fouilles". En 1914, l'archéologue Franchet réussit à amadouer Ludovic Guignard de Butteville et eut communication du "cahier de fouilles". Ce "journal de fouilles", disparu depuis, fit alors l'objet d'une courte note publiée par Franchet. Les éléments archéologiques mobiliers trouvés à l'époque seront dispersés.

En 1923-1935, l‟érudit local, Florance écrit des inventaires-synthèse sur l‟ensemble de la Préhistoire du Loir-et-Cher et reprendra les éléments produits par Franchet sur la nécropole. Il y fera même une excursion :

"En parcourant le Loir-et-Cher, l'année dernière (1910), à la recherche des enceintes préhistoriques ou très anciennes,
(...)
A 10 kilomètres au nord de Blois, sur le territoire de la commune d'Averdon, très importante station préhistorique, presque à la naissance de la Vallée de la Grande-Pierre et dans le petit val, j'ai vu encore un lieu de sépultures gallo-romaines. Cet endroit est situé a un kilomètre à l'est du hameau de Malakoffet de la route de Blois à Oucques, à 4 kilomètresà l'est du bourg d'Averdon.I l m'a été indiqué par M. Quentin-Lefeuvre, propriétaire cultivateur à Malakofl". Ce sont des carriers qui ont mis à jour plusieurs de ces sépultures ; ils ont été frappés par la vue des ossements et des débris de poteries qu'ils trouvaient presque à la surface du sol, c'est-à-dire à 0m20 ou 0m25 de profondeur. Là il n'ya pas eu d'incinération; il y a eu simple inhumation. On y trouve en effet de gros ossements qui n'ont certainement pas subi l'action du feu ; la terre est noirâtre et on ne voit pas de traces de cendres. Les poteries que j'y ai ramassées n'ont rien de remarquables ni de particulier ; il v a de grosses poteries de terre de couleur gris cendré et de plus fines gris-noiràtre. Je ne crois pas qu'il y ait eu là un grand nombre d'inhumations. Sur la hauteur à 100 mètres au nord et a l'ouest, on peut remarquer dans les champs d'assez nombreux débris de tuiles à rebords et de poteries galloromaines. Il a du exister dans ce lieu, désert aujourd'hui, une colonie agricole, et ce sont, sans doute, les restes du personnel de l'exploitation qu'on retrouve dans cet endroit spécial, qui n'était pas cultivé par suite du peu de profondeur de la terre végétale.
(Diverses Sépultures gallo-romaines en Loir-et-Cher. Par FLORANCE (de Blois), Président de la Société d'Histoire naturelle de Loir-et-Cher. In: Bulletin de la Société préhistorique de France. 1911, tome 8, N. 4. pp. 270-276.)

Le site continuera d'être détérioré jusqu'en 1984, date à laquelle J.Despriée, Directeur des Antiquités Préhistoriques, passe un accord avec la réserve naturelle crée auparavant. Cet accord prévoit un relevé exhaustif sur certaines parcelles.


(Pour plus de renseignements, voir: Le site archéologique de la « Grand Mesle » La « Grand Mesle » et la réserve dans l’environnement archéologique régional Roland IRRIBARRIA UMR 7041/Archéologie pour tous Ingénieur de recherches INRAP (Institut national de la recherche en archéologie préventive)

Saint-Marcel (Indre). by sybarite48

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Saint-Marcel (Indre).

Musée archéologique de Saint-Marcel.

Au cours de travaux d'irrigation dans le domaine du Plessis, commune de Velles (Indre)furent découvertes en 1974 deux sépultures en coffre.

Une fouille rationnelle de l'urne en verre de la sépulture n" 2 fut réalisée.

Le contenu en a été arbitrairement clivé en cinq niveaux, afin de rechercher l'existence possible de plusieurs individus et leur éventuelle superposition, ainsi que le suggéraient des observations antérieures. Malgré une crémation très poussée, il a été possible de rejeter cette hypothèse ; il s'agit de reste d'un homme de plus de 21 ans, déposés dans l'urne avec ceux d'une perdrix rouge dont les os brûlés attestent un traitement identique.

Ce type de sépulture est fréquent dans le Centre de la France ; le mobilier assez riche de l'ensemble découvert au Plessis permet de le dater du IIe siècle de notre ère.

Le coffre a été taillé dans un calcaire à grain très fin.
— Hauteur 33 cm
— Longueur 48 cm
— Largeur 44 cm

La cavité est rectangulaire de 21,5 cm sur 20 cm X 20,5 cm de profondeur.

Le couvercle est taillé dans le même calcaire, il se présente sous forme de pyramide à base parallépipédique à angles droits et sommet tronqué.Dimensions :
— Hauteur totale 41 cm
— Côté de la base 50 cm x 44 cm x 46 cm X 43 cm

D'après SÉPULTURES PAR INCINÉRATION DU PLESSIS (Commune de Velles, Indre)
Raymond Albert et Louis Chaix in revue archéologique du centre de la France.


Archaeological Museum of Saint-Marcel.

During irrigation works in the field of Plessis common Velles (Indre) were discovered in 1974 by two graves safe.

A rational search of the glass urn from burial "2 was performed.

The content was arbitrarily split into five levels to find the possible existence of several individuals and their possible overlap, as well as suggested earlier observations. Despite a high degree of cremation, it was possible to reject this hypothesis, it is still a man of over 21 years, placed in the urn with those of a partridge with burnt bones attest treatment identical.

This type of burial is common in Central France and the fairly rich furnishings of all discovered Plessis can be dated from the second century AD.

The trunk was cut into a very fine-grained limestone.
- Height 33 cm
- Length 48 cm
- Width 44 cm

The rectangular cavity is 21.5 cm x 20 cm x 20.5 cm deep.

The lid is carved in the same limestone, it is in the form of a pyramid with base parallelepiped angles and top tronqué.Dimensions:
- Total height 41 cm
- Side of the base 50 cm x 44 cm x 46 cm x 43 cm

Orléans (Loiret) by sybarite48

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Orléans (Loiret)

Muséum d'Orléans.

La "Dame de Monteloup".

Sépulture néolithique (il y a plus de 6000 ans), découverte en octobre 1998 lors de travaux de terrassement à la Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), sur l'éperon de Monteloup.

Le premier squelette est celui d'une femme, d'environ 20 ans. Son bras gauche passe sous le squelette d'un enfant d'environ 18 mois. Une étude ADN a permis de découvrir qu'il s'agit d'une mère avec son fils.

La femme porte plusieurs colliers de lignite noir (plus de 120 perles), ainsi que des colliers de petits coquillages (dentales). L'enfant porte un seul collier de dentales. Les dentales sont de petits coquillages en forme de dent qui vivent sur les plages marines.

Après recherche au carbone 14, la sépulture a pu être datée entre -4493 et -4355, période du Néolithique Moyen.

(D'après textes de H. Duday et Richard et Ch. Verjux).



Museum of Orleans.

The "Lady of Monteloup."

Neolithic burial (there are more than 6000 years), discovered in October 1998 during excavations in La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret), on the spur of Monteloup.

The first skeleton is that of a woman of about 20 years. His left arm goes under the skeleton of a child about 18 months. A DNA study has revealed that he is a mother with her son.

The woman wears several necklaces black lignite (over 120 beads), and necklaces of small shells (dental). The child has only one tusk necklace. Dentals are small tooth-shaped shells that live on the sea beaches.

After looking at carbon 14, the burial has been dated between -4493 and -4355, the Middle Neolithic period.

(According to texts and Richard H. Duday and Ch Verjux).

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