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Léonard de Vinci
(né le 14 avril 1452 du calendrier actuel, le 15 avril 1452 date de l'époque à Vinci (Toscane) et mort le 2 mai 1519 à Amboise (Touraine)
La Joconde ou Portrait de Monna Lisa
(Entre 1503 et 1506)
Huile sur bois (peuplier)
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La Joconde, aussi appelée Monna Lisa, est l’un des tableaux les plus célèbres de Léonard de Vinci, peint entre 1503 et 1506, probablement à Florence. Son nom original italien, Monna Lisa, signifie « Madame Lisa », en référence à Lisa Gherardini, l’épouse du riche marchand florentin Francesco del Giocondo.
Quelques points essentiels à propos de cette œuvre :
Technique : peinture à l’huile sur panneau de peuplier.
Dimensions : 77 × 53 cm.
Lieu d’exposition : musée du Louvre à Paris.
Caractéristiques emblématiques :
Le sourire énigmatique, qui semble changer selon l’angle de vue.
Le regard qui suit le spectateur.
L’utilisation du sfumato, une technique de dégradé subtil qui donne à la peau et au paysage une douceur unique.
Histoire mouvementée : volée en 1911, retrouvée en 1913 à Florence.
Statut d’icône : elle est devenue un symbole de l’art occidental, en partie grâce à son mystère, sa renommée historique et les nombreux détournements culturels.
Voici une présentation complète selon les trois axes que tu demandes : la technique, l’histoire du tableau, et l’interprétation du sourire.
1. Technique utilisée par Léonard de Vinci
La Joconde est un chef-d’œuvre de la technique du sfumato, une méthode inventée et perfectionnée par Léonard. Le mot vient de l’italien sfumare, qui signifie « s’évaporer » ou « fondre ».
Principaux éléments techniques :
Sfumato : Léonard superpose des couches très fines de peinture et de glacis translucides pour créer des transitions imperceptibles entre les couleurs et les formes (ex : le contour du visage, la fumée du paysage).
Modulation subtile de la lumière : elle donne au visage un modelé presque vivant, sans lignes nettes ni contours durs.
Fond vaporeux : le paysage à l’arrière-plan, avec ses montagnes et ses rivières irréelles, accentue le mystère du personnage.
Peinture à l’huile sur panneau de bois (peuplier), ce qui permet une finesse d’exécution supérieure à celle de la fresque ou de la tempera.
Utilisation de glacis : pour créer des effets de profondeur et de texture, notamment dans les yeux et la bouche.
2. Histoire du tableau
Commanditaire probable : Francesco del Giocondo, un riche marchand florentin, pour représenter son épouse, Lisa Gherardini.
Création : vers 1503-1506, possiblement retouchée jusqu’en 1517.
Léonard ne s’en est jamais séparé : il l’a emportée en France quand il a été invité par François Ier vers 1516. Il meurt à Amboise en 1519, laissant le tableau dans ses affaires.
Acquisition par François Ier : probablement achetée ou reçue par le roi, elle entre dans les collections royales françaises.
Transferts successifs : d’Amboise au château de Fontainebleau, puis au Louvre après la Révolution.
Volée en 1911 par Vincenzo Peruggia, un Italien nationaliste voulant « restituer » l’œuvre à l’Italie. Retrouvée en 1913 à Florence.
Symbole mondial : le vol a en réalité accru sa renommée. L’œuvre est depuis protégée sous verre pare-balles, dans une salle dédiée du Louvre.
3. Interprétation du sourire
Le sourire de la Joconde est l’un des plus grands mystères de l’histoire de l’art.
Principales interprétations :
Psychologique : certains y voient une ambivalence émotionnelle, un sourire sincère mêlé de mélancolie ou d’ironie.
Scientifique : des chercheurs ont montré que selon l’angle de vision ou la luminosité, notre perception du sourire change. Cela serait lié à la manière dont notre cerveau traite les zones floues et périphériques du visage.
Technique artistique : grâce au sfumato, Léonard donne au sourire une mobilité étrange, il semble apparaître puis disparaître, créant une illusion d’animation.
Symbolique : certains pensent que Léonard voulait exprimer l’idéal de la féminité intemporelle, de la sérénité intérieure, voire une image de la Vierge Marie.
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Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Rome, 430s BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
c. 400 BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Attica, 400s BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Athens, 450s BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Asia Minor, 440-420 BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Roman copy of Greek original from c. 430s BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Athens, c. 400 BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Gaeta, Roman copy of 2nd Century AD based on Greek original of 400s BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Lesbos, Roman copy of original from c. 430 BC
Berlin (Germany) '24
Altes Museum
Athens/Piraeus, 400s BC
Alexandre Cabanel, (28 septembre 1823 à Montpellier - 23 janvier 1889 dans le 8ᵉ arrondissement de Paris)
La Naissance de Vénus (1863)
Huile sur Toile
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Alexandre Cabanel est un peintre français du XIXe siècle, célèbre pour ses œuvres académiques mêlant mythologie, beauté idéalisée et finesse technique. Une de ses œuvres les plus connues est “La Naissance de Vénus”, réalisée en 1863.
Dimensions : 130 × 225 cm
Lieu de conservation : Musée d’Orsay, Paris
Description de l’œuvre :
La toile représente Vénus, déesse romaine de l’amour et de la beauté, allongée nue sur les flots, les yeux mi-clos, dans une posture sensuelle mais éthérée. Elle est entourée de petites figures ailées — des amours (ou putti) — volant au-dessus d’elle. Le traitement du corps est d’une grande douceur, baigné dans une lumière nacrée, avec une palette délicate de tons roses, bleutés et ivoire.
Réception :
Présentée au Salon de 1863, l’œuvre remporta un vif succès et fut achetée par Napoléon III. Elle incarne parfaitement l’esthétique académique de l’époque : beauté idéalisée, référence mythologique, raffinement de la technique.
Voici une analyse approfondie de La Naissance de Vénus (1863) d’Alexandre Cabanel, une œuvre emblématique de l’art académique français du XIXe siècle :
1. Sujet et iconographie
Cabanel choisit un thème mythologique classique : la naissance de Vénus, déesse romaine de la beauté, née de l’écume de la mer. Il s’inscrit dans une longue tradition artistique, notamment après Botticelli, mais s’en distingue radicalement par le style et la sensualité assumée.
Vénus est représentée nue, allongée sur une vague, dans une pose ondoyante, presque irréelle.
Sa chevelure cuivrée épouse les courbes de son corps et accentue la ligne serpentine de la composition.
Des putti (amours ailés) volètent dans le ciel, accentuant l’aspect céleste et poétique de la scène.
2. Composition et esthétique
La composition est horizontale, épousant la forme du corps de Vénus et renforçant son aspect flottant et éthéré.
Le corps de Vénus est central, occupant la presque totalité de la largeur de la toile. Il est idéalisé, lisse, sans défaut — conforme aux canons de beauté de l’époque.
Son regard mi-clos et sa bouche entrouverte évoquent un état de demi-sommeil, entre innocence et sensualité.
Le fond marin aux tons bleu-gris, avec ses reflets soyeux, enveloppe la scène d’une lumière douce et diffuse.
Le contraste entre la chaleur de la chair et la fraîcheur du décor aquatique crée une tension visuelle subtile.
3. Couleur et lumière
La palette est très maîtrisée : tons nacrés, roses pâles, ivoires, bleus brumeux…
La lumière baigne la figure de Vénus d’un éclat presque surnaturel, comme si elle émanait d’elle-même.
La carnation est rendue avec une finesse extrême, chaque partie du corps étant modelée avec soin pour évoquer la douceur tactile de la peau.
4. Symbolique et réception
L’œuvre est à la fois sensuelle et idéalisée, et c’est cette ambiguïté qui a contribué à son immense succès au Salon de 1863. Le nu est justifié par le mythe antique, ce qui permet une présentation érotique dans un cadre « respectable ».
Napoléon III l’achète immédiatement pour son cabinet personnel, ce qui contribue à la renommée de Cabanel.
L’œuvre incarne parfaitement les valeurs de l’Académie des Beaux-Arts : respect de la tradition, idéalisation du corps, technique irréprochable.
5. Enjeux artistiques
Cabanel s’oppose aux artistes réalistes comme Courbet. Là où ces derniers montrent la chair brute, Cabanel propose une chair idéalisée, presque irréelle.
Il faut voir cette œuvre aussi comme une réponse implicite à l’émergence des avant-gardes : elle affirme le pouvoir de l’art académique face à l’évolution des mœurs artistiques.
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Le salon des chiens
Au centre,
WVZ 208, Niche,
Sculpture d'Elmar Trenkwalder, Peintre, Sculpteur (Autriche, 1959)
2008
Céramique
Sur les murs : Tableaux représentant des chiens de Francois Desportes (1661-1743)
Bureau du 18ème siècle, Mobilier national
Musée de la chasse et de la nature, Paris
www.chassenature.org/