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Édifice William-Watson-Ogilvie 1890
135 Rue du Port,
151-157 rue Sherbrooke Est.
L’hôtel Manoir Sherbrooke est une maison historique de 1862 datant de l’époque Victorienne. Tès jolie avec sa tour de coin à la toiture conique.
1003 Rue Lambert Closse
1538 Avenue du Docteur-Penfield
Belle série d'édifices datant de 1900, une bien belle tourelle de coin qui agrémente cet édifice. 900-932 Boulevard René-Lévesque E
Cet édifice construit en 1875 a belle allure avec sa tourelle de coin et ses deux oriels. Coin Logan et Plessis
901 rue Sherbrooke E
Maison Joseph-Hercule Dansereau. Construction: vers 1880-1890. Actuellement: Hôtel (Auberge) de Paris.
416 - 424 Boulevard René-Lévesque Est, année de construction inconnue.
1597 Av. du Docteur-Penfield
1538 Avenue du Docteur-Penfield
12560, rue Notre-Dame Est
Maison Victorien Roy
La tourelle, le bois ouvragé des lucarnes et le toit en pavillon de cette somptueuse demeure, évoquent l'époque victorienne du début
du siècle. On peut donc valablement présumer quelle fut construite entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle.
Outre ses allures victoriennes, cette maison arbore quelques éléments de style italien, tels la statue qui surplombe le parterre avant
et le belvédère situé à l'extrémité du toit.
Cette maison appartient à la famille Roy depuis 1925, date à laquelle le notaire Victorien Roy, secrétaire-trésorier de la Ville de
Pointe-aux-Trembles de 1917 à 1944, en fit l'acquisition.
Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Maison Oakes
8320 boulevard Gouin Est.
Cette demeure, construite en 1909, est représentative de la mode victorienne qui a cours entre 1850 et les premières années du XXe siècle. Ce courant urbain combine plusieurs styles. Il apparaît dans les villages québécois vers la fin du XIXe siècle et détonne par rapport aux constructions villageoises habituelles.
Le courant victorien se démarque par ses volumes répondant à des géométries variables, sa verticalité, son éclectisme, son refus de la symétrie, sa surcharge d'éléments esthétiques tels que les dentelles de bois, les toupies et modillons. Ici, sur le toit on voit une galerie faîtière et une crête.
La maison Oakes présente une ornementation faite de jeux de briques autour des ouvertures. L'utilisation de ce matériau remonte à 1850. Toutefois, il faut attendre 1900 pour voir apparaître la brique de plusieurs couleurs dite brique polychrome. D'influence anglo-saxonne, on l’adopte tout d’abord en milieu urbain à cause de son faible coût de production.
Tiré de l'affiche historique face à la maison.
11931, rue Notre-Dame Est
Maison Urgel-Charbonneau 1913
Résidence construite pour Urgel Charbonneau, premier maire de la Ville de Pointe-aux-Trembles. Transformée en centre de réhabilitation et de réinsertion sociale en 1989.
Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Construite en 1912, cette magnifique maison illustre avec éloquence le style victorien en vogue au tournant du XXe siècle. Ses multiples éléments bien caractéristiques de son temps: les formes complexes du toit, l'ornementation du balcon et du portique à l'antique, ta tourelle et la galerie. La tôle à baguette couvre la toiture, et la tôle ouvragée la tourelle dangle de cette résidence familiale en pierre
bosselée avec chaînage en pierre de taille. Le parterre
est grand et proportionnel a ta maison.
En 1989, le bâtiment fut adapté à sa nouvelle fonction de centre résidentiel communautaire pour la réinsertion sociale des judiciarisés adultes. Ce centre maintenant nommé Pavillon Prosper-Boulanger est administré par la Société Emmanuelle-Grégoire inc., à laquelle il est affilié.
12268, rue Notre-Dame est
Maison Jean Versailles
Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Cette maison fut construite vers 1900 sur la terre (181) de Joseph Lamarche. D'inspiration Queen Ann par son toit en pavillon, la tourelle coiffée dun cône inversé, la galerie périphérique, le perron en Hémicycle, la villa en parement de brique et le pignon central confèrent au bâtiment une allure typiquement victorienne.
À l'origine, une entrée en forme de fer à cheval permettait d'accéder à la propriété. En outre. la charmante fontaine située sur le parterre devant la résidence ajoutait ou taste des lieux. Dès 1909 Jean Versailles, déjà grand promoteur immobilier de Montréal, acquiert cette terre et cette maison. II est également propriétaire d'un tour d'eau érigé ici sur ce terrain et y exploitera le service d'aqueduc de I'extrême Est de Montréal jusqu'au bout de l'Île.
Son frère Joseph fondera en 1910 la ville de Montréal-Est;
Jean Versailles y fera plusieurs termes d'office comme échevin.
En juillet 1985, un incendie endommagea cette maison. Fort heureusement, les travaux de rénovation ont été complétés depuis.
12268, rue Notre-Dame est
Maison Jean Versailles
Tiré de l'affiche historique installée face à l'édifice.:
Cette maison fut construite vers 1900 sur la terre (181) de Joseph Lamarche. D'inspiration Queen Ann par son toit en pavillon, la tourelle coiffée dun cône inversé, la galerie périphérique, le perron en Hémicycle, la villa en parement de brique et le pignon central confèrent au bâtiment une allure typiquement victorienne.
À l'origine, une entrée en forme de fer à cheval permettait d'accéder à la propriété. En outre. la charmante fontaine située sur le parterre devant la résidence ajoutait ou taste des lieux. Dès 1909 Jean Versailles, déjà grand promoteur immobilier de Montréal, acquiert cette terre et cette maison. II est également propriétaire d'un tour d'eau érigé ici sur ce terrain et y exploitera le service d'aqueduc de I'extrême Est de Montréal jusqu'au bout de l'Île.
Son frère Joseph fondera en 1910 la ville de Montréal-Est;
Jean Versailles y fera plusieurs termes d'office comme échevin.
En juillet 1985, un incendie endommagea cette maison. Fort heureusement, les travaux de rénovation ont été complétés depuis.
Maison Oakes
8320 boulevard Gouin Est.
Cette demeure, construite en 1909, est représentative de la mode victorienne qui a cours entre 1850 et les premières années du XXe siècle. Ce courant urbain combine plusieurs styles. Il apparaît dans les villages québécois vers la fin du XIXe siècle et détonne par rapport aux constructions villageoises habituelles.
Le courant victorien se démarque par ses volumes répondant à des géométries variables, sa verticalité, son éclectisme, son refus de la symétrie, sa surcharge d'éléments esthétiques tels que les dentelles de bois, les toupies et modillons. Ici, sur le toit on voit une galerie faîtière et une crête.
La maison Oakes présente une ornementation faite de jeux de briques autour des ouvertures. L'utilisation de ce matériau remonte à 1850. Toutefois, il faut attendre 1900 pour voir apparaître la brique de plusieurs couleurs dite brique polychrome. D'influence anglo-saxonne, on l’adopte tout d’abord en milieu urbain à cause de son faible coût de production.
Tiré de l'affiche historique face à la maison.
