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La Chapelle-Blanche-Saint-Martin (Indre-et-Loire). by sybarite48

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La Chapelle-Blanche-Saint-Martin (Indre-et-Loire).

La Chapelle-Blanche-Saint-Martin (Indre-et-Loire).


Église Saint-Martin (XIIe, XIIIe, XVIe, XXe).


Tableau de l'ange gardien. Huile sur toile.

Copie d'un tableau de l'artiste baroque italien Domenico Feti mort en 1623 à Venise.
L'original du tableau se trouve au musée du Louvre.

La copie a été réalisée par Aglaé Laurendau vers 1860.

II semblerait qu'il existait, bien avant la Révolution, un tableau de l'ange gardien si abîmé qu'après étude il a été jugé préférable de faire faire une copie plutôt que de le restaurer. II décorait un autel de I'ange gardien qui aurait été situé un temps dans la Chapelle nord.

Ce tableau a été restauré en 2015 par Marc Philippe de Fondettes.

Dans la religion catholique, l'ange gardien est un ange attaché à la personne de chaque chrétien pour le protéger.


valleedelariolle.fr/leglise-saint-martin-de-la-chapelle-b...

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saint-martindetours.com/eglise-saint-martin-la-chapelle-b...

Issoudun (Indre). by sybarite48

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Issoudun (Indre).

Issoudun (Indre).


Musée de l'Hospice Saint-Roch.

Saint Roch par Alfred Courmes (1898 - 1993)

Alfred Courmes conserve les éléments caractéristiques de l'iconographie traditionnelle de saint Roch. Le protecteur des pestiférés dévoile sa cuisse et désigne de l'index le bubon de la peste, à ses cotés, le chien tient dans sa gueule un morceau de pain. Toutefois, la franchise et l'audace de la composition dépassent ironiquement cette représentation. Sa tenue austère contraste avec son pantalon baissé laissant entrevoir son sexe. En montrant le saint « défroqué » l'artiste transgresse la pudeur habituelle qui contraignait jusque là à peindre le bubon au genou plutôt qu'à l'aine.
De nombreux détails sont réactualisés: chapeau melon et gilet remplacent feutre et pèlerine, la valise de voyageur (P LM : Paris-Lyon-Marseille) supplante le bourdon du pèlerin, le rat en cage devient le symbole moderne de la peste. Saint-Roch, auréolé d'une pleine lune, est fortement éclairé laissant une ombre portée sur le paysage comme s'il s'agissait d'une prise de vue en studio !
Ce tableau a un pendant, Saint Sébastien, conservé au Musée national d'art moderne à Paris.


Alfred Courmes est né à Bormes-les-Mimosas en 1898 ( le 21 mai ) et mort à Paris en 1993.

Élève de Roger de La Fresnaye (un des acteurs du cubisme), il s'installe à Paris en 1925, où il expose au Salon des indépendants et au Salon d'automne.
Il réalise des toiles cubistes (Nature morte cubiste au pinceau, 1921), peint des portraits comme celui de la collectionneuse d'art, américaine, Peggy Guggenheim, en 1926. Ensuite, en visitant les musées de Bruges et de Gand, il s'imprègne de Bruegel, Van Eyck, Hans Holbein, Dürer, et de Bosch.
Lors d'un séjour à Ostende (1927-1930), il fait la connaissance de Ensor, Constant Permeke, et Félix Labisse, découvre, le surréalisme et l'expressionnisme flamands, et peint l'Homme blessé (1929) en hommage à Roger de La Fresnaye.
De retour à Paris (1930), il reçoit le prix Paul-Guillaume en 1936 (partagé avec Tal-Coat) pour Saint Sébastien (1934), qui mêle iconographie chrétienne traditionnelle et publicité contemporaine (la fillette des Chocolats Menier tâte les parties génitales du saint attaché à un arbre, tout en lui plantant une flèche dans le flanc).
Après le Toucher, réalisé pour le pavillon de la manufacture de Sèvres à l’Exposition internationale de Paris de 1937, il pratique une peinture de type «illusionniste».
En 1938, Albert Sarraut, Ministre de l’Éducation nationale lui propose de participer à la décoration de la salle à manger de l’ambassade de France à Ottawa.
En 1946, il participe à l’Exposition surréaliste de Lille avec Magritte et Clovis Trouille. Ensuite, il expose régulièrement au Salon de Mai.
Dans les années 1960, il accentue le caractère ironique de ses toiles (la Pneumatique Salutation d'Angélique, 1968). Il participe, en 1981, à l'exposition les Réalismes du Centre Georges-Pompidou.


Une exposition lui a été consacrée en 2023, au siège du Parti communiste français, à l'espace Niemeyer.
Description :
Alfred Courmes a traversé tout le XXème siècle avec élégance et discrétion. À tel point que, depuis toujours, les responsables de musées l’adorent, mais sans avoir encore jamais osé une vraie rétrospective. C’est chose faite aujourd’hui à l’espace Niemeyer, au plus près du canal Saint-Martin qui fût son univers.
Cet artiste était un personnage ultra-libre, éminemment singulier, un bourgeois cultivé, sans le sou, épris de peinture fraîche, licencieuse et joyeuse, qui n’avait rien à faire de ne ressembler à personne. On pense à Coluche là-haut, désirant que sa famille ne se sépare jamais de la boîte de Camembert, ce tableau qui l’enchantait.
La visite était animée par Dominique Carré, éditeur de livres d’art (Éditions La Découverte) et commissaire de plusieurs expositions.

Romilly-sur-Aigre ( Eure-et-Loir) by sybarite48

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Romilly-sur-Aigre ( Eure-et-Loir)

Romilly-sur-Aigre ( Eure-et-Loir)
Commune de Cloye-les-3-Rivières.


Église Saint-Pierre.


Il y eu deux seigneuries à Romilly : L’une appelée la Seigneurie de Romilly dite de la Cour ou de la Grand Cour, dont le premier propriétaire connu fut Jehan de Montauban en 1442. L’autre appelée la seigneurie du Jonchet, qui fut possession de Jacques de Lyon en 1537.

En 1593, les deux domaines furent réunis par Nicolas Sublet qui ajouta l'ensemble à ses domaines déjà importants dans la vallée de l’Aigre : La Ferté Villeneuil, la Touche, la Grand-Cour et Morgues.

En 1664, Jean de Pleurre rachète les propriétés de la famille Sublet.

L'église a été érigée à l’emplacement de l’ancien château des seigneurs de la Grand’Cour qui devait regrouper l’emplacement de l’église actuelle ainsi que celui de la ferme de la Grand-Cour.

La partie la plus ancienne, la nef, date de la fin du XVe siècle. Elle comporte des baies gothiques au sud et romanes au nord.

Le chœur est de la fin du XVIe siècle. Une scène biblique est peinte sur les lambris du cul-de-four de l’abside. Le chœur a peut-être été voûté, comme le laisseraient supposer les quatre amorces d’ogives encore visibles.

La grille du chœur est du XVIIIe siècle et provient de l'ancienne abbaye de Saint-Avit à Saint-Denis-les-Ponts.

La charpente a été réparée et les lambris de la nef et du chœur ont été refaits vers le milieu du XVIIIe siècle.

Le clocher a probablement été ajouté au début du XXe siècle.

On doit à Jean de Pleurre l'édifice occidental faisant porche, composé d’un bâtiment à deux étages dont la façade est flanquée de deux tours rondes qui donnent à l'édifice, à tort, l'allure d'une église fortifiée. Adossé au pignon occidental de la nef, ce bâtiment rectangulaire flanqué de deux tours aurait servi de "Petit-Hôpital" en remplacement provisoire de l'Hôtel-Dieu de La Ferté-Villeneuil.


Émile Zola (1840-1902) s'inspira de Romilly, qu'il nomma Rognes, pour écrire son roman La Terre.


ecomuseevaldaigre.eu/le-territoire/communes-du-bassin-ver...
www.sauvegardeartfrancais.fr/projets/romilly-sur-aigre-eg...
www.fichier-pdf.fr/2021/03/10/romilly-sur-aigre-livre-v3-...

Brinay (Cher) by sybarite48

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Brinay (Cher)

Brinay (Cher)


Eglise Saint-Aignan.

Tableau du XVIe siècle représentant la Vierge à l’Enfant. Mur Ouest.

Orléans (Loiret). by sybarite48

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Orléans (Loiret).

Orléans (Loiret)


Musée historique et archéologique de l'Orléanais


Portrait de Jeanne d'Arc dit Portrait de l'hôtel de ville (1581).

Huile sur toile.

Provient de l'hôtel des Créneaux, ancien hôtel de ville d'Orléans.


Inscription :

« IN ICONEM IANAE VOCOLAVRIAE VIRAGINIS AVRELIAE •
VIRGO REDIT • GALLO MVTA VEL IMAGINE FOELIX •
QUAM NVUMEN QVONDAM PATRIAE NON MACHINA MISIT
SVBSIDIO • AVGVRIUM BONE REX HENRICE SALVTA •
DE COELIS EXCITA TVIS VIRGO ALTERA VOTIS
FORTVNET REGNI AVSPICIVM • LANCEMQZ RETRACTET
VTRAQZ VT ANTIQVVM TVA SAECLA RECVNDAT IN AVRVM •
G•V•G•PP•1581• »

«La Pucelle revient en France, heureuse d'y être, même à l'état de muette image ; Elle qu'autrefois Dieu, et non quelque artifice humain, a envoyé au secours de la patrie : Bon roi Henri, salue cet augure : Qu'une autre Pucelle, venue du ciel pour combler tes vœux, rende ton règne fortuné ; et que ces deux Pucelles, en y rétablissant la justice, ressoudent ton siècle à l'antique âge d'or ! - Germain Vaillant de Guelis, de Paimpont5. 1581»

Issoudun (Indre). by sybarite48

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Issoudun (Indre).

Issoudun (Indre)

Musée de l'Hospice Saint-Roch.


Raoul Dufy

Sirène au trident
1925 - Huile sur toile.

Dépôt du Centre Georges Pompidou.

Lavardin (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Lavardin (Loir-et-Cher)

Lavardin (Loir-et-Cher)


Eglise Saint-Genest.

Retable avec son tableau : Baptême du Christ. XVIIIe siècle.

Pierre tallée et peintepour le support et toile peinte à l'huile.

Palluau-sur-Indre (Indre). by sybarite48

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Palluau-sur-Indre (Indre).

Palluau-sur-Indre (Indre).

Ancienne collégiale Sainte-Menehoulde, actuelle église Saint-Sulpice.

Saint-Augustin et l'enfant à la coquille.

Huile sur toile du milieu du XIXe siècle, copie de Pauline Logerot d'après Murillo. L'original serait au couvent des Augustins à Séville. Mlle Pauline Logerot aurait exposé au Musée Royal en 1841 et 1843.


L'anecdote :

Saint Augustin, Evêque d'Hippone, en Afrique du Nord, se promenait un jour au bord de la mer. Il aperçoit tout à coup un jeune enfant allant et venant sans cesse du rivage à la mer : l'enfant avait creusé dans le sable un petit bassin et allait chercher de l'eau avec un coquillage pour la verser dans son trou. Le manège de cet enfant intrigue l'Evêque qui lui demande :

- Que fais-tu là ?
- Je veux mettre toute l'eau de la mer dans mon trou.
- Mais, mon enfant, c'est impossible ! La mer est immense, et ton bassin tout petit !
- C'est vrai, dit l'enfant. Mais j'aurai pourtant mis toute l'eau de la mer dans mon trou avant que vous n'ayez compris le mystère de la Sainte Trinité.

Palluau-sur-Indre (Indre) by sybarite48

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Palluau-sur-Indre (Indre)

Palluau-sur-Indre (Indre)

Eglise Saint-Sulpice, anciennement collégiale Sainte Menehould. Peinture sur toile de saint-Sulpice.

Issoudun (Indre) by sybarite48

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Issoudun (Indre)

Issoudun (Indre)

Musée de l'Hospice Saint-Roch.

Sirène au trident, de Raoul Dufy - 1925.

Huile sur toile (Dépôt du Centre Georges Pompidou)

Issoudun (Indre) by sybarite48

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Issoudun (Indre)

Issoudun (Indre).

Musée de l'Hospice Saint-Roch.

Tours (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Tours (Indre-et-Loire)

Tours (Indre-et-Loire)

Musée des Beaux-Arts.

Serge Poliakoff (Le tableau est en dépôt longue durée).

Peintre expressionniste-abstrait, Poliakoff (Poliakov) est né à Moscou en janvier 1900 et décédé à Paris en octobre 1969.

Il était ce qu'on a appelé un "russe blanc". Sa famille, des propriétaires terriens, éleveurs de chevaux, doit fuir la Russie. Son père fournit ses chevaux à l'armée russe et possède une écurie de course. Sa mère est fille de propriétaires terriens et petite-fille de général. Il survivra dans plusieurs capitales, grâce à sa guitare (il accompagnera sa tante, la chanteuse Nastia Poliakoff), avant de rejoindre Paris en 1923. C'est à Paris qu'il délaissa l’art figuratif pour l’abstraction. Encouragé dès 1947 par le prix Kandinsky, il expose de plus en plus souvent. En 1952, il trouvera le succès comme peintre, grâce à un contrat avec la galerie Bing: « Il put enfin abandonner guitare et cabarets russes. Nous habitions le même immeuble, 51 rue de Seine. Dés qu'il vendait un tableau, il lançait des invitations. J'étais de toutes les fêtes. Tout était toujours exquis. On riait beaucoup. Merveilleux ! s'exclamait mon grand-père, son mot favori. Il passait du russe au français et à l'anglais et ne faisait guère d'efforts pour perdre son accent. J'ai vécu mon enfance dans sa Rolls- Royce : on m'emmenait partout». ("Serge Poliakoff, mon grand père" par Marie- Victoire Poliakoff - Chêne).

Poliakoff prend son thé aux Deux Magots, fréquente les champs de courses. C'est un homme d'une élégance raffinée qui peint parfois en cravate...

L'anecdote du canif: En 1936, alors qu'il est à Londres, il passe des heures au British Museum. Il est intrigué par la profondeur des ors des sarcophages égyptiens. On raconte qu'il aurait sorti son canif, en profitant d'une absence du gardien, pour gratter légèrement la couche d'or d'un sarcophage. Il aurait alors compris que la profondeur était obtenue par des couches successives de peinture.

Tours (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Tours (Indre-et-Loire)

Tours (Indre(-et-Loire)

Musée des Beaux Arts.

Henri Le Sidaner (1862–1939).

Henri-Eugène Le Sidaner né à Port-Louis, dans l'île Maurice, le 7 août 1862, est le fils d'un inspecteur du Lloyd mort dans un naufrage dans la Manche en 1881. Il passe son enfance à Dunkerque et devient boursier de la ville. Il part étudier la peinture à Paris, découvre l'impressionnisme et la peinture de Manet.

En 1882, Henri Le Sidaner est reçu à l'École des Beaux-Arts de Paris. Il entre en 1884 dans l'atelier de Cabanel. En 1885, il part s'installer à Étaples à l'auberge Joos, où il rencontrera d'autres peintres.

En 1892, il visite l'Italie et la Hollande.

Il s'installe à Paris où il côtoie des personnalités proches du Symbolisme, telles qu'Émile Verhaeren. Il restera à Paris jusqu'en 1894.

En 1895, il expose chez Georges Petit. Sa première exposition personnelle à la galerie Mancini en 1897 rencontre un succès critique. En 1898, il expose à la Libre Esthétique à Bruxelles.

En 1901, il découvre Gerberoy, petite ville de l'Oise où il loue une maison qu'il achètera par la suite. Gerberoy deviendra un sujet central de son oeuvre.

Il s'installera ensuite à Versailles où il décèdera d'un infarctus le 16 juillet 1939.


Le Sidaner fut aimé des écrivains de sa génération. Proust y fait allusion plusieurs fois dans la "Recherche" : « Il faudra que je demande [Mme de Cambremer] à Le Sidaner ce qu'il pense de Poussin, me dit l'avocat. C'est un renfermé, un silencieux, mais je saurai bien lui tirer les vers du nez. » Ou encore : «Mme de Cambremer […] égala Monet à Le Sidaner. On ne peut pas dire qu’elle fût bête ; elle débordait d’une intelligence que je sentais m’être entièrement inutile.».

Un peu oublié chez nous, il a toujours la cote chez les anglo-saxons et au Japon.

Tours (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Tours (Indre-et-Loire)

Tours (Indre(-et-Loire)

Musée des Beaux Arts.

Olivier Debré (1920-1999).

Le Debré qui sauve la famille. Les autres ayant sombré dans la médecine ou la politique. Parfois même les deux!


www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=qg3F0...

Tours (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Tours (Indre-et-Loire)

Tours (Indre(-et-Loire)

Musée des Beaux Arts.

Portrait de Victor le Bouthillier (1650), Philippe de Champaigne.

Huile sur toile.

Ce tableau a été peint pendant la régence d'Anne d'Autriche. Champaigne ayant perdu ses deux grands commanditaires, Louis XIII et Richelieu, travaille alors pour une clientèle privée.

Philippe de Champaigne, fut apprécié et protégé de la famille le Bouthillier, une des plus grandes familles parisiennes du règne de Louis XIII.

Premier aumônier de Gaston d'Orléans en 1636, Victor Le Bouthillier devient archevêque de Tours en 1641. Fonction qu'il conservera jusqu'à sa mort en 1670.

Victor le Bouthillier consacre une partie de ses activités à l'embellissement de son palais, devenu musée des Beaux-Arts.

Tours (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Tours (Indre-et-Loire)

Tours (Indre(-et-Loire)

Musée des Beaux Arts.

"Monet est mort", Jacques Monory, 1977.

Lieu du crime: Un jardin aux Nymphéas.

Arme du crime: Une Winchester.

Auteur du crime: Caché derrière son chapeau de feutre, élément essentiel de la panoplie de l’artiste-dandy, Jean Monory.


(D'après Claire Bernardi et Roxane Pitet, Centre national des arts plastiques)


www.jacquesmonory.com/pages/peintures1.htm

Blaison-Gohier (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Blaison-Gohier (Maine-et-Loire)

Blaison-Gohier (Maine-et-Loire)

Notre-Dame de Blaison.

Huile sur toile de facture récente et naïve.

Blaison-Gohier (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Blaison-Gohier (Maine-et-Loire)

Blaison-Gohier (Maine-et-Loire)

Eglise Saint-Aubin (XIIe siècle).


Tableau peint au XIXe siècle par Mr de Chemellier qui fut contemporain de David d'Angers, il s'agit d'une copie.

Le tableau représente le vieil Eléazar qui, pendant la persécution d’Antiochus Epiphane, refuse de manger la viande offerte aux idoles.


Church Saint-Aubin (XII century).


Painted in the nineteenth century by Mr Chemellier who was a contemporary of David d'Angers, it is a copy.

Châtillon-sur-Indre (Indre) by sybarite48

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Châtillon-sur-Indre (Indre)

Châtillon-sur-Indre (Indre)

Eglise Notre-Dame (Ancienne collégiale Saint-Outrille).

Mouliherne (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Mouliherne (Maine-et-Loire)

Mouliherne (Maine-et-Loire)

Église Saint-Germain.

Les peintures (1907-1908) sont de Étienne Jean Audfray.

Etienne Jean Audfray, né le 4 août 1846 à Saint-Christophe-du-Bois (Maine-et-Loire) et décédé le 22 juillet 1911 à Angers.

Il s'était marié dans le 6 ème arrondissement, le 15 janvier 1889, avec une italienne, Ciaraldi Benedetta. "
(...) sont unis par le mariage. En présence de : Pierre Lalanne, rentier, âgé de soixante sept ans, rue de Vaugirard 108 ; Louis Bouillé, concierge âgé de trente neuf ans, rue de Vaugirard 108 ; amis et témoins de l’époux ; Vincent Thomasso, journalier, âgé de trente ans, impasse del (…) 8 ; Louis Spacagna, tailleur, âgé de trente cinq ans, rue Saint Xichon 10 ; amis et témoins de l’épouse qui ont signé avec les époux et nous, l’épouse et la mère de l’épouse ayant déclaré ne savoir signer après lecture."
Signé : J Audfray, V. Thomasso, Spacagna, Dalanuy, L Bouille, J Helzel (maire adjoint).

Benedetta Ciaraldi lors de son mariage avait 21 ans, son mari plus du double. Exerçant la profession de modèle, elle était fort jolie. Elle décèdera à Angers en 1918.

Le peintre a beaucoup œuvré dans la peinture religieuse, mais pas seulement, voir par exemple, un "joueur de biniou", au musée des Beaux Arts de Quimper.