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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Ancienne abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

Vierge à l'Enfant (XIVe siècle).
Vierge à l'Enfant dite "hanchée".

Bois polychrome.

Vierge, debout, couronnée, vêtue d'une robe ceinturée et couverte d'un manteau aux plis finement marqués, soutient de sa main gauche l'Enfant Jésus tenant le globe terrestre.
La main droite de la Vierge devait tenir un sceptre.


Don du professeur Jean Bernard, doyen honoraire de la faculté des sciences de Besançon et bellilocien (décédé le 14 janvier 2012 dans sa maison familiale de l’ancien couvent des Viantaises, à Beaulieu-lès-Loches,dont il avait fait don à sa ville natale.


www.wivisites.com/eguide_player?project_id=6e2af0af-a137-...

La Roche-Posay (Vienne)


Eglise Notre-Dame.


L'Église Notre Dame (Ecclesia Sanctæ Mariæ de Rupe) a été citée pour la première fois, en 1099, dans une bulle du Pape Urbain II pour l'abbaye de Preuilly. Urbain II est à l'origine de la première croisade (1095 - 1099).

Le clocher roman du XIe siècle, est l'un des vestiges les plus anciens encore visibles aujourd'hui.

De plan en croix latine, située sur un éperon rocheux qui domine la Creuse, l’église est fortifiée au XVe siècle pendant la Guerre de Cent Ans, comme le montrent les deux tours à faux mâchicoulis. La façade est complétée par un porche gothique du XVe siècle. La statue de la Vierge au dessus du portail est moderne.


parvis.poitierscatholique.fr/st-fournet/La-Roche-Posay-1.pdf

Ids-Saint-Roch (Cher)


L'église Saint-Martin-et-Saint-Roch.

Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle.


L'église a été construite en style roman au XIIe siècle. De l'église origine il reste la façade occidentale qui a conservé la porte en plein cintre, surmontée d'un double rang de claveaux.

L’église est d’abord dédiée à saint Martin comme le prieuré du même nom qui dépendait de l’ancienne abbaye augustine de Puyferrand (Le Châtelet)

L'église sera ensuite placée sous le patronage de saint Roch au XVIIe siècle, du nom de la paroisse.

L'église est incendiée au XIIe siècle ; le chœur est transformé au XIIIe siècle.

L'église a subi, avec le couvent d'Orsan, le passage en 1569 de Wolfgang de Bavière qui a brûlé l'église.

À la Révolution, la flèche du clocher est rasée en 1793 et remplacée par le clocher actuel.

Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, l'église subit une grande rénovation, marquée en particulier par la suppression partielle de la galerie couverte et ouverte qui longeait le côté sud. La nef a été refaite en 1894.


www.sauvegardeartfrancais.fr/projets/ids-saint-roch-eglis...
religiana.com/fr/church-saint-martin-ids-saint-roch

Brinay (Cher)


Eglise Saint-Aignan.

Tableau du XVIe siècle représentant la Vierge à l’Enfant. Mur Ouest.

Paudy (Indre)


Eglise Saint-Martin.

Tympan en bois sculpté.

La Vierge à l'Enfant avec deux anges (Madonna col Bambino e due angeli).

L'ensemble sur un nuage.

Peut-être XVe siècle.

Issoudun (Indre)

Musée de l'Hospice Saint-Roch.


Vierge à l'enfant en pierre peinte du XVe siècle.

Provient de la chapelle de l'Hôtel-Dieu.

Bueil-en-Touraine (Indre-et-Loire)


Croix du cimetière (début XVIe siècle).


La croix centrale du cimetière, a été sculptée par Jehan Augier, maître sculpteur, et érigée par Pierre Chotard, maître maçon, en 1501.

Sur une face elle représente une Vierge à l'Enfant, et le Christ en croix sur l'autre face.

Le monument a été restauré en 2002.


La date de construction de la croix est connue par les comptes de fabrique, dépouillés par l'abbé Bourassé, auteur en 1857 d'une notice sur l'ancienne église collégiale de Bueil. En 1500, le maçon Pierre Chotard reçut 150 sols pour "sa paine d'avoir fait la grande croix du cimetière", le sculpteur Jean Augiers en reçut autant "pour sa paine d'avoir faict et enlevé les ymages de ladicte croix en pierre". Les détails de la mise en place sont également précisés : 40 sols furent donnés aux charretiers pour amener "la pierre dure", 11 sols pour la fourniture de chaux et de sablon, 3 sols 4 deniers pour la journée de 2 hommes "qui ont amené la pierre menue à faire la masse de la dite croix, 8 sols 9 deniers pour Pierre Pichot, maréchal" pour les boulons et crampons de fer mys à lacdite croix, "2 sols 6 deniers pour la despense de ceulx qui aisdèrent à lever ladicte croix". (www.actuacity.com/bueil-en-touraine_37370/monuments/)

Bueil-en-Touraine (Indre-et-Loire)


Croix du cimetière (début XVIe siècle).


La croix centrale du cimetière, a été sculptée par Jehan Augier, maître sculpteur, et érigée par Pierre Chotard, maître maçon, en 1501.

Sur une face elle représente une Vierge à l'Enfant, et le Christ en croix sur l'autre face.

Le monument a été restauré en 2002.


La date de construction de la croix est connue par les comptes de fabrique, dépouillés par l'abbé Bourassé, auteur en 1857 d'une notice sur l'ancienne église collégiale de Bueil. En 1500, le maçon Pierre Chotard reçut 150 sols pour "sa paine d'avoir fait la grande croix du cimetière", le sculpteur Jean Augiers en reçut autant "pour sa paine d'avoir faict et enlevé les ymages de ladicte croix en pierre". Les détails de la mise en place sont également précisés : 40 sols furent donnés aux charretiers pour amener "la pierre dure", 11 sols pour la fourniture de chaux et de sablon, 3 sols 4 deniers pour la journée de 2 hommes "qui ont amené la pierre menue à faire la masse de la dite croix, 8 sols 9 deniers pour Pierre Pichot, maréchal" pour les boulons et crampons de fer mys à lacdite croix, "2 sols 6 deniers pour la despense de ceulx qui aisdèrent à lever ladicte croix". (www.actuacity.com/bueil-en-touraine_37370/monuments/)

Bueil-en-Touraine (Indre-et-Loire)


Croix du cimetière (début XVIe siècle).


La croix centrale du cimetière, a été sculptée par Jehan Augier, maître sculpteur, et érigée par Pierre Chotard, maître maçon, en 1501.

Sur une face elle représente une Vierge à l'Enfant, et le Christ en croix sur l'autre face.

Le monument a été restauré en 2002.


La date de construction de la croix est connue par les comptes de fabrique, dépouillés par l'abbé Bourassé, auteur en 1857 d'une notice sur l'ancienne église collégiale de Bueil. En 1500, le maçon Pierre Chotard reçut 150 sols pour "sa paine d'avoir fait la grande croix du cimetière", le sculpteur Jean Augiers en reçut autant "pour sa paine d'avoir faict et enlevé les ymages de ladicte croix en pierre". Les détails de la mise en place sont également précisés : 40 sols furent donnés aux charretiers pour amener "la pierre dure", 11 sols pour la fourniture de chaux et de sablon, 3 sols 4 deniers pour la journée de 2 hommes "qui ont amené la pierre menue à faire la masse de la dite croix, 8 sols 9 deniers pour Pierre Pichot, maréchal" pour les boulons et crampons de fer mys à lacdite croix, "2 sols 6 deniers pour la despense de ceulx qui aisdèrent à lever ladicte croix". (www.actuacity.com/bueil-en-touraine_37370/monuments/)

Issoudun (Indre)


Musée de l'Hospice Saint-Roch.

Bâton de procession du XVIIe siècle. Bois, platre peint et doré.
Origine église Saint-Cyr d'Issoudun.

"Sainte Anne, la Vierge et l'Enfant". Confrérie des menuisiers.


Ce n'est qu'à partir du XVe siècle que les "huchers" ou "huchiers", prendront progressivement le nom de menuisiers.

Chaque maître et chaque compagnon devait payer chaque année à la confrérie de Sainte-Anne.

C'est grâce à un compagnon menuisier, Agricol Perdiguier, que Georges Sand découvrit le compagnonnage. Il en sortit un livre : "Le Compagnon du Tour de France", dont le personnage principal, Pierre Huguenin, n'est autre qu'Agricol Perdiguier. Avec l'appui de George Sand et de Lamartine, Perdiguier fut élu de la Seine à la Constituante d'avril 1848. Son opposition au coup d'État du 2 décembre 1851, de Napoléon III, lui valut l'exil en Belgique, Allemagne et Suisse, pendant quatre ans. Rentré en France, il ouvrit une librairie à Paris. Il meurt en 1875, totalement démuni. L'historien Daniel Halévy en fait le premier syndicaliste.

Chemillé-sur-Indrois (Indre-et-Loire).

Eglise Saint-Vincent.

Vierge à l'Enfant.

Magnifique statue polychrome en aubier de noyer, probablement du XIIIème siècle. Elle pourrait provenir de la Chartreuse du Liget proche.

D'après les témoignages des habitants de la commune, cette statue aurait séjourné dans le clocher jusqu'en 1950.

Antigny (Vienne)

Église Notre-Dame.


Vierge à l’Enfant en pierre polychrome du XIVe siècle.

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