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Marchands de Journaux à la gare St Lazare .Paris juin 1906 THÉA Collection, by pepinb31

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Marchands de Journaux à la gare St Lazare .Paris  juin 1906   THÉA Collection,

Le vendeur au chapeau melon nous propose "... Culotte Rouge" ???
J'ai bien vérifié, si je ne délirais pas... Non !

"La Vie en culotte rouge est l'un des premiers succès de presse des Frères Offenstadt. Le titre, très programmatique en son jeu de mots (« la vie en culotte courte »), est triplement ironique : c'est un pastiche de magazines comme La Vie au grand air, un clin d'œil aux tenues des bidasses, tout en faisant allusion aux dessous féminins (plus ou moins courts)... La Société parisienne d'édition ne sortira jamais de ce filon : l'humour.

Cette revue, huit pages imprimées sur un papier de basse qualité, alterne les dessins humoristiques et les textes plus ou moins grivois, ce que l'on appelait les « gauloiseries ». Son contenu met exclusivement en scène des militaires en uniforme face à des femmes souvent jeunes et jolies et parfois légèrement dénudées (selon les critères de l'époque !). Son titre évoque le fameux pantalon rouge garance de l'uniforme de l'infanterie française, bien avant son remplacement par la tenue bleu horizon moins voyante.
Le premier numéro est daté du 16 février 1902, il coûte 15 centimes et porte la mention « Tous les samedis » sur ça une illustrée par Ferdinand Bac. Elle paraît ensuite le mercredi puis en 1909 devient dominicale.
Le 24 novembre 1912, la revue annonce son dernier numéro."
S : WIKI

Je date cette stéréo à juin 1906, voir la stéréo "Marchande de journaux. 14" THÉA Collection.
Des indices ont permis au Stéréopole: imagestereoscopiques.com/
(En recherchant les couvertures des magazines visibles sur la BNF : bien pensé !) ) De dater au jour prêt, moi, je n'avais repéré que l'année.
Et comme il semble que ces photographies aient été prises le même jour, la même semaine…


THÉA Collection
Registered trademark Paris (?? )
Argentiques, the photographs predate their sale.

Silver prints, the photographs predate their release for sale.
Line production on spools of sensitized paper (invented by the Germans at the end of the 19th century, the S.I.P. (a French company) also equipped itself with a similar machine to cope with the production of images from the Great War of 1418, which was about to invade the French market.
We were the victors, and we had to let the world know it...

The salesman with the bowler hat offers us “... Culotte Rouge”???
I checked to see if I was delirious... No !

La Vie en culotte rouge” was one of the Offenstadt brothers' first press successes. The title, very programmatic in its play on words (“la vie en culotte courte”), is triply ironic: it's a pastiche of magazines like La Vie au grand air, a nod to the outfits of the bidasses, while alluding to women's underwear (more or less short)... The Société parisienne d'édition never left this vein: humor.
This eight-page magazine, printed on low-quality paper, alternates cartoons and more or less saucy texts, known as “gauloiseries”. Its content exclusively featured soldiers in uniform facing women, often young and pretty, and sometimes slightly nude (by the standards of the time!). Its title evokes the famous madder-red pants of the French infantry uniform, long before they were replaced by the less conspicuous horizon-blue uniform.
The first issue, dated February 16, 1902, cost 15 centimes and featured the headline “Tous les samedis” (“Every Saturday”), illustrated by Ferdinand Bac. It then appeared on Wednesdays, and in 1909 became a Sunday magazine.
On November 24, 1912, the magazine announced its last issue.”
S : WIKI

I date this stereo to June 1906, see the stereo “Marchande de journaux. 14” THÉA Collection.
Clues led to Stereopole: imagestereoscopiques.com/
(By researching the magazine covers visible on the BNF: well thought out! ) To date them to the day, whereas I had only identified the year.
And since it seems that these photographs were taken on the same day, the same week...

H.Jouvin.1868. N°23 La batteuse de beurre. by tdlnceur68

H.Jouvin.1868. N°23 La batteuse de beurre.

Très loin de son style habituel, Hippolyte Jouvin nous offre (! ) 12 stéréos destinées aux enfants : Les arts et métiers enfantins.

Les Arts et Métiers Enfantins :
Image 1 : 25. La peinture
Image 2 : 26. La sculpture
Image 3 : 27. Le vin
Image 4 : 28. Les acrobates
Image 5 : 29. Les jongleurs
Image 6 : 30. Le gobe-mouches
Image 7 : 31. La cuisine
Image 8 : 32. La boulangerie
Image 9 : 33. Le forgeron
Image 10 : 34. L'escamoteur
Image 11 : 35. La musique
Image 12 : 36. La danse

S : BNF

Curieusement, les enfants n'ont pas réellement été une cible commerciale à part les stéréos religieuses...



Déposée en 1868, tout comme sa série "Enfantillages"
( série de 24 exemplaires.)

Enfantillages :
Image 1 : 1. Le dragon de la reine
Image 2 : 2. Foin gâté, temps perdu
Image 3 : 3. La prière du soir
Image 4 : 4. Le petit moine
Image 5 : 5. Tout le mal dont s'afflige l'homme vient d'une pomme et d'un serpent
Image 6 : 6. Amourette
Image 7 : 7. La cruche cassée
Image 8 : 8. La nouvelle Suzanne au bain
Image 9 : 9. Le baiser par escalade
Image 10 : 10. Le colin-maillard
Image 11 : 11. Pour les moineaux et les filles, il n'est pas de fruits défendus
Image 12 : 12. En les trompant, on se rit d'eux
Image 13 : 13. La petite dormeuse
Image 14 : 14. Les œufs cassés
Image 15 : 15. Les petites baigneuses
Image 16 : 16. La main chaude
Image 17 : 17. Les dénicheurs de nids
Image 18 : 18. L'innocence en danger
Image 19 : 19. L'occasion fait le larron
Image 20 : 20. Un baiser en amène un autre
Image 21 : 21. Moi, je pense comme Grégoire, j'aime mieux boire
Image 22 : 22. Iris s'enfuit, Iris m'évite, elle parvient à m'échapper
Image 23 : 23. La batteuse de beurre
Image 24 : 24. Hélas !, c'est plus fort qu'elle, dit-elle en se rendant
S : BNF

Même sculpteur non identifié, mais cette série a été complètement pompée sur des lithographies de Jaime Ernest que l'on peut voir sur le site du Musée Carnavalet.

« Hippolyte Jouvin. Né le 7 décembre 1825 à Clinchamp et mort le 3 août 1889 à Paris 6e, un photographe français.

Jouvin fut un pionnier de la photographie des rues de Paris, produisant des vues stéréoscopiques. Il photographia également Rouen dans les années 1860 et la Commune de Paris.

Jouvin est présent dans les collections du musée d'Orsay et de la Bibliothèque nationale de France. »

S: WiKi

www.flickr.com/photos/anaglyphepeppin/48864335441/in/albu...
www.flickr.com/photos/anaglyphepeppin/48870325578/in/albu...
www.flickr.com/photos/anaglyphepeppin/50988716288/in/albu...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/51650088374/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/52990973995/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/52995373113/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/53018239267/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/53024095379/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/53062886339/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/53065321005/in/album-...
www.flickr.com/photos/193116254@N07/53074674305/in/album-...

Panorama Militaire. 141. E.H. by tdlnceur68

Panorama Militaire. 141. E.H.

Une vue militaire, drôle de titre avec « Panorama militaire »
Deux stéréos, dont une malheureusement non exploitable.
Un spécialiste des uniformes dates ces clichés entre 1893 et 1905.
Je reste sur mon idée première, miliaires, Versaillais de 1871 devant les portes de Paris.
Grosse similarité avec le document joint en commentaire, une vue de soldats en 1871.
Il est évident que c’est une mise en scène.
Qui n'est pas sans rappeler le style d’Alexandre Bertrand, et sa série sur les cheminots. Un espace très limité où tous ustensiles sont rassemblés pour nous informer sur l’identité des personnages.

Un mitron vaquant à ses occupations, le brancardier en attente avec son cheval équipé pour le transport de soldat inerte alors que se joue un drame à l’infirmerie dans l’indifférence totale, avec un blessé.
Photographe non identifié. (À noter le tamponnage du carton à droite : Exposition universelle ???)

A military view, a strange title with "Military Panorama"
Two stereos, one of which unfortunately cannot be used.
A uniform specialist dates these photos between 1893 and 1905.
I stick to my initial idea: military personnel, Versailles soldiers from 1871 in front of the gates of Paris.
Clearly similar to the document attached in the comments, a view of soldiers in 1871.
It's obviously staged.
Which is reminiscent of the style of Alexandre Bertrand and his series on railway workers. A very limited space where all the utensils are gathered to inform us about the identities of the characters.

A baker going about his business, the stretcher-bearer waiting with his horse equipped for transporting an inert soldier while a drama unfolds in the infirmary amidst total indifference, involving a wounded man.
Unidentified photographer. (Note the stamp on the cardboard on the right: World's Fair???)

MARCHANDE DE JOURNAUX 14.Paris Juin 1906. Collection THÉA by pepinb31

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MARCHANDE DE  JOURNAUX 14.Paris Juin 1906. Collection THÉA

Collection THÉA
Marque Déposée Paris. ( ?? )
"THEA Unknown, France [1-2] [Significance of initials unk.] Issued views
of WWI, Paris and genre. subjects on mounted or
unmounted thick cards."
s: National Stereo Association.

Tirage Argentiques, les photographies sont antérieures à leur mise en vente.
Production à la chaîne sur des bobines de papier sensibilisé ? (Invention des Allemands fins 19ᵉ siècle, la S.I.P (société française), c'est aussi équipé d'une machine similaire pour faire face à la production des images de la Grande Guerre 1418 qui allait envahir le marché français.
Vainqueurs, nous étions, il fallait que cela se sache…

Des indices ont permis au Stéréopole: imagestereoscopiques.com/
En recherchant les couvertures des magazines visibles sur la BNF : bien pensé ! De dater au jour prêt, moi, je n'avais repéré que l'année (loterie des enfants tuberculeux le 14 août 1906 à gauche).

"Le Journal des Voyages et des aventures de terre et de mer daté du dimanche 20 mai 1906.
Le Petit Journal, Supplément illustré daté du dimanche 10 juin 1906
Le Petit Parisien, Supplément littéraire illustré daté du dimanche 10 juin 1906"
S : Stéréopole.
Noté le Daily Mail et Loto des courses.

Il semble qu'il y ait embrouille entre la femme cliente qui a dû lancer une facétie pour indiquer que ce vélocipède du jeune livreur placé ici, n'était pas des plus pratique pour s'approcher des journaux.
Je sens que la vendeuse à gauche faisant semblant d'être absorbée par sa lecture ne va pas mettre longtemps à intervenir, vu son air…
Ou alors inventé !
Le photographe sait quand déclencher son appareil et n'hésite pas à se rapprocher, excellent cadrage à chaque fois !

MARCHANDE DE JOURNAUX Paris Juin 1906. Collection THÉA
Argentique prints, the photographs predate their release for sale.
(Invention by the Germans in the late 19th century, the S.I.P. (a French company) also equipped itself with a similar machine to cope with the production of images from the Great War of 1418, which was about to invade the French market.
We were the victors, and we had to let the world know it...

Clues led to the Stereopole: imagestereoscopiques.com/
By researching the covers of the magazines on display at the BNF: well thought out! To date them to the day, whereas all I could find was the year (lottery for tubercular children on August 14, 1906 on the left).

“Le Journal des Voyages et des aventures de terre et de mer dated Sunday, May 20, 1906.
Le Petit Journal, illustrated supplement dated Sunday June 10, 1906.
Le Petit Parisien, Supplément littéraire illustré dated Sunday June 10, 1906”.
S: Stereopole.
Noted the Daily Mail and Loto des courses.

There seems to have been a mix-up between the woman customer, who must have made a facetious remark to the effect that this velocipede, placed here by the young deliveryman, was not the most practical way of approaching the newspapers.
I have a feeling that the saleswoman on the left, pretending to be absorbed in her reading, won't take long to intervene, given the look on her face...
Or invented!
The photographer knows when to trigger his camera and doesn't hesitate to get in close - excellent framing every time!

FERNANDE par J. AGELOU .Série 04; raisins by pepinb31

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FERNANDE par J. AGELOU .Série 04; raisins

Fernande photographiée par Jean Agelou.
À partir de 1905, Jean Agélou (1878-1921) est le photographe principal pour le magazine « L'Étude Académique », publié par la Librairie d'Art technique de Paris. En 1908, il est propriétaire de son studio photo principal, rue Armand Gauthier à Paris.

Elle est encore très belle et l’on comprend qu'Agelou l’ait prise pour sa muse, même plus…
Malheureusement, nous ne savons strictement rien sur Fernande,
prostitué (sans aucun jugement de ma part) première apparition sur des stéréos glass de Jules Richard toute jeune, en extérieur, il n’a pas encore fait construire près de son usine, son studio en thermes grec.
Un historien avait cru trouver son adresse qu’elle aurait laissée à un client, peine perdue cette adresse ne correspondant pas à des bâtiments habitables…(see:www.helmut-schmidt-online.de/Boudoir-Cards/fp-photo-agelo...) Ainsi que dans le numéro de février 1911 de "l'étude académique" hebdo pour artistes, elle a alors 18 ans.(Elle serait donc née en 1893 ?) Elle apparaît aussi sur des CPA à sketches.
On se souvient de cette stéréo bouleversante où elle commence à vieillir, et devenue rondelette, par l'alcool ? www.flickr.com/photos/193116254@N07/51270607842/
Jean Agelou emportera ce secret en 1921 dans un accident de la route avec son frère, tué tous les deux.
Fernande est souvent confondue avec un homonyme féminin, dans le circuit des modèles de peintres comme Dali…

Fernande photographed by Jean Agelou.
From 1905, Jean Agélou (1878-1921) was a principal photographer for the magazine “L'Étude Académique”, published by Librairie d'Art technique in Paris. In 1908, he owned his main photo studio on rue Armand Gauthier in Paris.

She's still very beautiful, and we understand that Agelou took her for his muse, and then some...
Unfortunately, we know absolutely nothing about Fernande,
prostitute (without any judgment on my part) first appearance on stereo glass by Jules Richard at a very young age, on location, as he had not yet built his Greek thermae studio near his factory.
One historian thought he'd found her address, which she'd left with a client, but he was wrong, as the address didn't correspond to uninhabitable buildings...(see:www.helmut-schmidt-online.de/Boudoir-Cards/fp-photo-agelo...) She also appeared in the February 1911 issue of “l'étude académique”, a weekly for artists, at the age of 18. (So she was born in 1893?) She also appeared on sketch CPAs.
We remember this shocking stereo in which she begins to age, and becomes plump with alcohol?
Jean Agelou took this secret with him in 1921 in a car accident with his brother, killing them both.
Fernande is often mistaken for a female namesake, in the circuit of models for painters like Dali...

www.flickr.com/photos/anaglyphepeppin/54465673630/in/date...

Les sept ponts de Paris 1858.N.C. by pepinb31

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Les sept ponts de Paris 1858.N.C.

Photo emblématique de Paris 19e.
À comparer avec
www.flickr.com/photos/193116254@N07/52936097087/in/album-...
Ici l'hôtel-Dieu n'est pas encore en chantier (1866) et le pont au change en est juste avec ces échafaudages en bois ( voir www.flickr.com/photos/193116254@N07/51627357813/in/photol... )
Toujours le même photographe stéréo CP. ( ? )
En fermant soit l'œil correspondant au rouge ou au cyan, sur le pont-neuf une calèche avec cheval apparaît ainsi que sur les boulevards longeant la Seine. La stéréo prise depuis le clocher de l'église Saint-Gervais.
Effet 3D bien marqué malgré la superficie de ce panorama.


Emblematic photo of 19th-century Paris.
Compare with www.flickr.com/photos/193116254@N07/52936097087/in/album-...
Here, the Hôtel-Dieu is not yet under construction (1866) and the Pont au Change is just beginning, with its wooden scaffolding (see www.flickr.com/photos/193116254@N07/51627357813/in/photol...).
Still the same stereo CP photographer. (?)
By closing either the eye corresponding to red or cyan, a horse-drawn carriage appears on the Pont Neuf, as well as on the boulevards along the Seine. The stereo image is taken from the bell tower of Saint-Gervais Church.
A very pronounced 3D effect despite the size of this panorama.

« CP Paris, France [6-7] "Photographie"; issued "Vues de Paris"; "Paris
Nouveau"; "Italie"; on RMs, some in tissue format.
Not to be confused with views by Charles Pollock of
Boston, MA who sometimes labeled his views CP. »

National Stereoscopic Association 1994
Complied by T. K. Treadwell & William C. Darrah

Paris, the Pont de l'Archevêché, c. 1900. by tdlnceur68

Paris, the Pont de l'Archevêché, c. 1900.

Stereos that every tourist would dream of having!
Paris...Paris.
Notre-Dame, a policeman keeping a "discreet" watch, and France without a baguette... It wouldn't be France anymore!
The bottle of red wine is still missing, though!
We owe these photos to the amateur whose talents we saw in the series on the Basque Country.
Paris, the Pont de l'Archevêché, c. 1900.

Des stéréos que tous touristes rêveraient d’avoir pris !
Paris…Paris.
Notre-dame, un policier qui surveille « discrètement » et la France sans la baguette de pain... Ne serait plus la France !
Manque quand même la bouteille de vin rouge !
Nous devons ces photos à l’amateur dont on a pu voir les talents dans la série sur le Pays Basque.
Paris, le pont de l'Archevêché, c 1900.

Pays basque.Dresseur d'ours. 19031915 by tdlnceur68

Pays basque.Dresseur d'ours. 19031915

Probablement les deux stéréos les plus abîmées et impossibles à récupérer, enfin pour moi !
J’ai hésité à vous les présenter.
À voir comme documents…
Sur la deuxième photo, l'ours a-t-il pris un coup sur le museau ?
Pays basque 1903/1915.
Pourquoi ces lignes ? Comme si j’avais fait un zoom sur ma TV !
D’un autre côté, notre photographe, lui, n’en avait pas et a peut-être paniqué et c’est perdu dans les réglages de son appareil en voyant de-ci près cet ours le suivre du regard…
Curieux ours et très maigre. Sa position debout est si parfaite que l’on pourrait penser à un homme déguisé.
Pourquoi vouloir à tout prix réimplanter cet animal dans les Pyrénées franco-espagnol ? L’ours a été victime de l’évolution des espèces, chassé par un prédateur plus fort que lui.
Comme les loups, que mon arrière-grand-mère enfant chassait en tapant ces deux sabots quand ils s’approchaient un peu trop de ses chèvres dans le Limousin…
Leurs prédateurs sont aussi amenés à disparaître, c’est une loi universelle !
Pas demain, mais âpres demain sûrement, car ce prédateur est si imbu de son intelligence qu’ils se détruisent même entre eux, ainsi que leur habitat !

Probably the two most damaged stereos and impossible to recover, at least for me!
I hesitated to present them to you.
To be seen as documents…
In the second photo, did the bear get hit on the snout?
Basque Country 1903/1915.
Why these lines? As if I'd zoomed in on my TV!
On the other hand, our photographer didn't have one and may have panicked and lost himself in the settings of his camera when he saw this bear following him with his eyes...
Curious bear and very skinny. His upright posture is so perfect you'd think he was a man in disguise.
Why are we so desperate to re-establish this animal in the Franco-Spanish Pyrenees? The bear was a victim of species evolution, hunted by a stronger predator.
Like wolves, which my great-grandmother used to chase away as a child by kicking her two hooves when they got too close to her goats in the Limousin region...
Their predators are also bound to disappear, it's a universal law!
Not tomorrow, but soon, surely, because these predators are so full of their own intelligence that they even destroy each other and their habitat!

La Fete des Lanternes chez Satan c 1860 by tdlnceur68

La Fete des  Lanternes chez Satan c 1860

Pas la meilleure « Diableries » sculptée par Harbert.
L’effet 3D en est même brouillé, les couleurs ne sont pas heureuses, voyez si vous en avez l’occasion la version du livre « Diableries » des mousquetaires londonien SLCo, en fait une Américaine et un traite à sa patrie française : couleurs complètement différentes ! (leur version est B.K, la mienne un peu plus vieille distribuée par EL)
J’ai surcoloré tous les perçages colorés et dans l’ordre ! Par contre, j'ai laissé la bavure de la tête du squelette juste en dessous de Satan. Pas très convaincu de la synthèse de D.Pellerin, qui reporte cette image à une ambiance chinoise, pour avoir habité le 13ᵉ Arrondissement (quartier chinois) une ambiance asiatique sans pétards et feux d’artifices ne peut être... Mes oreilles s’en souviennent encore... Et bien sûr des dragons !
Par défaut, on gardera sa version.

Not the best "Diableries" sculpted by Harbert.
The 3D effect is even blurred, the colors aren't happy. If you have the chance, check out the version in the book "Diableries" by the London musketeers SLCo, actually an American and a traitor to her French homeland: completely different colors! (Their version is B.K., mine is a little older, distributed by EL.)
I overcolored all the colored piercings, and in the correct order! However, I left the burr on the skeleton's head just below Satan. I'm not very convinced by D. Pellerin's synthesis, which brings this image to a Chinese atmosphere. Having lived in the 13th Arrondissement (Chinatown), an Asian atmosphere without firecrackers and fireworks can't be... My ears still remember it... And of course, the dragons!
By default, we'll keep his version.

VIVA M.SS.DEL CARMINE.C 1860 by pepinb31

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VIVA M.SS.DEL CARMINE.C 1860

Le jeune homme au centre l’air méchant n’est pas considéré encore comme un homme, et n’a pas droit au jeu de cartes. Son acolyte guère plus âgé avec ses mains énormes, a visiblement choisi son camp, plus habillé en voyou qu’en paysans... Le V de victoire en brassard sur l’homme à droite ?
J’avais plusieurs possibilités avec cette stéréo, toutes d’ailleurs en Italie du Sud. Ai-je choisi la bonne histoire...?
L’affiche :

The mean-looking young man in the center is not yet considered a man, and is not allowed to play the card game. His barely older sidekick with his enormous hands has obviously chosen his side, dressed more like a thug than a peasant... The V for victory armband on the man on the right?
I had several possibilities with this stereo, all from elsewhere in Southern Italy. Did I choose the right story...?
The poster:


SI PRECA DI TENER CHIUSI NEGOZI VIVA M.SS.DEL CARMINE

DES PRÉCAUTIONS SONT PRISES POUR MAINTENIR LES MAGASINS FERMÉS VIVA M.SS.DEL CARMINE

PRECAUTIONS TAKEN TO KEEP STORES CLOSED VIVA M.SS.DEL CARMINE


Si, en France comme ailleurs, les histoires de gangsters, de mafieux ou de pirates fascinent, celle de Carmine Crocco, dit Donatello, ou encore Donatelli, reste méconnue .(Et encore très controversé! peppin)
Pourtant, le parcours de ce brigand italien, arrêté il y a maintenant 150 ans, le 24 août 1864, vaut le détour.
Jugé coupable de 67 homicides, 7 tentatives d’homicides, 4 attentats à l’ordre public, 5 faits de rébellion, 20 d’extorsion et de 15 incendies de maisons et de récoltes, Crocco a de quoi faire trembler bon nombre de hors-la-loi.
Sauf qu’il n’est pas un brigand comme les autres. Il est un des rares à avoir dirigé une horde de 2 000 hommes. Sévissant dans le sud de l’Italie, il a mené une véritable guérilla sur fond de guerre des Deux-Siciles.
Engagé dans l’armée de Ferdinand II des Deux-Siciles alors qu’il est adolescent, il déserte au bout de quatre ans, après avoir tué un de ses camarades.
A son retour dans son village natal, il constate que sa sœur a subi le déshonneur, injustement accusée de se prostituer par un homme des environs. Carmine Crocco tue ce dernier au couteau et se planque dans une forêt.
C’est là qu’il rencontre d’autres hors-la-loi et commence à vivre d’activités criminelles. Il est d’ailleurs arrêté le 13 octobre 1855, condamné à dix-neuf ans de prison. Mais Crocco s’évade.
Carmine Crocco, en cavale, entend dire qu’un général du royaume de
Sardaigne, Giuseppe Garibaldi, prévoit d’accorder l’amnistie à tous ceux qui le rejoindraient pour mener l’expédition des Mille de 1860. Cette dernière vise à conquérir le royaume des Deux-Siciles avec mille hommes.
Il parvient à s’évader pour la seconde fois et entreprend de devenir le bras armé de cette révolte paysanne et de soutenir désormais le roi déchu François II.
Ce dernier lui envoie un convoi d’hommes afin de reconquérir les provinces unifiées.
Mais plus que le soutien aux Bourbons, c’est le désir de vengeance et la haine envers les bourgeois qui ont soutenu l’invasion des Deux-Siciles, qui l’animent.
Son discours se politise :
« Que penses tu de ces conditions qui perdurent depuis des siècles, quand ceux qui nous obligent à garder la tête basse depuis trop longtemps, de peur de voir dans nos regards le reflet de leur cupidité, nous remercient avec des promesses, nous humilient et nous soumettent par la misère et la faim, nous privent d’instruction et nous laissent dans l’ignorance en veillant jalousement sur leurs privilèges ? »
A continuer a lire sur:
S:www.passione-italiana.fr/carmine-crocco


In France, as elsewhere, stories of gangsters, mafiosi and pirates are fascinating, but the story of Carmine Crocco, also known as Donatello, or Donatelli, remains little-known (and still very controversial! peppin).
Yet the story of this Italian brigand, arrested 150 years ago on August 24, 1864, is well worth the detour.
Found guilty of 67 homicides, 7 attempted homicides, 4 public order offences, 5 acts of rebellion, 20 extortion offences and 15 house and crop burnings, Crocco is enough to make many an outlaw tremble.
Except that he's not just any brigand. He's one of the few to have led a horde of 2,000 men. Living in southern Italy, he led a veritable guerrilla war against the backdrop of the War of the Two Sicilies.
Enlisted in the army of Ferdinand II of the Two Sicilies as a teenager, he deserted after four years, after killing one of his comrades.
On his return to his native village, he finds that his sister has suffered dishonor, unjustly accused of prostituting herself by a local man. Carmine Crocco kills the man with a knife and hides in a forest.
There, he meets other outlaws and begins to make a living from his criminal activities. He was arrested on October 13, 1855, and sentenced to 19 years in prison. But Crocco escaped.
Carmine Crocco, on the run, hears that a general of the Kingdom of Sardinia
Sardinia, Giuseppe Garibaldi, plans to grant amnesty to all those who join him in leading the 1860 Expedition of the Thousand. The aim was to conquer the Kingdom of the Two Sicilies with a thousand men.
He managed to escape for the second time, and set about becoming the armed wing of this peasant revolt, supporting the deposed King Francis II.
The latter sent him a convoy of men to reconquer the unified provinces.
But more than support for the Bourbons, it was the desire for revenge and hatred for the bourgeoisie who had supported the invasion of the Two Sicilies that drove him.
His speech becomes politicized:
“What do you think of these conditions that have persisted for centuries, when those who have forced us to keep our heads down for too long, for fear of seeing in our eyes the reflection of their greed, thank us with promises, humiliate and subjugate us through misery and hunger, deprive us of education and leave us in ignorance while jealously guarding their privileges?”
Continue reading at:
S:www.passione-italiana.fr/carmine-crocco

Café de la Station H.Lefort 1864 by pepinb31

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Café de la Station H.Lefort 1864

Date(s) : Paris, [1864]
Description matérielle : 23 photo. poss. (vues stéréoscopiques) sur papier albuminé d'après des négatifs sur verre au collodion ; 8,6 x 17,6 cm
Note(s) : Au verso, numérotation manuscrite et timbre humide : "Photographie Lefort / 33 rue du Faubg St Martin Paris"
négatifs:
Image 11 :22 : 856 (visible en bas, image gauche)
S:BNF

See: www.flickr.com/photos/193116254@N07/53515049283/in/galler...

Assez rare chez H. Lefort pour être signalé, la faible profondeur du studio. Par contre, pourquoi utiliser tant de figurants ? Beaucoup disparaissent littéralement entre la vue gauche et droite…
On retrouve les mêmes textes que sur « HALL DE GARE ».
Train de Plaisir, Paris, Le Havre, a noté que le « N » de station n’apparaît point, et que les cheminots sur la toile peinte sont enfermés dans la locomotive ?
Ce n’est pas gênant.
C’est du Lefort !!!

Rare enough for H. Lefort to be worth noting is the shallow depth of the studio. On the other hand, why use so many extras? Many literally disappear between the left and right views…
We find the same texts as in "HALL DE GARE"
Train de Plaisir, Paris, Le Havre. Did you notice that the "N" for station doesn't appear, and that the railway workers in the painted canvas are locked inside the locomotive?
It's not a problem.
It's Lefort!!!

Plage Biarritz.1903/2018 by tdlnceur68

Plage Biarritz.1903/2018

Qui n'a pas réellement changé en un siècle.
G: 1903/1915
D: 2018

Que ceux de moins trente ans pensent bien qu’avant, et oui, avant, on achetait par lot, et non à 15 € l’unité une stéréo sur verre. Quelques centimes la stéréo, avec Soyons honnête, il est vrai, de bonnes et de beaucoup moins bonne pioche…
300 plaques de paysage de forêts enneigé, resteront toujours difficiles à s’en débarrasser !!!
Mais il y a eu une remise complète des systèmes de vente depuis quelques années, qui font qu’aujourd’hui vendre diableries, ou autre BK dioramas déchirés ou avec des trous béants vers les 15 € à 30 € ne choque plus personne. Même pas moi !
J’ai suivi... Gros idiot que je suis !!!
Sans jouer les anciens combattants que je ne suis pas, dans le monde des « collectors addictifs » bien obliger de constater une dérive des coûts ! Tata Mireille avec tonton Bernard devant la tour, Eiffel sont devenus collector ? En-tout-cas le prix : oui !... Je viens de remettre un peu plus attractif la série sur le Pays Basque sur Flickr peppin 1, extrait d’un lot de 300 plaques.
Il reste encore beaucoup de travail, disons que trente % sont pour la poubelle (à verre, je fais le tri quand j’ai le temps...) Mais il reste encore des pépites... Non scannées.
Le photographe amateur était probablement dans le circuit de l’architecture/construction. Et avait des coups de génie, comme ce beau chien attendant ces maîtres en voilier ! Mais il y a aussi la famille, la croissance des enfants, qui est un bon moyen de, vous donnez au moins certaines indications temporelles !
Qui fait le prix de ces stéréos ?
Nous !
La demande, par exemple âpres le livre essentiel « les diableries » du trio americo/franco/english n’a pas que fait du bien... Je sais D.Pellerin complètement conscient du fait ! Mais fallait-il se passer et ignorer cet indispensable et meilleurs de la série à mon avis, bouquin de la London St Co ? Certainement pas !
Une photo peut être rare, mais sans la petite différence qui fera que…
Qu’il vous faut l’acquérir sans perte de temps. Et vous voilà dans le système sans fin de la demande/proposition bien connu de tout consommateur, grand ou petit !
Le capitalisme, a encore de beaux jours devant lui, au vu de l’actualité internationale. (04/2025) Qui a trouvé mieux ?
Je n’ai pas de fil rouge dans ce labyrinthe, sinon qu’une stéréo doit me faire imaginer une histoire, me donner le sentiment d’un partage avec des stereographes mort depuis bien longtemps !!!
J’ai du mal avec les stéréos prisent aujourd’hui, toujours autant de fleurs voir plus qu’au début des autochromes des frères Lumière.
Mais il a-t-il du mal à se faire du bien ?
Après, il y a la question de moyen, c’est un choix, j’ai la chance de vivre mes dernières années seules (Est-ce réellement une chance ??? Non !) et de pouvoir choisir mes priorités.
Je suis conscient de l’énormité que j’écris…
"Je suis con... Mais putain, j’aime cela !* »

* Coluche Humoriste/Comédien français des années 70/80 dont sa priorité était la moto, à vive allure...


Those under thirty years of age should remember that in the past, and yes, in the past, we bought stereos on glass by the lot, and not at €15 each. Let's be honest, it's true, there are good and not-so-good picks...
300 plates of snow-covered forest landscapes will always be hard to get rid of!
But there has been a complete overhaul of sales systems in recent years, so that today selling diableries, or other BK dioramas torn or with gaping holes around €15 to €30 no longer shocks anyone. Not even me!
I followed... Big idiot that I am!
I'm not a veteran, but in the world of “addictive collectors” I'm forced to admit that costs are drifting! Tata Mireille with Uncle Bernard in front of the Eiffel Tower have become collectors? In any case, the price: yes! I've just made the Basque Country series a little more attractive on Flickr peppin 1, taken from a batch of 300 plates.
There's still a lot of work to be done, let's say 30% is for the garbage can (glass, I sort it when I have time...) But there are still some nuggets... Unscanned.
The amateur photographer was probably on the architecture/construction circuit. And had strokes of genius, like this beautiful dog waiting for his masters on a sailboat! But there's also the family, the growth of children, which is a good way to, you give at least some temporal indications!
Who pays for these stereos?
We do!
The demand, for example after the essential book “les diableries” by the americo/franco/english trio, hasn't just been good... I know D.Pellerin is fully aware of the fact! But was it necessary to ignore this indispensable and, in my opinion, best of the series, book by London St Co? Certainly not!
A photo may be rare, but without the little difference that will make it...
That you need to acquire it without wasting time. And there you are, in the never-ending demand/proposal system familiar to every consumer, big or small!
Capitalism still has a bright future ahead of it, given current international events. (04/2025) Who's come up with something better?
I don't have a red thread in this labyrinth, except that a stereo should make me imagine a story, give me the feeling of sharing with stereographers long dead!!!!
I have a hard time with today's stereos, still as flowery or even more so than in the early days of the Lumière brothers' autochromes.
But does he have trouble doing himself any good?
After that, there's the question of means, it's a choice, I'm lucky enough to be living my last years alone (is it really a chance??? No!) and to be able to choose my priorities.
I'm aware of the enormity of what I'm writing...
"I'm an idiot... But I fucking love it!"

*Coluche French humorist/comedian from the 70s and 80s, whose priority was motorcycles, at speed...

Translated with DeepL.com (free version)

Attente du retour de pêche. Pays Basque 1903/1916 by tdlnceur68

Attente du retour de pêche. Pays Basque 1903/1916

Attente du retour de pêche. Pays Basque 1903/1916
Glass 6 x 13

panne essence montagne. Pays Basque 1903/1916 by tdlnceur68

panne essence  montagne. Pays Basque 1903/1916

Véhicule sorti en 1913 ROCHET /SCHNEIDER. Panne d'eau.
À quoi correspond l’espèce de lampadaire ?? Réserve d'eau ????
Vehicle released in 1913 by ROCHET/SCHNEIDER. Water shortage.
What kind of streetlight does this mean? Water reservoir?

Pays Basque 1903/1916

ARLES,le pont de Trinquetaille - les Tirailleurs et les Arlésiennes à la lessive avril 1917..tifNNN by pepinb31

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ARLES,le pont de Trinquetaille - les Tirailleurs et les Arlésiennes à la lessive avril 1917..tifNNN

Spahis et tirailleurs dans le sud de la France, avril 1917.
ARLES, le pont de Trinquetaille - les Tirailleurs et les Arlésiennes à la lessive avril 1917.
Glass 62 x 12.8
Le 5e régiment de tirailleurs algériens (5e RTA)*
Photographe(s)Henri Bilowski
* imagesdefense.gouv.fr/fr/arles-bouches-du-rhone-maniement...


Mathématiquement, ils ont moins de chance de revenir en Algérie ces spahis. Tout simplement, car l’armée française les utilisait avec les soldats noirs africains, toujours en première ligne, dans les combats les plus périlleux.(trente ans plus tard, c’est encore sur eux que l’armée comptera pour libérer tout le sud de la France !)
Oseront ils avouer avoir fait leur lessive avec des femmes ?
Je ne parierai pas… Ils ont une fierté d’homme excessive.
Et le travail d’une femme reste pour les femmes !

Spahis and riflemen in the south of France, April 1917.
ARLES, the Trinquetaille Bridge - the Riflemen and the Arlesiennes doing their laundry, April 1917.
Glass 62 x 12.8
The 5th Algerian Riflemen Regiment (5e RTA)*
Photographer(s) Henri Bilowski
* imagesdefense.gouv.fr/fr/arles-bouches-du-rhone-maniement...

Mathematically, these spahis are less likely to return to Algeria. Quite simply, because the French army used them alongside Black African soldiers, always on the front lines, in the most perilous battles. (Thirty years later, it was still on them that the army would count to liberate the entire south of France!)
Will they dare admit to having done their laundry with women? I wouldn't bet... They have excessive male pride.
And a woman's job stays for women!

Tombe de Charles Péguy. .05 Sept.1914 by tdlnceur68

Tombe de Charles Péguy. .05 Sept.1914

Pas l’anaglyphe de l’année ! Juste un document pris par un amateur.
Texte au dos :
1915. 9 octobre. Neufmontiers-les-Meaux.
Tombe de Charles Péguy.
Les premières victimes de la bataille de l'Ourcq (5 septembre 1914)
Mr. Courbet.

Not the anaglyph of the year! Just a document taken by an amateur.
Text on the back:
1915. October 9. Neufmontiers-les-Meaux.
Grave of Charles Péguy.
The first victims of the Battle of Ourcq (September 5, 1914)
Mr. Courbet.

"Charles Pierre Péguy ( 7 janvier 1873 et mort 5 septembre 1914) est un poète, essayiste et rédacteur en chef français. Ses deux principales philosophies étaient le socialisme et le nationalisme ; en 1908, au plus tard, après des années d'agnosticisme inquiet, il était devenu un catholique romain croyant (mais généralement non pratiquant). À partir de ce moment, le catholicisme a fortement influencé ses œuvres." S: Wiki.

Passer de Jaurès au catholicisme pur et dur, nationaliste aveuglé…
Un homme qui ne peux que poser des questions…

"Pendant la Seconde Guerre mondiale, les partisans et les adversaires de la France de Vichy ont cité Péguy. Edmond Michelet fut le premier de nombreux membres de la Résistance française à citer Péguy; de Gaulle, familiè avec l'écriture de Péguy, le cite dans un discours de 1942. Ceux qui s'opposaient aux lois antisémites de Vichy le citent souvent de l'être. En revanche, Robert Brasillach a fait l'éloge de Péguy en tant que « national-socialiste français », et les fils de Péguy Pierre et Marcel ont écrit que leur père était une source d'inspiration pour l'idéologie de la Révolution nationale de Vichy et « avant tout, un raciste » Il a été écrit que Péguy aurait probablement été horrifié par son influence future sur le fascisme."
S:WIKI

“Charles Pierre Péguy ( January 7, 1873; died September 5, 1914) was a French poet, essayist and editor. His two main philosophies were socialism and nationalism; by 1908, at the latest, after years of restless agnosticism, he had become a believing (but generally non-practicing) Roman Catholic. From then on, Catholicism strongly influenced his works.” S: Wiki.

From J.Jaurès to hard-line Catholicism, blind nationalist...
A man who can only ask questions...

“During the Second World War, both supporters and opponents of Vichy France quoted Péguy. Edmond Michelet was the first of many members of the French Resistance to quote Péguy; de Gaulle, familiar with Péguy's writing, cited him in a 1942 speech. Those who opposed Vichy's anti-Semitic laws often quoted him. On the other hand, Robert Brasillach praised Péguy as a “French National Socialist”, and Péguy's sons Pierre and Marcel wrote that their father was an inspiration for Vichy's National Revolution ideology and “above all, a racist” It has been written that Péguy would probably have been horrified by his future influence on fascism.”
S:WIKI

Commune de Paris 1897 à 1900. Jean Barry 4/4. Invalides et Prison de MAZAS by pepinb31

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Commune de Paris 1897 à 1900. Jean Barry 4/4. Invalides et Prison de MAZAS

The Mazas prison

Nothing remains of the imposing stone porch of the Mazas prison. At 25-23, boulevard Diderot, where the entrance used to be, residents of the Gare de Lyon district of Paris can now sip a coffee on the terrace of a bistro. For forty-eight years, however, a page of French prison history was written here.

Inaugurated in 1850, the Mazas prison held hundreds of thousands of inmates, famous and unknown, until it was demolished in 1898. The first prison to be based exclusively on cell confinement, it was long held up as a “model” of its kind. Designed to keep inmates as isolated from each other as possible, Mazas has left its mark on prison policy ever since.
www.20minutes.fr/societe/2567363-20190816-prisons-disparu...
1898
Railway station and hotel built in 1898 by architect Victor Laloux, and inaugurated on July 14, 1900, for the Universal Exhibition. The building comprises a hall 32 meters high, 40 meters wide and 138 meters long. The interior metal structures are covered on the outside by a stone façade.
S:wiki

La maison d'arrêt cellulaire de Mazas

ll ne reste rien de l’imposant porche en pierre de la prison de Mazas. Au 25-23, boulevard Diderot, à la place de l’entrée, les habitants du quartier de la gare de Lyon, à Paris, peuvent désormais siroter un café à la terrasse d’un bistrot. Pendant quarante-huit ans pourtant, une page de l’histoire carcérale de France s’est écrite ici.

Inaugurée en 1850, la prison de Mazas a retenu en ces murs des centaines de milliers de détenus, célèbres et inconnus, jusqu’à sa destruction en 1898. Première prison à reposer exclusivement sur un enfermement en cellule, cette maison d’arrêt a longtemps été érigée en « modèle » du genre. Conçue pour isoler au maximum les détenus les uns des autres, Mazas a laissé des traces dans la politique pénitentiaire menée depuis.
www.20minutes.fr/societe/2567363-20190816-prisons-disparu...
1898
Gare et hôtel construits à partir de 1898 par l'architecte Victor Laloux, et inaugurés le 14 juillet 1900 pour l'Exposition universelle. L'édifice se compose d'un hall de 32 mètres de haut sur 40 de large et 138 de long. Les structures métalliques intérieures sont recouvertes à l'extérieur par une façade de pierre.
S:wiki

Grande Roquette. Cellule de Mgr Darboy. Jean Barry 3/4 by pepinb31

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Grande Roquette. Cellule de Mgr Darboy. Jean Barry 3/4

( see docs and comments)

DARBOY Georges, né à Fayl-Billot, Haute-Marne en 1813 (NDLR : le 16 janvier), exécuté à Paris, 24 mai 1871. Ce fut lui qui, à propos du coup d'État, dit que Napoléon III " était sorti de la légalité pour entrer dans le droit ". Il se distingua au concile du Vatican par son gallicanisme. Le Conseil de la Commune le fit arrêter comme otage, mais chercha immédiatement à l'échanger contre Blanqui. Mauvais calcul : Darboy était mal vu de la hiérarchie et Thiers avait besoin d'un martyr. L'exécution de Mgr Darboy ne fut pas décidée par la Commune, mais par les seuls Ferré et Genton.
Bernard Noël, après avoir présenté le décret du 5 avril, cite Lissagaray :

Les otages les plus précieux eurent toute liberté de faire venir du dehors nourriture, linge, livres, journaux, de recevoir des visites d'amis, jusqu'à des reporters de journaux étrangers.

La Commune proposa l'échange de Mgr Darboy contre Blanqui . Le 12 avril, Mgr Darboy écrivit une lettre à Thiers pour protester contre les exécutions sommaires commises par les versaillais et pour appuyer la proposition d'échange. Cette lettre fut confiée au vicaire général Lagarde, libéré pour l'occasion et qui prit le chemin de Versailles, après avoir juré : « Dussé-je être fusillé, je reviendrai ... » Cependant, que Thiers assurait publiquement que « jamais nos soldats n'ont fusillé de prisonniers, ni cherché à achever les blessés », Lagarde restait à Versailles sous prétexte que les négociations traînaient en longueur.

Le 23, Mgr Darboy lui intima l'ordre de rentrer : il se garda de répondre et encore plus d'obéir. La Commune réitéra plusieurs fois ses offres d'échange.
Le 14 mai, elle alla jusqu'à proposer d'échanger tous les otages (il y en avait à ce moment-là 74) contre le seul Blanqui. Thiers refusa. Son secrétaire, le fort peu féroce Barthélémy St Hilaire, déclarait : « Les otages ! Les otages, tant pis pour eux ! » Et il est plus que probable que Versailles espérait l'exécution des otages, pour se créer des martyrs. Versailles se remit donc à massacrer les prisonniers, à achever les blessés et à exécuter, après viol, une infirmière. La Commune n'appliqua pas pour autant son décret. Il fallut les massacres du début de la Semaine sanglante pour que Ferré poussé par Genton, signât l'ordre d'exécution de six otages. Le 24 mai donc, en vertu de cet ordre, à sept heures du soir, furent exécutés à la Roquette, par un peloton formé de volontaires, Mgr Darboy, le président Bonjean, l'abbé Duguerry et trois jésuites.

"On sait qu'officiellement Versailles reste l'incarnation de l'ordre et de la justice, la Commune celle du crime. »

www.commune1871.org/la-commune-de-paris/histoire-de-la-co...

DARBOY Georges, born in Fayl-Billot, Haute-Marne in 1813 (Editor's note: January 16), executed in Paris, May 24, 1871. It was he who, referring to the coup d'état, said that Napoleon III “had left legality to enter law”. He distinguished himself at the Vatican Council by his Gallicanism. The Commune Council had him arrested as a hostage, but immediately sought to exchange him for Blanqui. This was a miscalculation: Darboy was frowned upon by the hierarchy, and Thiers needed a martyr. Mgr Darboy's execution was not decided by the Commune, but by Ferré and Genton alone.
Bernard Noël, after presenting the decree of April 5, quotes Lissagaray:
The most valuable hostages were given complete freedom to bring in food, linen, books and newspapers from outside, to receive visits from friends and even reporters from foreign newspapers.
The Commune proposed exchanging Mgr Darboy for Blanqui. On April 12, Mgr Darboy wrote a letter to Thiers to protest against the summary executions committed by the Versaillais, and to support the exchange proposal. The letter was entrusted to Vicar General Lagarde, who was released for the occasion and set off for Versailles, having sworn: “Even if I'm shot, I'll come back...”. While Thiers publicly asserted that “our soldiers have never shot prisoners, nor sought to finish off the wounded”, Lagarde remained in Versailles on the pretext that negotiations were dragging on.

On the 23rd, Mgr Darboy ordered him to return: he refused to respond, let alone obey. The Commune repeated its exchange offers several times.
On May 14, it went so far as to offer to exchange all the hostages (there were 74 at the time) for Blanqui alone. Thiers refused. His secretary, the less than ferocious Barthélémy St Hilaire, declared: “The hostages! The hostages, too bad for them! And it's more than likely that Versailles hoped to the execution of hostages, to create martyrs for themselves. Versailles went back to slaughtering prisoners, finishing off the wounded and executing a nurse after rape. But the Commune did not enforce its decree. It wasn't until the massacres at the start of Bloody Week that Ferré, urged on by Genton, signed an order to execute 6 hostages. On May 24, by virtue of this order, at seven o'clock in the evening, Mgr Darboy, President Bonjean, Abbé Duguerry and 3 Jesuits were executed at La Roquette by a platoon of volunteers.

“We know that officially Versailles remains the incarnation of order and justice, the Commune that of crime.”

S:www.commune1871.org/la-commune-de-paris/histoire-de-la-co...

Fillette et le cochon .Dijon France. Charcuterie.1934 Glass 58 x12.9 by tdlnceur68

Fillette  et le cochon .Dijon France. Charcuterie.1934 Glass 58 x12.9

Elle n’est pas mignonne Anne-Marie dans la charcuterie de ses parents à Dijon ?
Avec le cochon en plâtre que l’on a enlevé de la vitrine pour l’occasion. On devine ces joues bien rouges et rondes ce qui lui donne encore un petit air de bébé, espéreront qu’elle ne finira pas obèse dans cet univers du gras. Ce 11 novembre 1934, la boutique est restée fermée, c'est la "journée nationale pour la commémoration de la Victoire et de la paix". Bonne occasion pour faire une photographie entre scie et couteaux.
Je ne sais pas si le livre « Au bon beurre » de Jean Dutourd a été traduit, véritable ode à la France sous l’occupation, d’un charcutier qui profitera largement de sa situation dans un Paris affamé, pour finir en août 1944, résistant comme tout bon français… Évidemment !

Isn't Anne-Marie cute in her parents' delicatessen in Dijon?
With the plaster pig that was removed from the window for the occasion. We can guess those very red and round cheeks which still give her a little baby look, we will hope that she will not end up obese in this world of fat. This November 11, 1934 the shop remained closed, it is the "national day for the commemoration of Victory and Peace". Good opportunity to take a photo between saw and knives.
I don't know if the book "Au bon beurre" by Jean Dutourd has been translated, a true ode to France under the occupation, by a butcher who will take full advantage of his situation in a starving Paris, to end up in August 1944, resistant like any good Frenchman… Obviously!

Commune de Paris 1897 à 1900. Jean Barry 2/4. by pepinb31

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Commune de Paris 1897 à 1900. Jean Barry 2/4.

COUR DES COMPTES
Du coup, la Commune la rangea parmi ces « grands corps » (Louise Michel) dont la destruction permettrait le passage à l’utopie d’un monde nouveau : le Palais fut incendié parmi d’autres symboles de l’État. Mails, à la différence de l’Hôtel de Ville, du Louvre, du Palais de Justice et l’hôtel de Salm, il ne fut pas reconstruit ; pas plus que l’ancien palais des Tuileries. La République hésita longuement puis vendit le terrain et les ruines à la compagnie des chemins de fer d’Orléans : ainsi fut édifiée la gare d’Orsay. La Cour des comptes, quant à elle, fut réinstallée dans les vestiges d’un ancien couvent de la rue Cambon.

www.ccomptes.fr/fr/cour-des-comptes/histoire-et-patrimoin...

COUR DES COMPTES
As a result, the Commune included it among those “grand corps” (Louise Michel) whose destruction would enable the transition to the utopia of a new world: the Palais was burnt down along with other symbols of the State. But unlike the Hôtel de Ville, the Louvre, the Palais de Justice and the Hôtel de Salm, it was never rebuilt, and neither was the old Palais des Tuileries. The Republic hesitated for a long time, then sold the land and ruins to the Orléans railway company, which built the Orsay station. The Cour des Comptes, meanwhile, was relocated to the remains of a former convent on rue Cambon.