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Montrichard (Loir et Cher).
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
L'enceinte séparant la cour-basse et la cour-haute, du XIIe siècle.
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
L'enceinte délimitant la cour-haute, du XIIe siècle;
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
L'enceinte délimitant la cour-haute, du XIIe siècle;
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
La rampe d'accès à la cour-haute avec le mur de la première enceinte (XIIe).
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
La rampe d'accès à la cour-haute avec le mur de la première enceinte (XIIe). Au Moyen Âge, la porte était fortifiée, c'était l'entrée d'origine du château.
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
Montrichard (Loir et Cher).
Le mur d'enceinte nord qui est aussi le mieux conservé. Il présente de nombreux remaniements datables des XIIe-début XIIIe s.
La tour circulaire appartenait à l'enceinte urbaine.
La forteresse.
Le château est construit entre 1110 et 1128.
En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).
Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :
Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.
Les étages étaient séparés par des planchers.
Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.
Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.
Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.
Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.
Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.
Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.
Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.
Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.
* Au XIIe siècle, les châteaux forts sont construits avec deux enceintes. La cour la plus intérieure est appelée haute-cour, par opposition à la basse-cour, située entre les deux enceintes.
Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668
SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)
SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)
SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)
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SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)
SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)
SCRANTON, Pa. – Brig. Gen. John Pippy, Director-Joint Staff, PA National Guard, Brig. Gen. (PA) Maureen Weigl, DMVA’s deputy adjutant general for Veterans Affairs, joined Gino J. Merli Veterans’ center staff and residents and family members in celebrating WWII veteran, John Lubek’s 100th birthday, Aug. 5th. Lubek’s actual birthday was on Saturday, August 3 where he celebrated with the New York Yankees. His attendance at Saturday’s game was made possible by the Twilight Wish Foundation, a national nonprofit charitable organization whose mission is to honor and enrich the lives of seniors through intergenerational wish granting celebrations. (Department of Military and Veterans Affairs photos by Tom Cherry/Released)