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Chinon (Indre-et-Loire). by sybarite48

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Chinon (Indre-et-Loire).

Chinon (Indre-et-Loire)


La forteresse royale de Chinon.

La tour du Moulin.

La forteresse royale est divisée en trois châteaux: Le château du Milieu, le fort du Coudray et le fort Saint Georges (actuellement détruit).

La tour du Moulin fait partie du fort du Coudray construit au XIIe siècle. La tour du moulin doit son nom à un moulin à vent perché à son sommet à une époque récente. Elle date à priori de Richard Coeur de Lion*.

La tour du Moulin était protégée par une chemise, mur périphérique qui l'entourait pour la protéger. Il semble bien que la tour du Moulin enjambe une muraille antique.

Le premier étage est accessible seulement par le chemin de ronde, il n'y a pas de communication avec le rez-de-chaussée. L'étage supérieure est accessible à partir du premier étage par un escalier qui permet également l'accès à la terrasse.


*La tour du Moulin, specimen d’architecture « plantagenêt » avec ses voûtes angevines, a été datée en 2003, par C14 à partir d'un charbon de bois emprisonné dans le mortier, entre 1160-1290 (probabilité 94,8 %). Le plus grand pic de probabilité dans cette fourchette étant de 1190. (Bruno Dufay, Francois Capron. "Opération(s) réseaux" forteresse de Chinon (37072). 2012).


The royal fortress of Chinon.

The tower of the Moulin.

The royal fortress is divided into three castles: Castle Middle, Fort du Coudray and Fort St. George (now destroyed).

The tower is part of the Fort du Coudray built in the twelfth century. The tower of the Mill is named after a windmill perched at the top in recent times. It dates a priori of Richard the Lionheart *.

The tower of the mill was protected by a jacket, peripheral wall which surrounded it to protect it. It seems that the tower of the Moulin straddles an ancient wall.

The first floor is accessible only by the covered way, there is no communication with the ground floor. The upper floor is accessible from the first floor by a staircase that allows access to the terrace.


* The tower of the mill, architectural specimen "Plantagenet" with its Angevin vaults, was dated with carbon-14, from a charcoal trapped in the mortar between 1160-1290. Probably around 1190.

Chinon (Indre-et-Loire). by sybarite48

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Chinon (Indre-et-Loire).

Chinon (Indre-et-Loire).


La forteresse. De gauche à droite :

La Tour du Moulin.
Edifiée fin 12ème siècle (Une datation au C14 sur un charbon de bois emprisonné dans le mortier, donne une fourchette 1160-1290). Son nom vient d'un moulin à vent construit au sommet à l'époque moderne.

La Tour de Boissy.
Edifiée au 13ème siècle. Son nom vient des seigneurs de Boissy qui furent gouverneurs du château de Chinon au 16ème siècle. Artus Gouffier de Boisy ou Boissy reçut la charge de goouverneur de Chinon, le 22 décembre 1567, en remplacement de son père, à l'âge de 12 ans.

Les Logis Royaux. Au 15ème siècle, les logis royaux comprennent trois bâtiments avec une cour au milieu. Il ne subsiste que l'aile sud.

La Salle de la Reconnaissance. De cette salle entièrement détruite, il ne reste que le tablier de la cheminée accolé à l'aile sud du logis royale. C'est l'ancienne salle de justice. C'est là que Jeanne reconnu le dauphin dissimulé.

La Tour de l'Horloge. Elle sert d'entrée au château depuis le 12ème siècle. Sa configuration actuelle date de la fin du 14ème siècle. Une horloge est installée dans le clocheton.

Chinon (Indre-et-Loire). by sybarite48

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Chinon (Indre-et-Loire).

Chinon (Indre-et-Loire).


La forteresse. De gauche à droite :

La Tour du Moulin.
Edifiée fin 12ème siècle (Une datation au C14 sur un charbon de bois emprisonné dans le mortier, donne une fourchette 1160-1290). Son nom vient d'un moulin à vent construit au sommet à l'époque moderne.

La Tour de Boissy.
Edifiée au 13ème siècle. Son nom vient des seigneurs de Boissy qui furent gouverneurs du château de Chinon au 16ème siècle. Artus Gouffier de Boisy ou Boissy reçut la charge de goouverneur de Chinon, le 22 décembre 1567, en remplacement de son père, à l'âge de 12 ans.

Les Logis Royaux. Au 15ème siècle, les logis royaux comprennent trois bâtiments avec une cour au milieu. Il ne subsiste que l'aile sud.

La Salle de la Reconnaissance. De cette salle entièrement détruite, il ne reste que le tablier de la cheminée accolé à l'aile sud du logis royale. C'est l'ancienne salle de justice. C'est là que Jeanne reconnu le dauphin dissimulé.

La Tour de l'Horloge. Elle sert d'entrée au château depuis le 12ème siècle. Sa configuration actuelle date de la fin du 14ème siècle. Une horloge est installée dans le clocheton.

Angers (Maine-et-Loire). by sybarite48

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Angers (Maine-et-Loire).

Angers (Maine-et-Loire).


La cale de la Savatte, le château d'Angers et la cathédrale Saint-Maurice.


Le château d'Angers.

Cette forteresse de schiste et de calcaire fut édifiée par Blanche de Castille et Saint-Louis (Louis IX).

Le Roi louis IX, âgé de 17 ans, pour combattre Henri III, successeur de Jean Sans Terre et Pierre duc de Bretagne, fit construire entre 1230 et 1240, cette énorme forteresse. Pour construire les remparts, il pris les matériaux de la cathédrale d'Angers alors en construction.

Pour payer, en partie, la construction de la forteresse royale, un impôt sera levé sur les bourgeois d'Angers.


La Cale de la Savatte (Le port fluvial d'Angers).

Le quai de la Savatte n'a rien à voir avec une quelconque chaussure, c'était une pièce de bois sur laquelle reposaient les navires à fond plat, les gabares.

Jusque vers 1860, la Maine serpentait entre des îlots de prairies qui la divisaient en plusieurs bras. La plus grande de ces îles, l’île de la Savatte était bâtie.

L’île de la Savatte, seule île bâtie, est aussi appelée île des Carmes, suite à l’établissement d’un couvent de l’ordre mendiant des Carmes en 1368.

On appelait le bras de Maine entre la Doutre et l’île, le canal de la Tannerie. C’était un endroit malodorant, à cause des tanneurs qui y avaient installé leur industrie.

A partir des premières décennies du XIXe siècle sont véritablement construits des quais, même si les projets en remontaient au moins à 1630.

La métamorphose se poursuit après l'inondation de 1856 qui suscite en 1861 un programme d’assainissement et d’exhaussement des "bas quartiers" avec l’aide de l’État.

Il faut vingt ans pour métamorphoser la rive droite. L’île de la Savatte est réunie à la Doutre en 1863-1865 avec les déblais du boulevard Descazeaux.

En 1869, on creuse cette prairie pour créer la cale de la Savatte, entourée de nouveaux quais empierrés et utilisée comme port au sable jusqu’en 1984.

Le quai des Carmes bâti en 1872-1878 et son prolongement jusqu’à la Haute-Chaîne seront achevés en 1883.

Par la suite, le tracé de la rivière n’évolue plus de façon fondamentale.

Depuis, la cale est devenue un port de plaisance.


Cathédrale Saint-Maurice.

La façade est entourée de tours rectangulaires.

Les deux grands clochers devaient être réunis par un pignon. Les deux flèches octogonales sont reconstruites au début du XVIe siècle, celle du nord en 151 et celle du sud en 1523;

Suite à un incendie du clocher de la tour médiane en 1533, l'architecte angevin Jehan de Lespine (Jean Delespine) réédifie une massive tour centrale avec un dôme et un lanternon.

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Le logis royal. Entre le XIIIe et le XVIe s., on construit de vastes logis à trois étages au pied du donjon, à l’intérieur de l’enceinte castrale. Le château étant abandonné dès le XVIIe siècle, Il ne reste que quelques murs ruinés suite à leur effondrement au XVIIIe.




La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


L'enceinte séparant la cour-basse et la cour-haute, du XIIe siècle.



La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


L'enceinte délimitant la cour-haute, du XIIe siècle;



La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


L'enceinte délimitant la cour-haute, du XIIe siècle;



La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


La rampe d'accès à la cour-haute avec le mur de la première enceinte (XIIe).

La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


La rampe d'accès à la cour-haute avec le mur de la première enceinte (XIIe). Au Moyen Âge, la porte était fortifiée, c'était l'entrée d'origine du château.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


L'hôtel d'Effiat vue depuis la forteresse.


Hôtel d'Effiat et sa chapelle (XVIème et XVIIème).

L'Hôtel d'Effiat a été construit par Jean de Beaune Semblançay pour la partie gothique et par Guillaume de Beaune, son fils, pou la partie renaissance.

Le dernier propriétaire, le marquis d'Effiat, le légua à la ville en 1717 pour y créer un hospice qui fut l'hôpital local jusqu'en 1977.

Les armes de Beaune Semblançay figurent dans l'encadrement d'une fenêtre.

The gothic part of this mansion was built for Jean de Beaune, the renaissance part for his son, Guillaume.

The last owner, the Marquis d'Effiat bequeathed it to town to create a home for people in 1717.

It was the local hospital until 1977.

(Panneau sur le site).


La famille Ruzé d'Effiat a possédé la Seigneurie de Montrichard au début du XVIIème siècle. Les Ruzé étaient issus d'une grande famille Tourangelle dont plusieurs membres ont été Maires de Tours aux XV et XVIème siècles.

Au XVIIIe siècle, le Marquis d'Effiat, seigneur de Montrichard, y organise les chasses du Duc d'Orléans. A sa mort, il lègue sa demeure Renaissance à la ville.
Après avoir été hôpital-hospice pendant 250 ans, jusqu’en 1977, l'Hôtel d'Effiat abrite maintenant diverses associations.

Antoine II Coëffier Ruzé d'Effiat (1638-1719), premier écuyer de Philippe d’Orléans est mort à 81 ans, le 3 juin 1719, au château de Chilly, sans enfants d'où l'extinction de la branche des Ruzé d'Effiat.


Family Ruzé Effiat possessed the Lordship of Montrichard in the early seventeenth century. The Ruzé came from a large family with several members Tourangelle were Mayors of Tours in the fifteenth and sixteenth centuries.

In the eighteenth century, the Marquis d'Effiat, lord of Montrichard, organizes hunts Duke of Orleans. At his death, he bequeathed his home to the Renaissance city.
After hospital-hospice for 250 years, until 1977, the hotel now houses Effiat associations.

Antoine Coëffier Ruzé Effiat II (1638-1719), first equerry of Philippe d'Orléans died at age 81 on June 3, 1719, at the Château de Chilly, without children where the extinction of the branch of Ruzé d'Effiat.


Le Ginkgo Biloba du petit parc est classé "arbre remarquable".

The Ginkgo Biloba of the small park is classified "remarkable tree".


La chapelle se situe sur les fondations des remparts de la ville sur la base d’un bâtiment qui logeait meutes et chevaux entretenus pour les chasses.


The chapel is located on the foundations of the city walls. The chapel was built on the foundations of a building that housed packs of hunting dogs and horses.

www.paroissedemontrichard.com/clochers/montrichard

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


L'hôtel d'Effiat vue depuis la forteresse.


Hôtel d'Effiat et sa chapelle (XVIème et XVIIème).

L'Hôtel d'Effiat a été construit par Jean de Beaune Semblançay pour la partie gothique et par Guillaume de Beaune, son fils, pou la partie renaissance.

Le dernier propriétaire, le marquis d'Effiat, le légua à la ville en 1717 pour y créer un hospice qui fut l'hôpital local jusqu'en 1977.

Les armes de Beaune Semblançay figurent dans l'encadrement d'une fenêtre.

The gothic part of this mansion was built for Jean de Beaune, the renaissance part for his son, Guillaume.

The last owner, the Marquis d'Effiat bequeathed it to town to create a home for people in 1717.

It was the local hospital until 1977.

(Panneau sur le site).


La famille Ruzé d'Effiat a possédé la Seigneurie de Montrichard au début du XVIIème siècle. Les Ruzé étaient issus d'une grande famille Tourangelle dont plusieurs membres ont été Maires de Tours aux XV et XVIème siècles.

Au XVIIIe siècle, le Marquis d'Effiat, seigneur de Montrichard, y organise les chasses du Duc d'Orléans. A sa mort, il lègue sa demeure Renaissance à la ville.
Après avoir été hôpital-hospice pendant 250 ans, jusqu’en 1977, l'Hôtel d'Effiat abrite maintenant diverses associations.

Antoine II Coëffier Ruzé d'Effiat (1638-1719), premier écuyer de Philippe d’Orléans est mort à 81 ans, le 3 juin 1719, au château de Chilly, sans enfants d'où l'extinction de la branche des Ruzé d'Effiat.


Family Ruzé Effiat possessed the Lordship of Montrichard in the early seventeenth century. The Ruzé came from a large family with several members Tourangelle were Mayors of Tours in the fifteenth and sixteenth centuries.

In the eighteenth century, the Marquis d'Effiat, lord of Montrichard, organizes hunts Duke of Orleans. At his death, he bequeathed his home to the Renaissance city.
After hospital-hospice for 250 years, until 1977, the hotel now houses Effiat associations.

Antoine Coëffier Ruzé Effiat II (1638-1719), first equerry of Philippe d'Orléans died at age 81 on June 3, 1719, at the Château de Chilly, without children where the extinction of the branch of Ruzé d'Effiat.


Le Ginkgo Biloba du petit parc est classé "arbre remarquable".

The Ginkgo Biloba of the small park is classified "remarkable tree".


La chapelle se situe sur les fondations des remparts de la ville sur la base d’un bâtiment qui logeait meutes et chevaux entretenus pour les chasses.


The chapel is located on the foundations of the city walls. The chapel was built on the foundations of a building that housed packs of hunting dogs and horses.

www.paroissedemontrichard.com/clochers/montrichard

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


L'hôtel d'Effiat vue depuis la forteresse.


Hôtel d'Effiat et sa chapelle (XVIème et XVIIème).

L'Hôtel d'Effiat a été construit par Jean de Beaune Semblançay pour la partie gothique et par Guillaume de Beaune, son fils, pou la partie renaissance.

Le dernier propriétaire, le marquis d'Effiat, le légua à la ville en 1717 pour y créer un hospice qui fut l'hôpital local jusqu'en 1977.

Les armes de Beaune Semblançay figurent dans l'encadrement d'une fenêtre.

The gothic part of this mansion was built for Jean de Beaune, the renaissance part for his son, Guillaume.

The last owner, the Marquis d'Effiat bequeathed it to town to create a home for people in 1717.

It was the local hospital until 1977.

(Panneau sur le site).


La famille Ruzé d'Effiat a possédé la Seigneurie de Montrichard au début du XVIIème siècle. Les Ruzé étaient issus d'une grande famille Tourangelle dont plusieurs membres ont été Maires de Tours aux XV et XVIème siècles.

Au XVIIIe siècle, le Marquis d'Effiat, seigneur de Montrichard, y organise les chasses du Duc d'Orléans. A sa mort, il lègue sa demeure Renaissance à la ville.
Après avoir été hôpital-hospice pendant 250 ans, jusqu’en 1977, l'Hôtel d'Effiat abrite maintenant diverses associations.

Antoine II Coëffier Ruzé d'Effiat (1638-1719), premier écuyer de Philippe d’Orléans est mort à 81 ans, le 3 juin 1719, au château de Chilly, sans enfants d'où l'extinction de la branche des Ruzé d'Effiat.


Family Ruzé Effiat possessed the Lordship of Montrichard in the early seventeenth century. The Ruzé came from a large family with several members Tourangelle were Mayors of Tours in the fifteenth and sixteenth centuries.

In the eighteenth century, the Marquis d'Effiat, lord of Montrichard, organizes hunts Duke of Orleans. At his death, he bequeathed his home to the Renaissance city.
After hospital-hospice for 250 years, until 1977, the hotel now houses Effiat associations.

Antoine Coëffier Ruzé Effiat II (1638-1719), first equerry of Philippe d'Orléans died at age 81 on June 3, 1719, at the Château de Chilly, without children where the extinction of the branch of Ruzé d'Effiat.


Le Ginkgo Biloba du petit parc est classé "arbre remarquable".

The Ginkgo Biloba of the small park is classified "remarkable tree".


La chapelle se situe sur les fondations des remparts de la ville sur la base d’un bâtiment qui logeait meutes et chevaux entretenus pour les chasses.


The chapel is located on the foundations of the city walls. The chapel was built on the foundations of a building that housed packs of hunting dogs and horses.

www.paroissedemontrichard.com/clochers/montrichard

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir-et-Cher)


L'hôtel d'Effiat vue depuis la forteresse.


Hôtel d'Effiat et sa chapelle (XVIème et XVIIème).

L'Hôtel d'Effiat a été construit par Jean de Beaune Semblançay pour la partie gothique et par Guillaume de Beaune, son fils, pou la partie renaissance.

Le dernier propriétaire, le marquis d'Effiat, le légua à la ville en 1717 pour y créer un hospice qui fut l'hôpital local jusqu'en 1977.

Les armes de Beaune Semblançay figurent dans l'encadrement d'une fenêtre.

The gothic part of this mansion was built for Jean de Beaune, the renaissance part for his son, Guillaume.

The last owner, the Marquis d'Effiat bequeathed it to town to create a home for people in 1717.

It was the local hospital until 1977.

(Panneau sur le site).


La famille Ruzé d'Effiat a possédé la Seigneurie de Montrichard au début du XVIIème siècle. Les Ruzé étaient issus d'une grande famille Tourangelle dont plusieurs membres ont été Maires de Tours aux XV et XVIème siècles.

Au XVIIIe siècle, le Marquis d'Effiat, seigneur de Montrichard, y organise les chasses du Duc d'Orléans. A sa mort, il lègue sa demeure Renaissance à la ville.
Après avoir été hôpital-hospice pendant 250 ans, jusqu’en 1977, l'Hôtel d'Effiat abrite maintenant diverses associations.

Antoine II Coëffier Ruzé d'Effiat (1638-1719), premier écuyer de Philippe d’Orléans est mort à 81 ans, le 3 juin 1719, au château de Chilly, sans enfants d'où l'extinction de la branche des Ruzé d'Effiat.


Family Ruzé Effiat possessed the Lordship of Montrichard in the early seventeenth century. The Ruzé came from a large family with several members Tourangelle were Mayors of Tours in the fifteenth and sixteenth centuries.

In the eighteenth century, the Marquis d'Effiat, lord of Montrichard, organizes hunts Duke of Orleans. At his death, he bequeathed his home to the Renaissance city.
After hospital-hospice for 250 years, until 1977, the hotel now houses Effiat associations.

Antoine Coëffier Ruzé Effiat II (1638-1719), first equerry of Philippe d'Orléans died at age 81 on June 3, 1719, at the Château de Chilly, without children where the extinction of the branch of Ruzé d'Effiat.


Le Ginkgo Biloba du petit parc est classé "arbre remarquable".

The Ginkgo Biloba of the small park is classified "remarkable tree".


La chapelle se situe sur les fondations des remparts de la ville sur la base d’un bâtiment qui logeait meutes et chevaux entretenus pour les chasses.


The chapel is located on the foundations of the city walls. The chapel was built on the foundations of a building that housed packs of hunting dogs and horses.

www.paroissedemontrichard.com/clochers/montrichard

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Coin sud-ouest de la tour-maîtresse , dans l'épaisseur duquel monte un escalier en colimaçon.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Face intérieure du mur ouest de la tour maîtresse (donjon). Partie haute.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Entre chemise et donjon.
La chemise est le mur de protection qui habille immédiatement le donjon.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Cour basse.
Au fond, le mur nord. A droite le mur derrière lequel une rampe permet l'accès à la cour haute.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668