Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire).
Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».
Bloc sculpté dans le chœur. Probablement un remploi provenant d'une construction antérieure.
L'art carolingien était riche en sculptures décoratives.
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Esves-le-Moutier (Indre-et-Loire)
Église Saint-Maurice (Xe siècle, XIIe siècle, XIVe, XVIe siècle).
Cette église, antérieure au XIIe siècle pour certaines parties, se compose d'une nef unique et d'un chœur rectangulaire à chevet plat.
Cet édifice carolingien a été remanié à plusieurs reprises.
Les murs gouttereaux de la nef ont conservé une grande partie de leur petit appareil du Xe ou début du XIe siècle.
Le clocher carré et fortifié comme un donjon, est flanqué d'échauguettes à chaque angle. Il date du XIIe siècle.
Aux angles du chevet* plat se trouvent deux tourelles cylindriques, de gros contreforts en soutiennent les murs. Le chœur** date probablement du XIVe siècle.
Au pignon oriental on voit une croix latine décorée d'entrelacs et d'une rosace surmontant un écu bandé (bande diagonale). Il s'agit d'un remploi de l'édifice primitif. Le dessin de l'entrelacs à deux brins suggère une date entre la fin de l'époque carolingienne et le début de l'époque romane.
L'église est dédiée à saint Maurice d’Agaune***, patron de la cathédrale de Tours.
* Le chevet est synonyme de chœur architectural. On emploi souvent "chevet" pour désigner le chœur architectural vu de l'extérieur.
** Le chœur architectural c'est la zone de l’église qui se trouve au-delà du transept (ou au-delà de la nef en cas d’absence de transept.
*** Pendant la persécution de Dioclétien, les soldats de la légion venus d’Égypte, auraient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d'Octodure (Martigny) au nord des Alpes, qui avaient été convertis au christianisme. Maurice et les soldats de sa légion refusèrent d'obéir à cet ordre et furent condamnés à mort. Une abbaye Saint-Maurice d'Agaune
fut fondée, par le roi des Burgondes Sigismond, en 515 dans le Valais. C'est l'une des plus anciennes fondations de l'occident.
Esves-le-Moutier (Indre-et-Loire)
Église Saint-Maurice (Xe siècle, XIIe siècle, XIVe, XVIe siècle).
Cette église, antérieure au XIIe siècle pour certaines parties, se compose d'une nef unique et d'un chœur rectangulaire à chevet plat.
Cet édifice carolingien a été remanié à plusieurs reprises.
Les murs gouttereaux de la nef ont conservé une grande partie de leur petit appareil du Xe ou début du XIe siècle.
Le clocher carré et fortifié comme un donjon, est flanqué d'échauguettes à chaque angle. Il date du XIIe siècle.
Aux angles du chevet* plat se trouvent deux tourelles cylindriques, de gros contreforts en soutiennent les murs. Le chœur** date probablement du XIVe siècle.
Au pignon oriental on voit une croix latine décorée d'entrelacs et d'une rosace surmontant un écu bandé (bande diagonale). Il s'agit d'un remploi de l'édifice primitif. Le dessin de l'entrelacs à deux brins suggère une date entre la fin de l'époque carolingienne et le début de l'époque romane.
L'église est dédiée à saint Maurice d’Agaune***, patron de la cathédrale de Tours.
* Le chevet est synonyme de chœur architectural. On emploi souvent "chevet" pour désigner le chœur architectural vu de l'extérieur.
** Le chœur architectural c'est la zone de l’église qui se trouve au-delà du transept (ou au-delà de la nef en cas d’absence de transept.
*** Pendant la persécution de Dioclétien, les soldats de la légion venus d’Égypte, auraient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d'Octodure (Martigny) au nord des Alpes, qui avaient été convertis au christianisme. Maurice et les soldats de sa légion refusèrent d'obéir à cet ordre et furent condamnés à mort. Une abbaye Saint-Maurice d'Agaune
fut fondée, par le roi des Burgondes Sigismond, en 515 dans le Valais. C'est l'une des plus anciennes fondations de l'occident.
Esves-le-Moutier (Indre-et-Loire)
Église Saint-Maurice (Xe siècle, XIIe siècle, XIVe, XVIe siècle).
Cette église, antérieure au XIIe siècle pour certaines parties, se compose d'une nef unique et d'un chœur rectangulaire à chevet plat.
Cet édifice carolingien a été remanié à plusieurs reprises.
Les murs gouttereaux de la nef ont conservé une grande partie de leur petit appareil du Xe ou début du XIe siècle.
Le clocher carré et fortifié comme un donjon, est flanqué d'échauguettes à chaque angle. Il date du XIIe siècle.
Aux angles du chevet* plat se trouvent deux tourelles cylindriques, de gros contreforts en soutiennent les murs. Le chœur** date probablement du XIVe siècle.
Au pignon oriental on voit une croix latine décorée d'entrelacs et d'une rosace surmontant un écu bandé (bande diagonale). Il s'agit d'un remploi de l'édifice primitif. Le dessin de l'entrelacs à deux brins suggère une date entre la fin de l'époque carolingienne et le début de l'époque romane.
L'église est dédiée à saint Maurice d’Agaune***, patron de la cathédrale de Tours.
* Le chevet est synonyme de chœur architectural. On emploi souvent "chevet" pour désigner le chœur architectural vu de l'extérieur.
** Le chœur architectural c'est la zone de l’église qui se trouve au-delà du transept (ou au-delà de la nef en cas d’absence de transept.
*** Pendant la persécution de Dioclétien, les soldats de la légion venus d’Égypte, auraient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d'Octodure (Martigny) au nord des Alpes, qui avaient été convertis au christianisme. Maurice et les soldats de sa légion refusèrent d'obéir à cet ordre et furent condamnés à mort. Une abbaye Saint-Maurice d'Agaune
fut fondée, par le roi des Burgondes Sigismond, en 515 dans le Valais. C'est l'une des plus anciennes fondations de l'occident.
Chabris (Indre)
Église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier (XIIe-XVe).
L'église est construite sur une crypte des Xe-XIe siècles autour d'un sarcophage qui a contenu la dépouille de Saint Phalier, ermite du VIe siècle natif de Limoges, qui s’installa sur les rives du Cher à Chabris. La légende lui attribue de nombreux miracles, en particulier le don de rendre la santé aux enfants affectés de maladies de langueur. Ce saint, dont le nom est évocateur, est aussi invoqué pour la multiplication de l'espéce humaine, et, les femmes y feront des pélerinages dans ce but.
Le pélerin le plus célèbre fut certainement le roi Louis XI qui vint en pélerinage à Chabris pour obtenir la guérison d’une fièvre de langueur. Ayant été exaucé, Louis XI fit faire une châsse de grand prix et exonéra de la taille (impôt direct) tous les habitants de Chabris par lettres patentes de 1482.
Au XVe siècle, Jean Coeur, archevêque de Bourges et fils de Jacques Coeur Grand Argentier de Charles VII, fera reconstruire l'édifice sur la base d'un premier édifice du XIIe siècle.
En 1572, les huguenots sous la conduite de Coligny, dévastèrent Chabris et son église. Ils auraient vidé le sarcophages de saint Phalier de ses reliques, celui-ci serait donc vide.
À l’extérieur, dans les murs romans de l’abside et du transept, on remarquera des remplois peut-être d'époque carolingienne. On distingue :
Un taureau et un scorpion, ce qui fait supposer qu'il s'agit des signes du zodiaques.
Deux pierres encastrées dans la muraille, dont l'une montre deux figures de moines ou de saints placées entre deux palmes. L'autre pierre, montre trois anges avec des ailes placées derrière leur corps.
Une pierre sur laquelle est sculptées une espéce d'animal ressemblant à une salamandre.
Une pierre taillée représentant un reliquaire tel qu'on les faisait au Ve et VIe siécles.
www.berryprovince.com/patrimoine-culturel/eglise-saint-ph...
www.lanouvellerepublique.fr/indre/commune/chabris/l-histo...
www.lemaire1957.net/pages/indre-36/chabris/histoire.html
www.chabris-bazelle.fr/office-de-tourisme/les-%C3%A9glises/
monumentum.fr/eglise-saint-christophe-saint-phalier-pa000...
Chabris (Indre)
Église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier (XIIe-XVe).
L'église est construite sur une crypte des Xe-XIe siècles autour d'un sarcophage qui a contenu la dépouille de Saint Phalier, ermite du VIe siècle natif de Limoges, qui s’installa sur les rives du Cher à Chabris. La légende lui attribue de nombreux miracles, en particulier le don de rendre la santé aux enfants affectés de maladies de langueur. Ce saint, dont le nom est évocateur, est aussi invoqué pour la multiplication de l'espéce humaine, et, les femmes y feront des pélerinages dans ce but.
Le pélerin le plus célèbre fut certainement le roi Louis XI qui vint en pélerinage à Chabris pour obtenir la guérison d’une fièvre de langueur. Ayant été exaucé, Louis XI fit faire une châsse de grand prix et exonéra de la taille (impôt direct) tous les habitants de Chabris par lettres patentes de 1482.
Au XVe siècle, Jean Coeur, archevêque de Bourges et fils de Jacques Coeur Grand Argentier de Charles VII, fera reconstruire l'édifice sur la base d'un premier édifice du XIIe siècle.
En 1572, les huguenots sous la conduite de Coligny, dévastèrent Chabris et son église. Ils auraient vidé le sarcophages de saint Phalier de ses reliques, celui-ci serait donc vide.
À l’extérieur, dans les murs romans de l’abside et du transept, on remarquera des remplois peut-être d'époque carolingienne. On distingue :
Un taureau et un scorpion, ce qui fait supposer qu'il s'agit des signes du zodiaques.
Deux pierres encastrées dans la muraille, dont l'une montre deux figures de moines ou de saints placées entre deux palmes. L'autre pierre, montre trois anges avec des ailes placées derrière leur corps.
Une pierre sur laquelle est sculptées une espéce d'animal ressemblant à une salamandre.
Une pierre taillée représentant un reliquaire tel qu'on les faisait au Ve et VIe siécles.
www.berryprovince.com/patrimoine-culturel/eglise-saint-ph...
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Chabris (Indre)
Église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier (XIIe-XVe).
L'église est construite sur une crypte des Xe-XIe siècles autour d'un sarcophage qui a contenu la dépouille de Saint Phalier, ermite du VIe siècle natif de Limoges, qui s’installa sur les rives du Cher à Chabris. La légende lui attribue de nombreux miracles, en particulier le don de rendre la santé aux enfants affectés de maladies de langueur. Ce saint, dont le nom est évocateur, est aussi invoqué pour la multiplication de l'espéce humaine, et, les femmes y feront des pélerinages dans ce but.
Le pélerin le plus célèbre fut certainement le roi Louis XI qui vint en pélerinage à Chabris pour obtenir la guérison d’une fièvre de langueur. Ayant été exaucé, Louis XI fit faire une châsse de grand prix et exonéra de la taille (impôt direct) tous les habitants de Chabris par lettres patentes de 1482.
Au XVe siècle, Jean Coeur, archevêque de Bourges et fils de Jacques Coeur Grand Argentier de Charles VII, fera reconstruire l'édifice sur la base d'un premier édifice du XIIe siècle.
En 1572, les huguenots sous la conduite de Coligny, dévastèrent Chabris et son église. Ils auraient vidé le sarcophages de saint Phalier de ses reliques, celui-ci serait donc vide.
À l’extérieur, dans les murs romans de l’abside et du transept, on remarquera des remplois peut-être d'époque carolingienne. On distingue :
Un taureau et un scorpion, ce qui fait supposer qu'il s'agit des signes du zodiaques.
Deux pierres encastrées dans la muraille, dont l'une montre deux figures de moines ou de saints placées entre deux palmes. L'autre pierre, montre trois anges avec des ailes placées derrière leur corps.
Une pierre sur laquelle est sculptées une espéce d'animal ressemblant à une salamandre.
Une pierre taillée représentant un reliquaire tel qu'on les faisait au Ve et VIe siécles.
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Chabris (Indre)
Église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier (XIIe-XVe).
L'église est construite sur une crypte des Xe-XIe siècles autour d'un sarcophage qui a contenu la dépouille de Saint Phalier, ermite du VIe siècle natif de Limoges, qui s’installa sur les rives du Cher à Chabris. La légende lui attribue de nombreux miracles, en particulier le don de rendre la santé aux enfants affectés de maladies de langueur. Ce saint, dont le nom est évocateur, est aussi invoqué pour la multiplication de l'espéce humaine, et, les femmes y feront des pélerinages dans ce but.
Le pélerin le plus célèbre fut certainement le roi Louis XI qui vint en pélerinage à Chabris pour obtenir la guérison d’une fièvre de langueur. Ayant été exaucé, Louis XI fit faire une châsse de grand prix et exonéra de la taille (impôt direct) tous les habitants de Chabris par lettres patentes de 1482.
Au XVe siècle, Jean Coeur, archevêque de Bourges et fils de Jacques Coeur Grand Argentier de Charles VII, fera reconstruire l'édifice sur la base d'un premier édifice du XIIe siècle.
En 1572, les huguenots sous la conduite de Coligny, dévastèrent Chabris et son église. Ils auraient vidé le sarcophages de saint Phalier de ses reliques, celui-ci serait donc vide.
À l’extérieur, dans les murs romans de l’abside et du transept, on remarquera des remplois peut-être d'époque carolingienne. On distingue :
Un taureau et un scorpion, ce qui fait supposer qu'il s'agit des signes du zodiaques.
Deux pierres encastrées dans la muraille, dont l'une montre deux figures de moines ou de saints placées entre deux palmes. L'autre pierre, montre trois anges avec des ailes placées derrière leur corps.
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Chabris (Indre)
Église Saint-Christophe-et-Saint-Phalier (XIIe-XVe).
L'église est construite sur une crypte des Xe-XIe siècles autour d'un sarcophage qui a contenu la dépouille de Saint Phalier, ermite du VIe siècle natif de Limoges, qui s’installa sur les rives du Cher à Chabris. La légende lui attribue de nombreux miracles, en particulier le don de rendre la santé aux enfants affectés de maladies de langueur. Ce saint, dont le nom est évocateur, est aussi invoqué pour la multiplication de l'espéce humaine, et, les femmes y feront des pélerinages dans ce but.
Le pélerin le plus célèbre fut certainement le roi Louis XI qui vint en pélerinage à Chabris pour obtenir la guérison d’une fièvre de langueur. Ayant été exaucé, Louis XI fit faire une châsse de grand prix et exonéra de la taille (impôt direct) tous les habitants de Chabris par lettres patentes de 1482.
Au XVe siècle, Jean Coeur, archevêque de Bourges et fils de Jacques Coeur Grand Argentier de Charles VII, fera reconstruire l'édifice sur la base d'un premier édifice du XIIe siècle.
En 1572, les huguenots sous la conduite de Coligny, dévastèrent Chabris et son église. Ils auraient vidé le sarcophages de saint Phalier de ses reliques, celui-ci serait donc vide.
À l’extérieur, dans les murs romans de l’abside et du transept, on remarquera des remplois peut-être d'époque carolingienne. On distingue :
Un taureau et un scorpion, ce qui fait supposer qu'il s'agit des signes du zodiaques.
Deux pierres encastrées dans la muraille, dont l'une montre deux figures de moines ou de saints placées entre deux palmes. L'autre pierre, montre trois anges avec des ailes placées derrière leur corps.
Une pierre sur laquelle est sculptées une espéce d'animal ressemblant à une salamandre.
Une pierre taillée représentant un reliquaire tel qu'on les faisait au Ve et VIe siécles.
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www.lemaire1957.net/pages/indre-36/chabris/histoire.html
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Chauvigny (Vienne)
Église Saint-Pierre.
Pierre de remploi sur le parapet du chevet.
Relief représentant le Sagittaire sous les traits d’un Centaure (corps de cheval et tête humaine) bandant son arc. Le Sagittaire symbolisant le mois de novembre, on peut supposer qu'il s'agit d'un élément d'une frise représentant les mois de l'année.
Le parapet curviligne du chevet est sous-tendu d'une corniche portée par des modillons sculptés.
vdujardin.com/blog/chauvigny-reliefs-chevet/
Chauvigny (Vienne)
Église Saint-Pierre.
Pierre de remploi du chevet.
Relief représentant saint Pierre (reconnaissable à sa clef). Saint Pierre porte des habits sacerdotaux, la main droite est bénissante, la main gauche porte la clef du Paradis. Saint Pierre est encadré d'un portique avec voussure en plein cintre portée par deux colonnes à chapiteaux feuillés. Les coins supérieurs du portique sont ornés de deux oiseaux. Le portique indique l'entrée du Paradis.
Chauvigny (Vienne)
Église Saint-Pierre.
Pierre de remploi du chevet.
En réalité il y a deux pierres collées.
A gauche, scène de chasse : un lièvre ou un lapin mordu par un chien. On retrouve le même thème sur la frise de Saint-Restitut dans la Drôme.
A droite, la partie gauche de la pierre manque, on ne voit qu'un chien à queue de poisson qui mord quelque chose.