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La Berthenoux (Indre)
Eglise Notre-Dame (Premier quart du XIIe siècle). Modillons extérieurs.
La paroisse possédait deux églises : l’église des « moines », celle que nous connaissons aujourd’hui et l’église « Saint Paterne » située dans le cimetière. Cette dernière fut vendue le 24 août 1793 à Sylvain MIJOUAN maire, celui-ci la démolit vers 1800. Les pierres furent utilisées à la construction d’une maison aux Martinets, d’une ferme aux Ginets et d’une grange au domaine du Bourg.
L’église Notre-Dame fut le siège d’une dépendance assez importante de l’abbaye de Massay (cher) à côté de Vierzon. Les bâtiments du prieuré se trouvaient au sud de l’église, à l’emplacement du domaine qui, aujourd’hui encore, semble s’organiser autour du carré d’un cloître disparu.
La construction a commencé par le sanctuaire, à la fin du XIe siècle ou dans les premières années du XIIe , celle-ci fut menée d’Est en Ouest, sans qu’il soit possible de discerner un arrêt dans les travaux. La façade occidentale, partie la plus récente de l’édifice, fut sans doute achevée dans un laps de temps relativement court.
L’église n’a subi aucune transformation importante depuis l’époque de sa construction. Les archives ne mentionnent, pour les XVIIe et XVIIIe siècles que des travaux d’entretien, et la restauration entreprise par l’architecte Dauvergne à partir de 1878 fut limitée.
Edifice à nef unique avec transept et choeur terminé par une abside circulaire et une absidiole sur chaque bras du transept.
Le clocher carré s'élève sur la croisée de transept.
Le portail est bordé de deux colonnes avec des chapiteaux sculptés. L'astragale, moulure entre le chapiteau et la colonne, est torique et taillée dans le même bloc que le chapiteau, technique utilisée à partir du XIe siècle. Auparavant, l'astragale était partie de la colonne, à l'antique. Au XIIe siècle, l'astragale est uniformément torique et nu. Le portail était muré dans les années 1920, il a été réouvert en 2004.
Le portail est encadré de deux arcatures aveugles. L'ensemble est surmonté de trois fenêtres avec des colonnettes et archivoltes sculptées.
Le pignon est surmonté d'une croix.
La nef initialement couverte d'une charpente est aujourd'hui fermée par une voûte maçonnée.
Le transept est également voûté.
L'abside et les absidioles sont éclairés par des fenêtres ornées, à l'extérieur, de colonnettes aux chapiteaux sculptés.
Voir:
www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/36-Indre/360...
www.mairie-la-berthenoux.fr/tourisme/patrimoine/eglise-no...
La Berthenoux (Indre)
Eglise Notre-Dame (Premier quart du XIIe siècle). Modillons extérieurs.
La paroisse possédait deux églises : l’église des « moines », celle que nous connaissons aujourd’hui et l’église « Saint Paterne » située dans le cimetière. Cette dernière fut vendue le 24 août 1793 à Sylvain MIJOUAN maire, celui-ci la démolit vers 1800. Les pierres furent utilisées à la construction d’une maison aux Martinets, d’une ferme aux Ginets et d’une grange au domaine du Bourg.
L’église Notre-Dame fut le siège d’une dépendance assez importante de l’abbaye de Massay (cher) à côté de Vierzon. Les bâtiments du prieuré se trouvaient au sud de l’église, à l’emplacement du domaine qui, aujourd’hui encore, semble s’organiser autour du carré d’un cloître disparu.
La construction a commencé par le sanctuaire, à la fin du XIe siècle ou dans les premières années du XIIe , celle-ci fut menée d’Est en Ouest, sans qu’il soit possible de discerner un arrêt dans les travaux. La façade occidentale, partie la plus récente de l’édifice, fut sans doute achevée dans un laps de temps relativement court.
L’église n’a subi aucune transformation importante depuis l’époque de sa construction. Les archives ne mentionnent, pour les XVIIe et XVIIIe siècles que des travaux d’entretien, et la restauration entreprise par l’architecte Dauvergne à partir de 1878 fut limitée.
Edifice à nef unique avec transept et choeur terminé par une abside circulaire et une absidiole sur chaque bras du transept.
Le clocher carré s'élève sur la croisée de transept.
Le portail est bordé de deux colonnes avec des chapiteaux sculptés. L'astragale, moulure entre le chapiteau et la colonne, est torique et taillée dans le même bloc que le chapiteau, technique utilisée à partir du XIe siècle. Auparavant, l'astragale était partie de la colonne, à l'antique. Au XIIe siècle, l'astragale est uniformément torique et nu. Le portail était muré dans les années 1920, il a été réouvert en 2004.
Le portail est encadré de deux arcatures aveugles. L'ensemble est surmonté de trois fenêtres avec des colonnettes et archivoltes sculptées.
Le pignon est surmonté d'une croix.
La nef initialement couverte d'une charpente est aujourd'hui fermée par une voûte maçonnée.
Le transept est également voûté.
L'abside et les absidioles sont éclairés par des fenêtres ornées, à l'extérieur, de colonnettes aux chapiteaux sculptés.
Voir:
www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/36-Indre/360...
www.mairie-la-berthenoux.fr/tourisme/patrimoine/eglise-no...
La Berthenoux (Indre)
Eglise Notre-Dame (Premier quart du XIIe siècle). Modillons extérieurs.
La paroisse possédait deux églises : l’église des « moines », celle que nous connaissons aujourd’hui et l’église « Saint Paterne » située dans le cimetière. Cette dernière fut vendue le 24 août 1793 à Sylvain MIJOUAN maire, celui-ci la démolit vers 1800. Les pierres furent utilisées à la construction d’une maison aux Martinets, d’une ferme aux Ginets et d’une grange au domaine du Bourg.
L’église Notre-Dame fut le siège d’une dépendance assez importante de l’abbaye de Massay (cher) à côté de Vierzon. Les bâtiments du prieuré se trouvaient au sud de l’église, à l’emplacement du domaine qui, aujourd’hui encore, semble s’organiser autour du carré d’un cloître disparu.
La construction a commencé par le sanctuaire, à la fin du XIe siècle ou dans les premières années du XIIe , celle-ci fut menée d’Est en Ouest, sans qu’il soit possible de discerner un arrêt dans les travaux. La façade occidentale, partie la plus récente de l’édifice, fut sans doute achevée dans un laps de temps relativement court.
L’église n’a subi aucune transformation importante depuis l’époque de sa construction. Les archives ne mentionnent, pour les XVIIe et XVIIIe siècles que des travaux d’entretien, et la restauration entreprise par l’architecte Dauvergne à partir de 1878 fut limitée.
Edifice à nef unique avec transept et choeur terminé par une abside circulaire et une absidiole sur chaque bras du transept.
Le clocher carré s'élève sur la croisée de transept.
Le portail est bordé de deux colonnes avec des chapiteaux sculptés. L'astragale, moulure entre le chapiteau et la colonne, est torique et taillée dans le même bloc que le chapiteau, technique utilisée à partir du XIe siècle. Auparavant, l'astragale était partie de la colonne, à l'antique. Au XIIe siècle, l'astragale est uniformément torique et nu. Le portail était muré dans les années 1920, il a été réouvert en 2004.
Le portail est encadré de deux arcatures aveugles. L'ensemble est surmonté de trois fenêtres avec des colonnettes et archivoltes sculptées.
Le pignon est surmonté d'une croix.
La nef initialement couverte d'une charpente est aujourd'hui fermée par une voûte maçonnée.
Le transept est également voûté.
L'abside et les absidioles sont éclairés par des fenêtres ornées, à l'extérieur, de colonnettes aux chapiteaux sculptés.
Voir:
www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/36-Indre/360...
www.mairie-la-berthenoux.fr/tourisme/patrimoine/eglise-no...
Frazé (Eure-et-Loir)
Eglise Notre-Dame (XIe - XVIe)
L'église remonte aux XIe et XIIe siècles.
La façade occidentale est décorée d'un portail de style Renaissance, de la fin du XVe siècle, avec arc en anse de panier, surmonté d'une rosace flamboyante.
Au XVIe siècle, un collatéral, composé de quatre travées avec pignons, a été ajouté au sud de l'édifice. Le portail sud, ouvrant sur la seconde travée, de style Renaissance, est composé de deux arcades reposant sur trois caryatides. Le linteau est orné d'une frise ornée de rinceaux encadrant des oiseaux. Les deux anges au centre de la frise tiennent un blason, certainement celui des commanditaires de l'oeuvre : Louis Girard et Madeleine de la Vove, seigneurs de Frazé. Un petit angelot porte la date de 1550, date probable de réalisation du portail.
Sur le pignon de la deuxième travée, on distingue le style d'un cadran solaire, la table graduée ayant disparu.
Statue de Saint-Louis
Bois polychromé vers 1300
En provenance de la chapelle haute de la Sainte Chapelle de Paris.
Peu après la canonisation de Louis IX, Philippe le Bel obtient la translation de la tête de Saint-Louis de Saint-Denis à la Sainte Chapelle. En 1306 le chef-reliquaire réalisé la l'orfèvre Guillaume Julien est placé dans une châsse à l'arrière du maître-autel , au pied de la tribunes des reliques.
Cette statuette, l'une des premières effigies de Saint-Louis, était sans doute placée au sommet du pignon occidental de cette châsse.
Statue of Saint Louis
Polychromed wood circa 1300
From the upper chapel of the Sainte Chapelle in Paris.
Shortly after the canonisation of Louis IX, Philip the Fair obtained the transfer of the head of Saint Louis from Saint-Denis to the Sainte Chapelle. In 1306, the head reliquary made by the goldsmith Guillaume Julien was placed in a shrine behind the high altar, at the foot of the relics gallery.
This statuette, one of the first effigies of Saint Louis, was probably placed at the top of the western gable of this shrine.
Parçay-sur-Vienne (Indre-et-Loire)
Église Saint-Pierre (XIIe, XVIe)
La partie la plus intéressante est la façade occidentale aux influences poitevines évidentes.
La façade ouest s'ouvre par un portail du XIIe siècle, en plein cintre, flanqué de chaque côté de trois colonnettes avec des chapiteaux historiés*.
Les claveaux** des trois voussures du portail sont décorés de masques humains barbus, de rinceaux et palmettes entre des rangs de feuilles,
Les arêtes des voussures sont adoucies par des motifs de dents de loup, de boutons et de cordons perlés.
Le portail, qui peut-être ne comportait pas de tympan, a été diminuée de largeur au XVe siècle, par la construction d'un mur dans lequel on a installé une porte plus étroite.
Au-dessus du portail, la façade présente un petit appareil en forme d'écailles de poisson retournées. Cet appareil est surmonté d'un larmier reposant sur des modillons. Le larmier est surmonté d'un pignon en moyen appareil percé d'une baie cintrée.
Le clocher rectangulaire, situé sur la croisée de transept, comporte un étage-beffroi plus récent, vraisemblablement du XVIe siècle.
L'église paroissiale a été précédée d'un monastère, également sous le patronage de saint Pierre, dont on trouve mention dans un acte, lorsque les biens du monastère de Parçay-sur-Vienne furent détachés pour enrichir Saint-Florent, en 968. L’abbaye Saint-Pierre de Parçay-sur-Vienne, située sur la rive gauche de la Vienne, était intégrée à la viguerie*** de Mougon.
L'église Saint-Pierre est bâtie au XIIe siècle, vers 1130-1150, à côté du monastère Saint-Pierre. L'église devient alors possession de l'abbaye de Méobecq jusqu'en 1674.
L'église est restaurée au XIXe siècle et au XXe siècle.
* Les chapiteaux historiés, c'est à dire qui portent des peintures ou des sculptures, représentant des personnages, animaux ou des scènes qui racontent une histoire, sont une invention de l'art roman. Ils disparaîtront au XIIIe siècle.
** Les claveaux sont les pierres taillées en forme de coin pour réaliser les voûtes.
*** Il s'agissait de subdivisions administratives du Haut Moyen-Âge, intermédiaires entre le pagus et la villa. La "villa" appartenait à une (ou plusieurs) "condita" ou "vicaria" (vicaria à partir de 840), la vicaria (traduit par viguerie), appartenait à un ou plusieurs "pagus". Les "vicariae" apparaissent donc comme des pôles d’habitat à la tête d’un territoire.
fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Saint-Pierre_(Par%C3%A7ay-sur-Vienne)
www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00097907
a2t.univ-tours.fr/notice.php?id=17&menu=Texte
Blois (Loir-et-Cher)
« Baleines » de Richard Stobienia.
L’exposition, dans les jardins de l’évêché, présente trois sculptures en bois d’une longueur de 4 mètres pour un poids d’environ 550 kilos, représentant un cachalot, une baleine à bosse et une baleine bleue.
En plus d'être sculpteur, Richard Stobienia parcourt, avec sa femme Marie, les marchés de la région où il vend ses pains bio.
👉 Wikipedia DE (ehem. Pommersche Provinzialbank)
Sur le socle de la statue (non visible sur la photo) est gravé dans le marbre noir le testament de Louis XVI.
Œuvre offerte par la duchesse d'Angoulême fille aînée de Louis XVI et Marie-Antoinette seule rescapée de la terreur.
Les deux soubassements furent offert par la duchesse d'Angoulême en 1834/35.
On the base of the statue (not visible on the photo) is engraved in black marble the will of Louis XVI.
This work was offered by the Duchess of Angoulême, the eldest daughter of Louis XVI and Marie-Antoinette, the only survivor of the Terror.
The two bases were donated by the Duchess of Angouleme in 1834/35.
Sur le piédestal sur la plaque en marbre noir la dernière lettre de Marie-Antoinette à madame Elisabeth, future duchesse
d'Angoulême, fille aimée de Louis XVI et Marie-Antoinette, seule ,rescapée de la Terreur.
Les deux soubassements furent offert par la duchesse d'Angoulême en 1834/35.
On the pedestal on the black marble plaque the last letter of Marie-Antoinette to Madame Elisabeth, the future Duchess of Angoulême, daughter of Louis XVI and Marie-Antoinette, the only survivor of the Terror.
d'Angoulême, beloved daughter of Louis XVI and Marie-Antoinette, the only survivor of the Terror.
The two bases were donated by the Duchess of Angouleme in 1834/35.
À l'intérieur, trois voûtes, en cul de four à caissons et éclairés par un oculus dans leur partie supérieure, contrebutent la coupole centrale également à caissons et ajourée, reposant sur des pendentifs. L’éclairage zénithal est naturel, seulement dispensé par les oculus des voûtes.
Quatre compositions religieuses : la Passion du Christ, l'Eucharistie, la Trinité, les Tables de la Loi ainsi qu'un tympan au dessus de l'entrée représentant la translation des ossements à Saint-Denis composent le programme décoratif imaginé par Francois-Antoine Gérard.
Inside, three vaults, in the bottom of a coffered oven and lit by an oculus in their upper part, buttress the central dome, also coffered and openwork, resting on pendentives. The zenithal lighting is natural, only provided by the oculus of the vaults.
Four religious compositions: the Passion of Christ, the Eucharist, the Trinity, the Tables of the Law as well as a tympanum above the entrance representing the translation of the bones to Saint-Denis make up the decorative program imagined by Francois-Antoine Gerard.
Groupe en marbre commandé par l'état en 1888 et taillé par Jean Turcan et d'autres assistant. Livré à l'état en 1898.
Présenté en 1901 au musée du Luxembourg. Déposé en 1918.
Marble group commissioned by the state in 1888 and carved by Jean Turcan and other assistants. Delivered to the state in 1898.
Presented in 1901 at the Musée du Luxembourg. Deposited in 1918.