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Curçay-sur-Dive (Vienne).
Vestiges de l'ancienne église Saint-Pierre (XIIe, XIIe, XVIIe siècles)
Le clocher carré est du XIIe siècle.
La nef et le pignon d'entrée ont été reconstruit au XIIIe siècle.
L'abside rectangulaire est du XVIIe siècle.
La porte de la façade occidentale à trois voussures est encadrée de colonnes engagées, avec une statue à droite (un
Saint Pierre ou un évêque?), et un groupe de trois personnages sculptés à gauche.
La nef était couverte de charpente.
Le clocher carré, au sud, est agrémenté de grandes arcatures et d'un logement des cloches ajourés de baies en plein cintre sur trois côtés.
Il y avait à Curçay deux églises paroissiales Saint Gervais et Saint-Pierre, qui relevaient du chapitre de Saint-Martin de Tours.
L’église Saint-Gervais est sur la colline qui domine le vallon de la Dive, c'est l'ancielle chapelle castrale.
L’église Saint-Pierre, maintenant ruinée, est dans la vallée, avec le cimetière à son côté sud.
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Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire).
Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».
La nef vue vers la façade occidentale.
La nef menant du IXe siècle. C'est une des rares édifices bien conservés de l'architecture religieuse carolingienne.
La nef est couverte en charpente avec bardeaux qui ont été refaits probablement au XVème siècle.
La façade occidentale a été reconstruite au XIIème siècle.
L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.
Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.
La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.
Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.
L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce monument.
Le martyr de Saint-Léger.
Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.
En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.
Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.
Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.
À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.
Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.
Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.
Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire).
Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».
La nef menant au chœur date du IXe siècle. C'est une des rares édifices bien conservés de l'architecture religieuse carolingienne.
Le chœur et son abside sont du XIIe siècle.
La chapelle Notre Dame, occupant le transept sud est du XVe.
L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.
Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.
La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.
Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.
L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce monument.
Le martyr de Saint-Léger.
Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.
En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.
Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.
Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.
À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.
Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.
Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.
Cravant-les-Côteaux (Indre-et-Loire).
Eglise Saint-Léger, « sanctuaire carolingien ».
La nef menant au chœur date du IXe siècle. C'est une des rares édifices bien conservés de l'architecture religieuse carolingienne.
Le chœur et son abside sont du XIIe siècle.
La chapelle Notre Dame, occupant le transept sud est du XVe.
L’église Saint-Léger est désignée comme un « sanctuaire carolingien » en raison de sa nef du IXe siècle qui fût érigée sur un temple mérovingien du VIIe siècle, dédié à la mémoire de Léger, ancien évêque d’Autun en Bourgogne.
Le sanctuaire carolingien de Cravant-les-Côteaux figure parmi les monuments les plus anciens de France.
La nef du IXe siècle, présente un plan basilical. Le chœur et son abside sont du XIIe siècle. La chapelle gothique du XVe siècle occupe le transept sud. Certaines de ses parties remontant au IXe siècle sont construites sur des restes du VIIe.
Le site est un exemple de transition de l’architecture du Haut Moyen-âge au Moyen-âge roman, puis au Bas Moyen-âge.
L'église est désaffectée au XIXe siècle à l’occasion du déplacement du bourg, et mise aux enchères le 8 janvier 1865. Elle est acquise par la Société Archéologique de France qui la revend en 1933, pour cent Francs, aux Amis du Vieux Cravant. L’Association est encore à ce jour propriétaire de ce monument.
Le martyr de Saint-Léger.
Ancien évêque d’Autun, Léger fut assassiné dans le bois de Sarcin (forêt de Lucheux) le 2 octobre 678 sur ordre du maire du palais du royaume mérovingien de Neustrie, Ebroïn.
En 673, le maire du palais de Neustrie, Ebroïn parvient à placer sur le trône le troisième fils de Clovis II, Thierry III.
Emmenés par Léger, les puissants du royaume, furieux de n’avoir été consultés, s’en remettent à Childéric II, second fils de Clovis II, qui prend le contrôle de la Neustrie.
Ebroïn est alors enfermé dans un monastère des Vosges, alors que Léger devient le conseiller principal du nouveau roi.
À la mort de Childéric II, Ebroïn s’échappe de sa prison et fait rétablir Thierry III sur le trône.
Pour se venger de Léger, Ebroïn lui fait arracher les yeux et la langue et couper les lèvres. Deux ans plus tard, en 678, il le fait décapiter dans le bois de Sarcin.
Un concile d'évêques proclame la sainteté du martyr, peut-être à Marly-le-Roi, lors de la fête de Pâques en 681.