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De style brutaliste, l'édifice Domtar a été construit en 1968. Je n'ai toutefois pas trouvé qui en est l'architecte. Personnellement, j'aime beaucoup ce genre de fenêtre. Pour les amateurs de numérologie, il y en a 156 par façade pour un grand total de 624. Le rez-de-chaussé a été "rénové" en 1997 par la firme Broccolini.
Par ailleurs, il n'est malheureusement plus possible de photographier l'édifice sous cet angle. En effet, le Jardin Domtar, d'où a été prise ma photo, a été remplacé par une tour de condominiums.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
Ce bas-relief sans titre de Claude Théberge (1934-2008) a été réalisé en 1966. L’œuvre est faite de béton peint qui a été coulé d’une seule pièce. À l’origine, la sculpture avait été commandée par la Banque de Montréal. Le but était d’enjoliver un soupirail et de cacher la voie de service de l’édifice. Ces dernières années, on l’avait barricadée afin de la protéger des travaux de construction de l’immeuble voisin.
Par ailleurs, sur la seconde photo, vous constaterez que certains éléments du mobilier urbain ne contribuent pas à mettre en valeur l’œuvre de Théberge. A-t-on vraiment besoin de délimiter avec des clôtures une terrasse fantôme? La troisième photo quant à elle nous montre le côté « soupirail » afin de mieux comprendre de quel type d’intégration artistique il s’agit.
Finalement, vous pouvez admirer ce bas-relief moderne sur le boulevard de Maisonneuve Ouest, à quelques pas de la sortie du métro Guy-Concordia.
J’aime beaucoup l’édifice Yale au centre-ville de Montréal. Lorsqu’on arrive au coin de la rue Peel et du boulevard De Maisonneuve Ouest, et qu’on regarde ses belles fenêtres en arches, on se croirait presqu’en 1964, année de sa construction. J’ai bien dit « presqu’en 1964 », car le voyage dans le temps s’arrête net quand le post-modernisme rose nous ramène en… 1987. On commence à peine à s’en remettre.