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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Ancienne abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

Retable.

Retable en bois polychromé et doré du XVIIème siècle.
Le retable, décor sculpté ou peint, placé à l'arrière de l'autel, est un élément essentiel de la décoration intérieure de l'église aux XVIIème et XVIIIème siècles. Inspiré de modèles architecturaux, le choix de la statutaire, de la décoration, de la peinture et de la dorure donne un caractère original à chacun.

Sous l'autel, une châsse-reliquaire contient le corps de la dépouille de saint Honorius, martyr. Il provient de la paroisse de la Chapelle-Blanche-saint-Martin, dont le curé avait obtenu du pape l'autorisation de ramener le corps après un voyage qu'il avait effectué à Rome au début du XIXème siècle. Le certificat placé sur la châsse confirme le don de la Chapelle, fait en 1833, par Monseigneur de Montblanc, archevêque de Tours.


www.wivisites.com/eguide_player?project_id=6e2af0af-a137-...

www.patrimoine-histoire.fr/P_Centre/Loches/Beaulieu-les-L...

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Ancienne abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

Retable.

Retable en bois polychromé et doré du XVIIème siècle.
Le retable, décor sculpté ou peint, placé à l'arrière de l'autel, est un élément essentiel de la décoration intérieure de l'église aux XVIIème et XVIIIème siècles. Inspiré de modèles architecturaux, le choix de la statutaire, de la décoration, de la peinture et de la dorure donne un caractère original à chacun.

Sous l'autel, une châsse-reliquaire contient le corps de la dépouille de saint Honorius, martyr. Il provient de la paroisse de la Chapelle-Blanche-saint-Martin, dont le curé avait obtenu du pape l'autorisation de ramener le corps après un voyage qu'il avait effectué à Rome au début du XIXème siècle. Le certificat placé sur la châsse confirme le don de la Chapelle, fait en 1833, par Monseigneur de Montblanc, archevêque de Tours.


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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Ancienne abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

Retable.

Retable en bois polychromé et doré du XVIIème siècle.
Le retable, décor sculpté ou peint, placé à l'arrière de l'autel, est un élément essentiel de la décoration intérieure de l'église aux XVIIème et XVIIIème siècles. Inspiré de modèles architecturaux, le choix de la statutaire, de la décoration, de la peinture et de la dorure donne un caractère original à chacun.

Sous l'autel, une châsse-reliquaire contient le corps de la dépouille de saint Honorius, martyr. Il provient de la paroisse de la Chapelle-Blanche-saint-Martin, dont le curé avait obtenu du pape l'autorisation de ramener le corps après un voyage qu'il avait effectué à Rome au début du XIXème siècle. Le certificat placé sur la châsse confirme le don de la Chapelle, fait en 1833, par Monseigneur de Montblanc, archevêque de Tours.


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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)

Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire)


Ancienne abbatiale Saint-Pierre-Saint-Paul de Beaulieu-lès-Loches.

Retable.

Retable en bois polychromé et doré du XVIIème siècle.
Le retable, décor sculpté ou peint, placé à l'arrière de l'autel, est un élément essentiel de la décoration intérieure de l'église aux XVIIème et XVIIIème siècles. Inspiré de modèles architecturaux, le choix de la statutaire, de la décoration, de la peinture et de la dorure donne un caractère original à chacun.

Sous l'autel, une châsse-reliquaire contient le corps de la dépouille de saint Honorius, martyr. Il provient de la paroisse de la Chapelle-Blanche-saint-Martin, dont le curé avait obtenu du pape l'autorisation de ramener le corps après un voyage qu'il avait effectué à Rome au début du XIXème siècle. Le certificat placé sur la châsse confirme le don de la Chapelle, fait en 1833, par Monseigneur de Montblanc, archevêque de Tours.


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Châteaumeillant (Cher) by sybarite48

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Châteaumeillant (Cher)

Châteaumeillant (Cher).


Eglise Saint-Genès.


Reliquaire (châsse). Milieu du XXe siècle. Robert Bariot.
Laiton; émail; verre; décor repoussé et ciselé.


Robert Barriot né à Châteauroux le 22 juillet 1898 et mort à Chezal-Benoît le 1er juillet 1970 est un peintre, émailleur et sculpteur français.

C'est dans !e domaine du métal repoussé, et sur des plaques de dimensions encore aujourd'hui très impressionnantes, qu'il exercera son double talent de dinandier et d'émailleur.

Robert Barriot était un homme de courage qui a mis sont talent au service de la résistance, en réalisant de faux papiers tels que des laisser passer et des documents officiels.

www.passionceramique.com/emaux.php?info_id=22

Vézelay (Yonne) by sybarite48

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Vézelay (Yonne)

Vézelay (Yonne)


Reliquaire de Marie-Madeleine.

La présence des reliques de Marie-Madeleine à Vézelay, attire depuis presque un millénaire des personnes de tout horizon.

Ces reliques auraient été, soit ramenées d'Arles par Girart de Roussillon*, soit dérobée à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, en Provence, par un moine nommé Badilon**.

La dévotion à Marie-Madeleine, dont les reliques sont déposées à l'abbaye, apparaît sous l'abbé Geoffroy élu en 1037. Ce culte attire de nombreux pélerins après que l'abbé Geoffroy eut obtenu confirmation de l'authenticité des reliques en 1050.

Ce culte attire de nombreux pélerins, et Vézelay devient une étape sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, .

L'afflux des pèlerins qui permet le développement du commerce, la renommée des grandes foires, le vignoble, l'installation de changeurs, font la fortune de la communauté de Vézelay. Cette richesse de la communauté entraîna de nombreuses jalousies : Des habitants du bourg dont les abbés exigeait argent et soumission, du comte de Nevers et de l'évêque d'Autun jaloux de l'indépendance de l'abbaye. Ce dernier, en 1098, jeta l'interdit sur les pélerinages, interdit qui fut levé cinq ans plus tard par le Pape.

Le 22 juillet 1120, un gigantesque incendie détruisit ce qui restait de la nef carolingienne primitive. La Chronique d’Hugues de Poitiers rapporte qu’en 1164-1165 furent découvertes de nombreuses reliques dans une statue de la vierge, sauvée de l’incendie des boiseries situées au-dessus du sépulcre de Marie-Madeleine. La statue aurait été protégée de l’incendie car elle était placée dans la niche occidentale de la crypte, et les éléments incendiés n’ont concerné que la partie de crypte-halle à colonnes et architraves de bois.

La rivalité des moines de Saint-Maximin, qui mettaient en doute l'authenticité des reliques, ouvrait la voie à la décadence de Vézelay. Malgré le soutien de Saint-Louis, qui allait authentifier les reliques et offrir des reliquaires à l'abbaye en 1267, et les protections de Philippe le Hardi, puis de Philippe le Bel, une bulle pontificale, en 1295, confirme l'authenticité des reliques de Saint-Maximin et non de celles de Vézelay.

Le rôle de Vézelay s'effaça et Vézelay devint un terrain propice aux thèses de la Réforme.

Le XIXe siècle vit le développement de vastes travaux de restauration, sous la direction de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc et à l'initiative de Prosper Mérimée, inspecteur des Monuments historiques.

En 1870 et 1876, le don de nouvelles reliques de Marie-Madeleine à l'église de Vézelay entraîna un relatif renouveau des pèlerinages. Le 23 juillet 1876, Victor-Félix Bernadou, archevêque de Sens, remet des reliques de sainte Marie Madeleine remises par le pape Martin IV et conservées au trésor de la cathédrale de Sens depuis 1281.

Enfin, en 1920, le Saint-Siège érigea l'église en basilique.


* Girart de Roussillon, comte de Paris, administrait plusieurs territoires bourguignons au début du IXe siècle. Selon le chroniqueur
belge Sigebert de Gembloux, après la lapidation d'Etienne (entre 29 et 36 à Jérusalem), premier martyr chrétien, Maximin, l'un des soixante-dix disciples du Christ, partit pour la Gaule avec sainte Marie Madeleine. Il l'enterra près de la ville d'Aix dont il était l'évêque. Lorsque la ville fut pillée par les Sarrasins, Girart, comte de Bourgogne, transféra le corps saint à Vézelay, dans l'abbaye qu'il venait de fonder. mais il semble bien que Girart n'eut jamais à faire aux Sarrasins.

** Badilon (Saint Badilon), fut moine à Vézelay, puis premier abbé de Leuze en Hainault au IXe siècle. Selon certaines chroniques, il aurait amené le corps de la sainte directement de Jérusalem.

Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire)

Le Grand-Pressigny (Indre-et-Loire)


Eglise Saint-Gervais-Saint-Protais (XIIe au XVIIe siècles).

L''église actuelle a été construite dans la seconde moitié du XIIe siècle, sur un plan en croix latine, à l'emplacemen d'une église antérieure probablemnt du VIe siècle*.

Le choeur et les trois travées qui le précèdent sont du XIIe siècle.

La nef et le bas-côté nord sont du XIVe siècle. Le clocher a été reconstruit dans la seconde moitié du XVe siècle. Le clocher-beffroi a été surmonté d'une flèche, en charpente, par le charpentier Jacques Poitou, au XVIIe siècle (1636), sur commande du baron du Grand-Pressigny, Pierre Brulart de Sillery.

A la veille du premier conflit mondial, le choeur est restauré dans son état d'origine.

L'abside a été modifiée au début du XXe siècle.


Une fresque murale de 1619, qui serait de Jean du Hey, représentant l'Assomption a été abimée pendant une rénovation.

L'église présente un ostensoir de 1886 que l'on doit aux orfèvres Louis et Arthur Demarquet, un calice de 1846 de l'orfèvre Pierre Henry Favier, et une châsse marquée de l'alpha et l'oméga (le principe et la fin, le premier et le dernier...)

Cinq-Mars-La-Pile est un des six endroits dans le département où l'on peut voir une relique de saint Martin.(Eglise du Grand Pressigny, Eglise de Tournon-Saint-Pierre, Musée des Amis du Vieux Chinon, Eglise de Cinq-Mars-la-Pile, Basilique Saint-Martin, Cathédrale de Tours).


* Dans la "Vie de saint Nicet", Grégoire de Tour (538 - 594), fait mention d'une église dédiée à saint Nicet ou Nizier, dans un "vicus Prisciniacus", qui pourrait être le Grand-Pressigny, et à laquelle il donne des reliques de saint Nicet.


www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA37001203

Bellac (Haute-Vienne) by sybarite48

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Bellac (Haute-Vienne)

Bellac (Haute-Vienne)


Eglise de l'Assomption de la Très Sainte-Vierge.

Petit reliquaire en cuivre : ajouré, doré, repoussé, peinture à l'émail

La face du reliquaire comportant l'ouverture est décorée dans les angles de trèfles composés chacun par trois jours circulaires. La plaque coulissan- te est décorée d'un quadrilobe. L'autre face du reliquaire est repercée de cinq quadrilobes (un dans chaque angle et un au centre). Le Christ en croix porte une couronne d'épines verte, les carnations sont blanchâtres-, les côtes sont figurées ainsi que la blessure, rougie, les yeux peints sont noirs, le perizonium est bleu marine avec filet doré.

Le reliquaire, qui pourrait avoir été portatif, date du 14e siècle. La petite figure d'applique placée à l'intérieur, représentant le Christ en croix, date du 17e ou du 18e siècle : elle remplace le contenu d'origine, disparu.


www.pop.culture.gouv.fr/notice/palissy/PM87000026

Bellac (Haute-Vienne) by sybarite48

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Bellac (Haute-Vienne)

Bellac (Haute-Vienne)


Eglise Notre-Dame de Bellac (de l'Assomption-de-la-Très-sainte-Vierge).

Châsse émaillée dorée (Atelier hispano-limousin, vers 1120-1130).


Cette châsse est le plus ancien reliquaire en forme de sarcophage connu et le premier objet attribuable aux ateliers de limoges ou en tout cas hispano-aquitains. Il s'agit d'un exemple unique sans postérité.

La châsse, qui se présente sous forme d'une maisonnette au toit en bâtière (avec deux versants), est décorée de douze médaillons bombés de cuivre champlevé*, émaillé, avec une iconographie d'inspiration évangélique représentant le Christ, les quatre évangélistes, la Vierge et l'Agneau...

Au revers, seuls les médaillons du toit subsistent.

La face apparente est ornée de six médaillons bombés. Le Christ est identifié par une inscription à la circonférence : IESUS SUTSIPX, le nom XPISTUS ayant été inversé par l'orfèvre. Il est encadré par le Taureau et un griffon en lieu et place de l'Aigle, symboles des évangélistes Luc et Jean.

Sur le toit, l'Agneau Pascal entre l'Ange et le Lion (pour Matthieu et Marc).

Les médaillons sont séparés par des rangées de pierres fines taillées, du verre et des intailles antiques montées en cabochon.

Ce reliquaire fut peut-être exécuté pour la Chapelle des comtes de la Marche dans le château de bellac. La chapelle dépendait de l'église Saint-Sauveur, aujourd'hui église paroissiale de l'Assomption-de-la-Très-sainte-Vierge.

(Voir panneau sur le site).


* Cuivre champlevé : Le cuivre est creusé au burin pour y déposer l'émail.

Bellac (Haute-Vienne) by sybarite48

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Bellac (Haute-Vienne)

Bellac (Haute-Vienne)


Eglise Notre-Dame de Bellac (de l'Assomption-de-la-Très-sainte-Vierge).

Châsse émaillée dorée (Atelier hispano-limousin, vers 1120-1130).


Cette châsse est le plus ancien reliquaire en forme de sarcophage connu et le premier objet attribuable aux ateliers de limoges ou en tout cas hispano-aquitains. Il s'agit d'un exemple unique sans postérité.

La châsse, qui se présente sous forme d'une maisonnette au toit en bâtière (avec deux versants), est décorée de douze médaillons bombés de cuivre champlevé*, émaillé, avec une iconographie d'inspiration évangélique représentant le Christ, les quatre évangélistes, la Vierge et l'Agneau...

Au revers, seuls les médaillons du toit subsistent.

La face apparente est ornée de six médaillons bombés. Le Christ est identifié par une inscription à la circonférence : IESUS SUTSIPX, le nom XPISTUS ayant été inversé par l'orfèvre. Il est encadré par le Taureau et un griffon en lieu et place de l'Aigle, symboles des évangélistes Luc et Jean.

Sur le toit, l'Agneau Pascal entre l'Ange et le Lion (pour Matthieu et Marc).

Les médaillons sont séparés par des rangées de pierres fines taillées, du verre et des intailles antiques montées en cabochon.

Ce reliquaire fut peut-être exécuté pour la Chapelle des comtes de la Marche dans le château de bellac. La chapelle dépendait de l'église Saint-Sauveur, aujourd'hui église paroissiale de l'Assomption-de-la-Très-sainte-Vierge.

(Voir panneau sur le site).


* Cuivre champlevé : Le cuivre est creusé au burin pour y déposer l'émail.

Montlivault (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montlivault (Loir-et-Cher)

Montlivault (Loir-et-Cher)


Le Voûte du château (Début XVIIe siècle)

La Voûte établit la communication entre les deux parties du parc du château. Ce pont permettait aux propritétaires du château de se rendre directement au vivier à poissons et au lavoir. Richelieu aurait emprunté cette voie pendant son séjour au château, en 1628, lors de son retour du siège de La Rochelle.


The Château's Archeway.

The archeway provides a passageway above the road between thre two halves of the château's park. It was used as a bridge to enable the ownersof Château de Montlivault to travel directly to the fishpond where thez kept their fish and the estate's wash-house. In 1628, Richelieu who it said to have stayed at this château on his return from the siege of La Rochelle might have walked on this path.

Bléré (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Bléré (Indre-et-Loire)

Bléré (Indre-et-Loire)


Pont de pierre avec arc en anse de panier.

Il est probable que ce pont permettait le franchissement d'un bief alimentant un moulin.

Montlivault (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montlivault (Loir-et-Cher)

Montlivault (Loir-et-Cher)


Le Voûte du château (Début XVIIe siècle)

La Voûte établit la communication entre les deux parties du parc du château. Ce pont permettait aux propritétaires du château de se rendre directement au vivier à poissons et au lavoir. Richelieu aurait emprunté cette voie pendant son séjour au château, en 1628, lors de son retour du siège de La Rochelle.


The Château's Archeway.

The archeway provides a passageway above the road between thre two halves of the château's park. It was used as a bridge to enable the ownersof Château de Montlivault to travel directly to the fishpond where thez kept their fish and the estate's wash-house. In 1628, Richelieu who it said to have stayed at this château on his return from the siege of La Rochelle might have walked on this path.

Montlivault (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montlivault (Loir-et-Cher)

Montlivault (Loir-et-Cher)


Le Voûte du château (Début XVIIe siècle)

La Voûte établit la communication entre les deux parties du parc du château. Ce pont permettait aux propritétaires du château de se rendre directement au vivier à poissons et au lavoir. Richelieu aurait emprunté cette voie pendant son séjour au château, en 1628, lors de son retour du siège de La Rochelle.


The Château's Archeway.

The archeway provides a passageway above the road between thre two halves of the château's park. It was used as a bridge to enable the ownersof Château de Montlivault to travel directly to the fishpond where thez kept their fish and the estate's wash-house. In 1628, Richelieu who it said to have stayed at this château on his return from the siege of La Rochelle might have walked on this path.

Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)

Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)


Porte Bonne-Nouvelle du XIIIe siècle.

La porte Bonne-Nouvelle permettait l'accès au faubourg oriental Bonne-Nouvelle.

On montait au premier étage, qui était éclairé par une grande baie côté ville, par un escalier à vis pris dans l'épaisseur du mur.

Le château et l'abbaye étaient pris entre cette porte et la porte d'En-Bas.

La porte Bonne-Nouvelle, contrairement aus autres portes, était protégée par une fortification avancée vers la RD 976. La porte de Vierzon, détruite sous Napoléon III, permettait de franchir cette première ligne de défense.

L'appartement de la prieure se trouvait dans l'angle formé par la tour ronde et la porte Bonne-Nouvelle.

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Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)

Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)


Porte Bonne-Nouvelle du XIIIe siècle.

La porte Bonne-Nouvelle permettait l'accès au faubourg oriental Bonne-Nouvelle.

On montait au premier étage, qui était éclairé par une grande baie côté ville, par un escalier à vis pris dans l'épaisseur du mur.

Le château et l'abbaye étaient pris entre cette porte et la porte d'En-Bas.

La porte Bonne-Nouvelle, contrairement aus autres portes, était protégée par une fortification avancée vers la RD 976. La porte de Vierzon, détruite sous Napoléon III, permettait de franchir cette première ligne de défense.

L'appartement de la prieure se trouvait dans l'angle formé par la tour ronde et la porte Bonne-Nouvelle.

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