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Thouars (Deux-Sèvres) by sybarite48

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Thouars (Deux-Sèvres)

Thouars (Deux-Sèvres).


Porte Maillot.

Cette porte fortifiée construite au XVe siècle protégeait le pont Saint-Jean (actuel Pont des Chouans), entrée sud de la cité médiévale.

La muraille de la cité, construite au XIIe siècle, a été adaptée aux armes à feu au XVe siècle.

Thouars (Deux-Sèvres) by sybarite48

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Thouars (Deux-Sèvres)

Thouars (Deux-Sèvres).


Porte Maillot.

Cette porte fortifiée construite au XVe siècle protégeait le pont Saint-Jean (actuel Pont des Chouans), entrée sud de la cité médiévale.

La muraille de la cité, construite au XIIe siècle, a été adaptée aux armes à feu au XVe siècle.

Thouars (Deux-Sèvres) by sybarite48

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Thouars (Deux-Sèvres)

Thouars (Deux-Sèvres).


Porte Maillot.

Cette porte fortifiée construite au XVe siècle protégeait le pont Saint-Jean (actuel Pont des Chouans), entrée sud de la cité médiévale.

La muraille de la cité, construite au XIIe siècle, a été adaptée aux armes à feu au XVe siècle.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


Porte Picoys (Picois).


La Porte Picoys ,est couronnée de mâchicoulis. Elle a la forme d'une tour rectangulaire avec porte cochère et pont-levis .

La porte Picois est construite au XVe siècle dans la partie nord dr l'enceinte médiévale.

Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)

Mennetou-sur-Cher (Loir-et-Cher)


Porte Bonne-Nouvelle du XIIIe siècle.

La porte Bonne-Nouvelle permettait l'accès au faubourg oriental Bonne-Nouvelle.

On montait au premier étage, qui était éclairé par une grande baie côté ville, par un escalier à vis pris dans l'épaisseur du mur.

Le château et l'abbaye étaient pris entre cette porte et la porte d'En-Bas.

La porte Bonne-Nouvelle, contrairement aux autres portes, était protégée par une fortification avancée vers la RD 976. La porte de Vierzon, détruite sous Napoléon III, permettait de franchir cette première ligne de défense.

L'appartement de la prieure se trouvait dans l'angle formé par la tour ronde et la porte Bonne-Nouvelle.


Plusieurs scènes du feuilleton télévisé Thierry la Fronde seront tournées à Mennetou. Le créateur de Thierry la Fronde, Claude Breitman alias Jean-Claude Deret, habitait Mennetou-sur-Cher. Thierry la Fronde, sera incarné à l’écran par Jean-Claude Drouot de 1963 à 1966.

Claude Breitman, est le père de l'actrice, réalisatrice et metteuse en scène Zabou Breitman.


www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i04289392/generique-de-...

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


La porte du Picois et l'Hôtel de ville.


La porte Picois, porte nord de l'enceinte médiévale de la ville, est construite au XVe siècle. Elle était l'accés à la ville pour les personnes venant de Tours . La porte Picois est la deuxième des portes de défense de la ville basse conservées.


François Ier autorise les Lochois à élever cet hôtel de ville en 1519. Les bourgeois de la ville commence sa construction en 1535. L'emplacement est fixé , par lettres patentes, contre la tour de la porte du Picois. Les trois lucarnes au niveau du toit sont décorées des armoiries de la ville et de la salamandre couronnée, emblème de François Ier.

Par la suite, en 1560, Charles IX donnera à Loches l'autorisation de choisir un maire et trois échevins, avec une élection tous les ans.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

La citadelle. La seconde enceinte .

La porte à pont-levis à été percée dans la première moitié du XVIe siècle. La baie en plein cintre est surmontée d'un écu. Les rainures permettant le passage des flèches du pont-levis subsistent encore. Le tablier du pont-levis s'abattait sur un pilier de pierre assis sur le fond du fossé et était prolongé par un pont dormant . Cette porte fut bouchée dans le dernier quart du XVIe siècle, puis rouverte dans le premier tiers du XVIIe siècle.

Marie de Médicis aurait emprunté cette porte, lorsque, évadée de Blois, elle quitta Loches pour gagner Angoulême en compagnie du duc d'Épernon.*


* Louis XIII met fin à la Régence de Marie de Médicis par une sorte de coup d'État contre sa mère en 1617. Marie de Médicis est envoyée en résidence surveillée au château de Blois. Deux ans plus tard, dans la nuit du 21 au 22 février 1619, elle s'en évade de façon rocambolesque et et fomente une révolte. Des prises d'armes se succèdent. En 1620, elles s'achèvent par la victoire royale (Jean-Marie Constant - Historia - Février 2018).


Héliot Pierre, Deyres Marcel. Le château de Loches. In: Bulletin Monumental, tome 145, n°1, année 1987. pp. 15-85.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


Rue Picois.

En fond, la porte Picois.

La légende raconte que les oies y piquaient les grains qui restaient de la place du Marché-au-blé à côté, d'où le nom. cepndant, il est plus probable que la rue porte le nom d'une famille Picois (Picoys) qui y vivait au XIIIe siècle. Au Moyen Âge, le "picois" était aussi une sorte de pioche ou de pic. Les marteaux d'armes pouvait avoir une face de la tête du marteau pointue : Les marteaux-picois.

La Roche-Posay (Vienne) by sybarite48

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La Roche-Posay (Vienne)

La Roche-Posay (Vienne)


La Porte de ville (XIIème -XIIIsiècles).

Ou Porte de Bourbon, elle permettait l’entrée dans la cité fortifiée.
Elle était intégrée dans le rempart, flanquée de deux tours, la porte Bourbon est surmontée d’un mâchicoulis la défendant.

Des deux autres portes, l’une au Sud, la porte de Guyenne, l’autre au Nord, la porte Saint Louis, il ne reste aucune trace.


Le bâtiment sur la gauche est un ancien hôtel (Hôtel Le Castel).

La Roche-Posay (Vienne) by sybarite48

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La Roche-Posay (Vienne)

La Roche-Posay (Vienne)


La Porte de ville (XIIème -XIIIsiècles).

Ou Porte de Bourbon, elle permettait l’entrée dans la cité fortifiée.
Elle était intégrée dans le rempart, flanquée de deux tours, la porte Bourbon est surmontée d’un mâchicoulis la défendant.

Des deux autres portes, l’une au Sud, la porte de Guyenne, l’autre au Nord, la porte Saint Louis, il ne reste aucune trace.

La Roche-Posay (Vienne) by sybarite48

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La Roche-Posay (Vienne)

La Roche-Posay (Vienne)


La Porte de ville (XIIème -XIIIsiècles).

Ou Porte de Bourbon, elle permettait l’entrée dans la cité fortifiée.
Elle était intégrée dans le rempart, flanquée de deux tours, la porte Bourbon est surmontée d’un mâchicoulis la défendant.

Des deux autres portes, l’une au Sud, la porte de Guyenne, l’autre au Nord, la porte Saint Louis, il ne reste aucune trace.

Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne) by sybarite48

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Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)

Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)


L’ancienne Porte du guichet , qui abritait l'ancien pont-levis nord, défendu par sa tour, puis par un ravelin (plateforme d'artillerie).


La cité de Sainte-Suzanne.


Le château de Sainte-Suzanne occupe un éperon rocheux dominant la vallée de l'Erve.

Le site a été occupé par la tribu gauloise des Arviens qui adonné son nom à la rivière l'Erve.

Le château du Moyen Âge a été construit sur une structure préexistante remontant à l'époque gallo-romaine.

Le donjon quadrangulaire du XIe siècle est construit par les vicomtes de Beaumont-au-Maine, Fresnay et Sainte-Suzanne. Il est protégé par des tours rondes. Une grosse tour ronde du XIIIe siècle, la tour Farinière, double le donjon.

Le site est surtout connu depuis le siège infructueux de Guillaume le Conquérant de 1083 à 1086. Malgré un siège de trois ans, Guillaume ne parvint jamais à prendre la Cité à Hubert II vicomte de Beaumont, ce qui vaut à Sainte-Suzanne d’être citée dans l’Histoire d’Angleterre comme “le seul château que Guillaume le Conquérant lui-même ne put jamais prendre” ("St.Suzanne, the one castle which the Conqueror himself could never take" cf. E. Freeman, Sketches of travel in Normandie and Maine, London,1897).

Le 10 août 1425, lors de la guerre de Cent Ans, la place de Sainte-Suzanne, commandée par un compagnon de Jeanne d'Arc, Ambroise de Loré, est prise par les Anglais de Salisbury (Thomas Montaigu, Comte de Salisbury) qui bénéficient d'armes nouvelles : Des bombardes et des canons.

Quatorze ans plus tard, en décembre 1439, la cité est reprise par Jean V de Bueil, compagnon de Jeanne d’Arc, alors que le commandant Matthew Gough est absent, grâce à la trahison d'un soldat anglais marié à une suzannaise, John Ferremen, qui fait entrer les Français de nuit dans la cité assiégée.

Le sire de Bueil s'installe alors dans la place, aux détriments des légitimes propriétaires, la famille d'Alençon. C'est le roi de France Charles VII qui obligera le Sire de Bueil à rendre la ville à la famille d'Alençon, en 1447. Un an plus tard, les Anglais quittent la région.

Au début du XVIIe siècle, Guillaume Fouquet de la Varenne, Marquis de La Flèche, homme d'État, et intime d'Henri IV, achète la baronnie à la Reine Margot, première épouse de Henri IV. Il veut transformer l'inhospitalière forteresse en demeure résidentielle, mais la disgrâce de Guillaume Fouquet après l'assassinat d'Henri IV en 1610 ne lui permettra pas d'achever son projet. Il reste quand même le logis.

Durant le XVIIe siècle, château passera dans différentes familles : Après la descendance de Fouquet, à la famille de Champagne de Villaines, puis à celles de César Gabriel de Choiseul-Praslin et de Charles de Beauvau-Craon et enfin à Ange Hyacinthe Maxence, baron de Damas.

En juillet 1661, par lettres patentes, Louis XIV concède « Foires & marchez pour la Ville de Saincte Suzanne le premier mardi de janvier, le mardi de la semaine Sainte, le jour de la Saint Mathieu, le jour de la Saint Eutrope, le jour de la Sainte Suzanne et le lendemain de la fête de tous les Saints".

La ville basse se développe avec l'installation de moulins à farine, à tan, à foulon, à papier.
La ville haute, avec ses manoirs et ses maisons remaniées au XVIIIe s., révèle la prospérité de la bourgeoisie suzannaise de l'ancien Régime.

En octobre 1793, René Jean Baptiste Serveau, avocat, qui en 1788 avait pris à ferme le domaine de Sainte-Suzanne, avec l'homme politique Mathurin Julien Dalibourg, brûle le chartier du château.

La commune sera occupée par les prussiens en janvier 1870.

Le Général de Gaulle sera accueilli à Sainte-Suzanne par les anciens résistants de la région les 9 et 10 août 1947.

Au XXe siècle, la commune acquiert progressivement les bâtiments les plus emblématiques de la cité.


dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Histoire%20de%20Sain...(Mayenne)/fr-fr/

Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne) by sybarite48

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Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)

Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)


L’ancienne Porte du guichet , qui abritait l'ancien pont-levis nord, défendu par sa tour, puis par un ravelin (plateforme d'artillerie).


La cité de Sainte-Suzanne.


Le château de Sainte-Suzanne occupe un éperon rocheux dominant la vallée de l'Erve.

Le site a été occupé par la tribu gauloise des Arviens qui adonné son nom à la rivière l'Erve.

Le château du Moyen Âge a été construit sur une structure préexistante remontant à l'époque gallo-romaine.

Le donjon quadrangulaire du XIe siècle est construit par les vicomtes de Beaumont-au-Maine, Fresnay et Sainte-Suzanne. Il est protégé par des tours rondes. Une grosse tour ronde du XIIIe siècle, la tour Farinière, double le donjon.

Le site est surtout connu depuis le siège infructueux de Guillaume le Conquérant de 1083 à 1086. Malgré un siège de trois ans, Guillaume ne parvint jamais à prendre la Cité à Hubert II vicomte de Beaumont, ce qui vaut à Sainte-Suzanne d’être citée dans l’Histoire d’Angleterre comme “le seul château que Guillaume le Conquérant lui-même ne put jamais prendre” ("St.Suzanne, the one castle which the Conqueror himself could never take" cf. E. Freeman, Sketches of travel in Normandie and Maine, London,1897).

Le 10 août 1425, lors de la guerre de Cent Ans, la place de Sainte-Suzanne, commandée par un compagnon de Jeanne d'Arc, Ambroise de Loré, est prise par les Anglais de Salisbury (Thomas Montaigu, Comte de Salisbury) qui bénéficient d'armes nouvelles : Des bombardes et des canons.

Quatorze ans plus tard, en décembre 1439, la cité est reprise par Jean V de Bueil, compagnon de Jeanne d’Arc, alors que le commandant Matthew Gough est absent, grâce à la trahison d'un soldat anglais marié à une suzannaise, John Ferremen, qui fait entrer les Français de nuit dans la cité assiégée.

Le sire de Bueil s'installe alors dans la place, aux détriments des légitimes propriétaires, la famille d'Alençon. C'est le roi de France Charles VII qui obligera le Sire de Bueil à rendre la ville à la famille d'Alençon, en 1447. Un an plus tard, les Anglais quittent la région.

Au début du XVIIe siècle, Guillaume Fouquet de la Varenne, Marquis de La Flèche, homme d'État, et intime d'Henri IV, achète la baronnie à la Reine Margot, première épouse de Henri IV. Il veut transformer l'inhospitalière forteresse en demeure résidentielle, mais la disgrâce de Guillaume Fouquet après l'assassinat d'Henri IV en 1610 ne lui permettra pas d'achever son projet. Il reste quand même le logis.

Durant le XVIIe siècle, château passera dans différentes familles : Après la descendance de Fouquet, à la famille de Champagne de Villaines, puis à celles de César Gabriel de Choiseul-Praslin et de Charles de Beauvau-Craon et enfin à Ange Hyacinthe Maxence, baron de Damas.

En juillet 1661, par lettres patentes, Louis XIV concède « Foires & marchez pour la Ville de Saincte Suzanne le premier mardi de janvier, le mardi de la semaine Sainte, le jour de la Saint Mathieu, le jour de la Saint Eutrope, le jour de la Sainte Suzanne et le lendemain de la fête de tous les Saints".

La ville basse se développe avec l'installation de moulins à farine, à tan, à foulon, à papier.
La ville haute, avec ses manoirs et ses maisons remaniées au XVIIIe s., révèle la prospérité de la bourgeoisie suzannaise de l'ancien Régime.

En octobre 1793, René Jean Baptiste Serveau, avocat, qui en 1788 avait pris à ferme le domaine de Sainte-Suzanne, avec l'homme politique Mathurin Julien Dalibourg, brûle le chartier du château.

La commune sera occupée par les prussiens en janvier 1870.

Le Général de Gaulle sera accueilli à Sainte-Suzanne par les anciens résistants de la région les 9 et 10 août 1947.

Au XXe siècle, la commune acquiert progressivement les bâtiments les plus emblématiques de la cité.


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Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne) by sybarite48

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Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)

Sainte-Suzanne-et-Chammes (Mayenne)


La Porte de Fer ou porte de la herse.

Entrée secondaire du château ou poterne. Au XIIe siècle, il s’agissait d’un simple passage. À la fin du XIIIe siècle, le système de défense a été renforcé par l’adjonction d’un mur en avancée sur le rempart, dans lequel ont été ménagés deux assommoirs.


La cité de Sainte-Suzanne.


Le château de Sainte-Suzanne occupe un éperon rocheux dominant la vallée de l'Erve.

Le site a été occupé par la tribu gauloise des Arviens qui adonné son nom à la rivière l'Erve.

Le château du Moyen Âge a été construit sur une structure préexistante remontant à l'époque gallo-romaine.

Le donjon quadrangulaire du XIe siècle est construit par les vicomtes de Beaumont-au-Maine, Fresnay et Sainte-Suzanne. Il est protégé par des tours rondes. Une grosse tour ronde du XIIIe siècle, la tour Farinière, double le donjon.

Le site est surtout connu depuis le siège infructueux de Guillaume le Conquérant de 1083 à 1086. Malgré un siège de trois ans, Guillaume ne parvint jamais à prendre la Cité à Hubert II vicomte de Beaumont, ce qui vaut à Sainte-Suzanne d’être citée dans l’Histoire d’Angleterre comme “le seul château que Guillaume le Conquérant lui-même ne put jamais prendre” ("St.Suzanne, the one castle which the Conqueror himself could never take" cf. E. Freeman, Sketches of travel in Normandie and Maine, London,1897).

Le 10 août 1425, lors de la guerre de Cent Ans, la place de Sainte-Suzanne, commandée par un compagnon de Jeanne d'Arc, Ambroise de Loré, est prise par les Anglais de Salisbury (Thomas Montaigu, Comte de Salisbury) qui bénéficient d'armes nouvelles : Des bombardes et des canons.

Quatorze ans plus tard, en décembre 1439, la cité est reprise par Jean V de Bueil, compagnon de Jeanne d’Arc, alors que le commandant Matthew Gough est absent, grâce à la trahison d'un soldat anglais marié à une suzannaise, John Ferremen, qui fait entrer les Français de nuit dans la cité assiégée.

Le sire de Bueil s'installe alors dans la place, aux détriments des légitimes propriétaires, la famille d'Alençon. C'est le roi de France Charles VII qui obligera le Sire de Bueil à rendre la ville à la famille d'Alençon, en 1447. Un an plus tard, les Anglais quittent la région.

Au début du XVIIe siècle, Guillaume Fouquet de la Varenne, Marquis de La Flèche, homme d'État, et intime d'Henri IV, achète la baronnie à la Reine Margot, première épouse de Henri IV. Il veut transformer l'inhospitalière forteresse en demeure résidentielle, mais la disgrâce de Guillaume Fouquet après l'assassinat d'Henri IV en 1610 ne lui permettra pas d'achever son projet. Il reste quand même le logis.

Durant le XVIIe siècle, château passera dans différentes familles : Après la descendance de Fouquet, à la famille de Champagne de Villaines, puis à celles de César Gabriel de Choiseul-Praslin et de Charles de Beauvau-Craon et enfin à Ange Hyacinthe Maxence, baron de Damas.

En juillet 1661, par lettres patentes, Louis XIV concède « Foires & marchez pour la Ville de Saincte Suzanne le premier mardi de janvier, le mardi de la semaine Sainte, le jour de la Saint Mathieu, le jour de la Saint Eutrope, le jour de la Sainte Suzanne et le lendemain de la fête de tous les Saints".

La ville basse se développe avec l'installation de moulins à farine, à tan, à foulon, à papier.
La ville haute, avec ses manoirs et ses maisons remaniées au XVIIIe s., révèle la prospérité de la bourgeoisie suzannaise de l'ancien Régime.

En octobre 1793, René Jean Baptiste Serveau, avocat, qui en 1788 avait pris à ferme le domaine de Sainte-Suzanne, avec l'homme politique Mathurin Julien Dalibourg, brûle le chartier du château.

La commune sera occupée par les prussiens en janvier 1870.

Le Général de Gaulle sera accueilli à Sainte-Suzanne par les anciens résistants de la région les 9 et 10 août 1947.

Au XXe siècle, la commune acquiert progressivement les bâtiments les plus emblématiques de la cité.


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Vézelay (Yonne) by sybarite48

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Vézelay (Yonne)

Vézelay (Yonne)


La Porte Neuve.

La porte Neuve date du XIVe siècle et fut reconstruite au XVIe siècle.

Les remparts, construits d'une double ceinture, entre le XIIème et le XIVème siècle, ont été démantelés en1730.

Mehun-sur-Yèvre (Cher) by sybarite48

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Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Porte de l'Horloge.

Au XIIIe siècle, l'enceinte du château est doublée par une seconde enceinte entourant la ville. Cette seconde enceinte fortifiée est percée de deux portes: la porte Barbarine et la porte de Bourges. La porte de Bourges est la seule qui subsiste, en prenant le nom de Porte de l'Horloge, une horloge ayant été installée en 1396 à la demande du duc de Berry. Au XIXe siècle, l'horloge était encore placée dans une lucarne-pignon, et non en façade. Il est probable qu'à l'origine, l'horloge était sur le lanterneau.


www.ville-mehun-sur-yevre.fr/La-porte-de-l-Horloge)

Mehun-sur-Yèvre (Cher) by sybarite48

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Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Porte de l'Horloge.

Au XIIIe siècle, l'enceinte du château est doublée par une seconde enceinte entourant la ville. Cette seconde enceinte fortifiée est percée de deux portes: la porte Barbarine et la porte de Bourges. La porte de Bourges est la seule qui subsiste, en prenant le nom de Porte de l'Horloge, une horloge ayant été installée en 1396 à la demande du duc de Berry. Au XIXe siècle, l'horloge était encore placée dans une lucarne-pignon, et non en façade. Il est probable qu'à l'origine, l'horloge était sur le lanterneau.


www.ville-mehun-sur-yevre.fr/La-porte-de-l-Horloge)

Mehun-sur-Yèvre (Cher) by sybarite48

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Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Mehun-sur-Yèvre (Cher)

Porte de l'Horloge.

Au XIIIe siècle, l'enceinte du château est doublée par une seconde enceinte entourant la ville. Cette seconde enceinte fortifiée est percée de deux portes: la porte Barbarine et la porte de Bourges. La porte de Bourges est la seule qui subsiste, en prenant le nom de Porte de l'Horloge, une horloge ayant été installée en 1396 à la demande du duc de Berry. Au XIXe siècle, l'horloge était encore placée dans une lucarne-pignon, et non en façade. Il est probable qu'à l'origine, l'horloge était sur le lanterneau.


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Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire).

Porte Poitevine.


Construite au XIIIe siècle et remaniée au XVIe siècle, la porte Poitevine est une ancienne porte percée dans la partie méridionale de l'enceinte protégeant la partie basse de la ville. Elle doit son nom à sa situation sur la route qui sort de Loches pour se diriger vers Poitiers.

Il ne reste qu'un côté de la porte.

Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire)

Montreuil-Bellay (Maine-et-Loire).

Château.

Vue sur la barbacane dite "à gorge ouverte" depuis l'entrée du château.

La barbacane était un ouvrage extérieur avancé défendant souvent une porte. L'ouvrage est dit "à gorge ouverte", s'il est ouvert sur un côté.