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Blois (Loir-et-Cher). by sybarite48

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Blois (Loir-et-Cher).

Blois (Loir-et-Cher)


Château de Blois.

L'aile Louis XII (XVe) et à droite la salle des États généraux (XIIIe).

A partir de 1498, Louis XII transforme la forteresse médiévale en demeure de plaisance. Ce nouveau logis, d'inspiration italienne dans les décors, donne un avant-goût de la Renaissance française.
Côté place, la longue façade en brique et pierre abrite la statue équestre du roi Louis XII.


La Salle des États Généraux est la plus ancienne salle seigneuriale de France. Les États Généraux de France s'y réunirent à deux reprises, en 1576 et 1588, convoqués par le roi Henri III, pour tenter d’endiguer les Guerres de Religion qui ravagent le royaume.

Lors des états généraux de Blois du 6 décembre 1576 au 5 mars 1577, l'édit de pacification* accordé par Henri III aux Huguenots fut révoqué. Contrairement à l'attente des malcontents, qui avaient demandé la réunion, les députés envoyés aux états généraux étaient en majorité issus de milieux catholiques. ces mêmes états généraux échouèrent à trouver une solution à la crise financière que traversait le royaume.

Les États généraux du 16 octobre 1588 au16 janvier 1589, sont convoqués à Blois par Henri III, sur fond de lutte entre les différentes factions de la huitième guerre de religion. Ces États généraux furent marqués par l'assassinat** du duc Henri Ier de Guise (Henri le Balafré) sur ordre du roi, le 23 décembre 1588.


* L’édit de Beaulieu, ou paix de Loches, est signé à Beaulieu-lès-Loches par Henri III le 6 mai 1576. Il reconnait le culte protestant et lui accorde des garanties. Il met fin à la cinquième guerre de religion.

** Lors de la réunion des États généraux à Blois, le duc de Guise put imposer ses volontés au roi grâce à sa majorité ligueuse. Le roi voyant son pouvoir se réduire sans pouvoi retourner la situation par des moyens politiques, conçut l'assassinat du chef de la Ligue.
Henri de Guise, pourtant avertit que le roi lui préparait un guet-apens, mais ne pouvant croire que le roi puisse s'en prendre à sa personne, se laissa attirer dans la chambre du roi, le matin du 23 décembre. Quelques uns des gardes personnels du roi, les Quarante-Cinq, l'assassinèrent sans qu'il puisse appeler à l'aide ses propres gardes. Le même jour, le corps du duc de Guise fut brûlé dans une salle du château, et ses cendres jetées dans la Loire. Son fils Charles fut arrêté le même jour, et son frère Louis, cardinal de Lorraine, qui présidait le clergé dans les états généraux, fut assassiné le lendemain et ces cendres également jetées dans la Loire.

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Château. Vestige du logis royal au pied du donjon.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à qualques mêtre, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Château. Vestige du logis royal au pied du donjon.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à qualques mêtre, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


Le logis royal. Entre le XIIIe et le XVIe s., on construit de vastes logis à trois étages au pied du donjon, à l’intérieur de l’enceinte castrale. Le château étant abandonné dès le XVIIe siècle, Il ne reste que quelques murs ruinés suite à leur effondrement au XVIIIe.




La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


En bas, au premier plan, l'emplacement des logis royaux. Une tourelle d'escalier reliait la base avec le chemin de ronde de la chemise., desservant les étages au passage.

La tourelle ciculaire, ruinée, abritait un escalier en vis étroit desservant les étages des logis ainsi qu'une petite pièce voûtée à chaque étage. Ces salles disposaient d'une cheminée et de coussièges sous les fenêtres. La terrasse de la tour était munie d'un parapet percé d'archères à croisillons. Elle communiquait avec le chemin de ronde de la chemise du donjon. Cette tour aurait été construite entre le XIIIe et XVe siècle. Elle était peut-être antérieure au reste du logis et a été transformée au XVIe siècle. Cette tourelle a été détruite en 1940.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à quelques mètres, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Montrichard (Loir-et-Cher) by sybarite48

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Montrichard (Loir-et-Cher)

Montrichard (Loir et Cher).


L'emplacement des logis royaux, sous la tour carrée.

De vastes logis à trois étages sont construits au pied du donjon, à l’intérieur de l’enceinte castrale, face au Cher, entre le XIIIe et le XVIe siècle. Le château étant abandonné à partir du XVIIe siècle, les logis tombent en ruines au XVIIIe siècle et il ne reste que quelques pans de murs. Un obus français détruira une petite tour avec escalier desservant les logis en 1940.


La forteresse.


Le château est construit entre 1110 et 1128.

En 1109, Hugues 1er, Seigneur d’Amboise et de Chaumont, décide de faire construire le donjon de pierres, comportant un logis seigneurial, en lieu d'une tour de bois construite par Foulque Nerra, vers 1005 (Cette tour de bois se situait sur le monticule derrière le donjon actuel).

Le donjon est à environ 67 mètres au-dessus du niveau du Cher. Il était composé d’un rez-de chaussée surmonté de trois étages :

Le rez-de Chaussée devait servir de caves et de cachots.
Le premier étage servait de magasin.
Le deuxième étage, avec les ouvertures en arc brisé, était le logis seigneurial.
Le dernier étage servait de salle commune où était entreposés les projectiles.

Les étages étaient séparés par des planchers.

Le dernier étage était pourvu d’un chemin de ronde.

Des traces laissent penser que le donjon était terminé par un toit à double pente.

Un escalier taillé dans la masse mène au sommet.

Un puits se trouvait à l’intérieur du donjon.

Le donjon était entouré d'une enceinte située à qualques mêtre, la "chemise". Cette chemise était protégée à l'origine par des fossés.

Il y avait une seconde enceinte, un peu plus bas. Au XIIIème siècle, une troisème enceinte est contruite, qui englobait la chapelle royale située à l'emplacement de l'église Sainte-Croix actuelle.

Un souterrain permettait de fuir vers le nord, dans la forêt.

Des logis royaux sont ajoutés sous Louis XI.


Voir : Cécile Léon-Holzem, « Montrichard – Le château », ADLFI. Archéologie de la France - URL : journals.openedition.org/adlfi/37668

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


Rue des Fossés Saint-Ours.

Derrière le pont sur lequel passe la rue Saint-Ours: Le Logis Royal, côté oratoire Anne de Bretagne.

La rue Saint-Ours passe entre les deux tours.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


Le Logis royal (façade orientale) vu depuis le Jardin Public.

De gauche à droite : La tour Agnès Sorel, le château médiéval et à moitié droite le château Renaissance.


Le "logis royal" des XIVe et XVe, gothique flamboyant, est bâti sur la pointe de l'éperon rocheux dominant la vallée de l'Indre.

Le Logis royal était l'une des résidences favorites des Valois pendant la guerre de cent ans.

Trois femmes illustres ont marqué son histoire : Jeanne D'Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et première maîtresse royale officielle, et Anne de Bretagne.

La grande tour, dite "Tour Agnès Sorel", appelée ainsi parce que la maîtresse de Charles VII y aurait eu sa chambre, existait seule au XIIIème siècle.

Le bâtiment qui jouxte la tour, dit "Vieux Logis", est du XIVème siècle, il est attribué à Charles VII. Il comprend encore des élément féodaux : quatre tourelles reliées par un chemin de ronde.
Le Vieux Logis fut complété au nord, sous Charles VIII et Louis XII, par un bâtiment Renaissance. L'extrémité de l'aile Louis XII est continuée par une terrasse avec balustrade.


Le jardin public a été inauguré en 1909.

En 1907, les élus lochois décidaient l'aménagement d'un jardin public entre le Grand Mail et l'Indre. Le 13 juin 1910, le jardin est inondé par une crue de l'Indre, le kiosque à musique à les pieds dans l'eau. A l'occasion des fêtes du 15 août 1910, la musique du 66eRégiment d'Infanterie exerça ses talents dans le kiosque à musique du jardin public. Le 26 août 1938, les fêtes d'été ont lieu dans le jardin public.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)

La tour Saint-Antoine, le Logis royal, et l'ancien moulin des Cordeliers.


La Tour Saint-Antoine (XVIe).

Le gros oeuvre est terminé en 1534 et les sculptures en 1553. Cette tour, de 52 mètres de hauteur, aurait servi à la fois de clocher à une église du même nom*, et de beffroi à la ville. La tour occuperait la place d'une ancienne chapelle qui aurait été fondée, vers 1010, par Hildegarde*, femme de Foulques Nerra*, comte d'Anjou.

Les étages inférieurs sont ornés de médaillons, représentant des têtes, d'époque François Ier.

L'avant dernier étage est orné de lettres, de monogrammes et de blasons rappelant les donateurs qui ont permis l'achèvement de la tour. On reconnait, en particulier, la croix de Savoie, souvenir d'Honorat de Savoie qui fut gouverneur de Loches au XVIème siècle, ainsi que les initiales de son épouse ; Jeanne de Foix.

Le dernier étage est surmonté d'un dôme avec une lanterne.


* Charles VII autorisa en novembre 1441 la construction des remparts de maçonnerie que nous voyons encore aujourd'hui. Les lochois ont alors transporté dans ce quartier neuf en bas des remparts, leurs personnes et leurs commerces.Pour leur service, on y érigea donc une chapelle ; l'église Saint-Antoine, dont le clocher a survécu. L'église Saint-Antoine ne fut jamais érigée au rang de paroisse.

* Hildegarde était la mère de Geoffroy II surnommé "Martel", sa nourrice ayant été la femme d'un forgeron. Geoffroy II succédera à son père Foulques Nerra. Il avait le même caractère que son père, il s'empara des terres de son cousin, il se rendit maître de la Saintonge. Il s'opposa à son père au point d'allumer une guerre. Foulques fut vainqueur, et mettant une selle sur le dos de son fils, il le fit marcher ainsi pendant
plusieurs milles :

« Ah ! tu es donc vaincu, enfin ! lui dit-il, en le repoussant plusieurs fois du pied.
— Oui, répondit Geoffroy, vaincu, mais par toi seulement parce que tu es mon père. Pour tout autre je suis invincible ! »

* Foulques III Nerra est fils de Geoffroy Ier dit Grisegonelle, comte d'Anjou. A la fin du Xe siècle, Foulques combat ses voisins sans cesse pour agrandir son territoire. Son ennemi principal est Eudes II, comte de Blois qui possède notamment Chinon, Tours et Amboise. Pour l’encercler, Foulques Nerra construit les donjons en pierre de Montrésor, Sainte-Maure, Montbazon, Semblançay, Langeais, Montrichard et Loches. Il parviendra à enlever Angers et Saumur à son adversaire. Il est à l'origine du formidable essor de la maison d'Anjou. Il tentera de racheter ses crimes par de nombreux gestes religieux : Il se rend quatre fois en pèlerinage à Jérusalem, fonde de très nombreux prieurés, églises et abbayes. Il meurt à Metz, de retour de son quatrième pélerinage à Jérusalem, en 1040. Il est enterré en l'abbaye de Beaulieu-les-Loches.


(Edmond Gautier - Histoire du donjon de Loches - Impr. de A. Nuret, 1881.)


Le Logis royal.


Le "logis royal" des XIVe et XVe, gothique flamboyant, est bâti sur la pointe de l'éperon rocheux dominant la vallée de l'Indre.

Le Logis royal était l'une des résidences favorites des Valois pendant la guerre de cent ans.

Trois femmes illustres ont marqué son histoire : Jeanne D'Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et première maîtresse royale officielle, et Anne de Bretagne.

La grande tour, dite "Tour Agnès Sorel", appelée ainsi parce que la maîtresse de Charles VII y aurait eu sa chambre, existait seule au XIIIème siècle.

Le bâtiment qui jouxte la tour, dit "Vieux Logis", est du XIVème siècle, il est attribué à Charles VII. Il comprend encore des élément féodaux : quatre tourelles reliées par un chemin de ronde.
Le Vieux Logis fut complété au nord, sous Charles VIII et Louis XII, par un bâtiment Renaissance. L'extrémité de l'aile Louis XII est continuée par une terrasse avec balustrade.


L'ancien moulin des Cordeliers.

Un moulin existait déjà au XIIe siècle. Il était propriété de la collégiale. Il est vendu à la Révolution. Au début du XIXe siècle, une Américaine rachète et transforme le site en filature, en particulier pour fournir l'armée en draps. En 1900, le propriétaire en est Daniel Wilson qui se trouve être le gendre du président Jules Grévy. Daniel Wilson revend la filature a de nouveaux propriétaires qui en fond de nouveau une minoterie.
Dans les années 1980, la minoterie est rachetée par la société Les Grands Moulins de Paris.
En 2000, la minoterie est abandonnée et les bâtiments transformés en résidence touristique.

www.lanouvellerepublique.fr/loches/le-patrimoine-industri...

Angers (Maine-et-Loire) by sybarite48

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Angers (Maine-et-Loire)

Angers (Maine-et-Loire)

Le Logis royal.

La chapelle, le plus grand bâtiment, à été construite par Louis II. Le roi René édifie le logis royal, le plus petit bâtiment accolé à la chapelle (1435-1440).

Angers (Maine-et-Loire). by sybarite48

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Angers (Maine-et-Loire).

Angers (Maine-et-Loire).

Le château d'Angers.

Cette forteresse de schiste et de calcaire fut édifiée par Blanche de Castille et Saint-Louis (Louis IX).

Le Roi louis IX, âgé de 17 ans, pour combattre Henri III, successeur de Jean Sans Terre et Pierre duc de Bretagne, fit construire entre 1230 et 1240, cette énorme forteresse. Pour construire les remparts, il pris les matériaux de la cathédrale d'Angers alors en construction.

Pour payer, en partie, la construction de la forteresse royale, un impôt sera levé sur les bourgeois d'Angers.

The Chateau d'Angers is a medieval fortress.

This fortress shale and limestone was built by Blanche of Castile and Saint Louis (Louis IX).

The King Louis IX, 17 years old, to fight Henry III, successor of John Lackland and Peter Duke of Brittany, built between 1230 and 1240, this huge fortress. To build the walls, he took the materials of the Cathedral of Angers, then under construction.

To pay, in part, the construction of the royal fortress, a tax will be levied on the citizens of Angers.


Au milieu de la forteresse, le logis royal construit par le roi René entre 1435 et 1440. Au logis royal est accolée la vaste chapelle à nef unique construite vers 1410 par Louis II et son épouse Yolande d'Aragon..

In the middle of the fortress, the royal house built by King René between 1435 and 1440. The royal house is attached to the vast chapel with a single nave built around 1410 by Louis II and his wife Yolande of Aragon.


La cathédrale Saint-Maurice.

L'édifice actuel est essentiellement des 12e et 13e siècles.

Les deux flèches sont plus récentes. La construction de la flèche nord se fit en 1518 et celle de la flèche sud en 1523.


The Cathedral of St. Maurice.

The current building is mainly 12th and 13th centuries.

The two pointed spiers are more recent. The construction of the north arrow is made ??in 1518 and that of the southern boom in 1523.

Loches (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Loches (Indre-et-Loire)

Loches (Indre-et-Loire)


Le Logis royal (façade orientale).

De gauche à droite : La tour Agnès Sorel, le château médiéval et à moitié droite le château Renaissance.


Le "logis royal" des XIVe et XVe, gothique flamboyant, est bâti sur la pointe de l'éperon rocheux dominant la vallée de l'Indre.

Le Logis royal était l'une des résidences favorites des Valois pendant la guerre de cent ans.

Trois femmes illustres ont marqué son histoire : Jeanne D'Arc, Agnès Sorel, favorite de Charles VII et première maîtresse royale officielle, et Anne de Bretagne.

La grande tour, dite "Tour Agnès Sorel", appelée ainsi parce que la maîtresse de Charles VII y aurait eu sa chambre, existait seule au XIIIème siècle.

Le bâtiment qui jouxte la tour, dit "Vieux Logis", est du XIVème siècle, il est attribué à Charles VII. Il comprend encore des élément féodaux : quatre tourelles reliées par un chemin de ronde.
Le Vieux Logis fut complété au nord, sous Charles VIII et Louis XII, par un bâtiment Renaissance. L'extrémité de l'aile Louis XII est continuée par une terrasse avec balustrade.

Chinon (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Chinon (Indre-et-Loire)

Chinon (Indre-et-Loire)


Forteresse royale.

Les logis royaux et la Tour du Coudray.


Le corps des logis royaux.

Il fut reconstruit aux XIVe et XVe siècles, mais l'emplacement était occupé depuis le XIIe siècle.

C'est là que s'installa le dauphin Charles à compter de 1427.

Les logis royaux s’organisent en trois corps de bâtiment autour d’une cour. Seule subsiste de cet ensemble l’aile sud.

La "Salle de la rencontre" (entre Jeanne d'Arc et Charles VII) se trouvait au premier étage d'un bâtiment dont il ne reste plus que le pignon ouest et une belle cheminée.

L'aile sud qui nous est parvenue à peu près intacte, était occupée par les appartements de Charles VII et de son épouse Marie d'Anjou. Les appartements du roi et de son épouse sont au premier étage. Les pièces de service et la salle à manger sont au rez-de-chaussée.

Marie d'Anjou sera la principale occupante du château, pendant plus de 25 ans, de 1435 à 1461. A partir de 1454, le logis royal de Chinon devint la résidence de prédilection de la reine. Marie avait reçu le domaine en douaire le 27 mai 1423 et elle le conserva après la mort de son époux, ses droits ayant été confirmés par Louis XI.

À partir du XVIe siècle, la cour royale cesse de séjourner au château où l’on installe une petite garnison dirigée par un gouverneur.


La Tour du Coudray).

La forteresse royale est divisée en trois châteaux: Le château du Milieu, le fort du Coudray et le fort Saint Georges (actuellement détruit).

La tour du Coudray fait partie du fort du Coudray construit au XIIe siècle. Le nom de "Coudray daterait du Moyen-Age. Peut-être ce nom vient-il simplement de la présence d’un bosquet de noisetiers dans le fort (« coudres ou coudrier» en vieux français).

La tour du Coudray est l’une des trois tours qui subsistent des travaux effectués par Philippe Auguste après sa prise de la forteresse en 1205*. Elle flanquait une porte avec herse et pont-levis. La tour dispose de latrines et de cheminées. Sa base donne accès à un souterrain qui permettait de fuir en cas de siège.
La tour du Coudray fut utilisée pour emprisonner les dignitaires templiers au début du XIVe siècle. Jeanne d'Arc y résida en 1429**.


* Le siège de 1205 :
Dès 1200, Jean Sans Terre a conscience de l’importance stratégique et symbolique de Chinon, capitale continentale de l’Angleterre, en y lançant des travaux de fortifications menés par Maître Urri. Après la prise de Château-Gaillard (1204), Philippe Auguste descend vers la Touraine. À l’automne 1204, ses armées s’emparent du Castel Rousset (fort Saint-Georges), abandonné par la garnison qui s'est réfugiée dans le château du Milieu.
Urri est le responsable de la défense : il conçoit des engins, possède une équipe de charpentiers, un artificier, Albert, ainsi qu’un ingénieur des ponts et chaussées, Gautier le Petit.
La façade est du château du Milieu supporte mal le choc des assauts. Des machines, installées dans le fort Saint-Georges, ouvrent une brèche dans le rempart. Les assaillants prennent pied au Milieu et assiègent le fort du Coudray.
Jean, resté en Angleterre, pensait la forteresse imprenable mais elle se rend à Philippe Auguste le 23 juin 1205.
Le roi de France reconstruit le château qui a beaucoup souffert de ce long siège. Il favorise des techniques défensives modernes, avec des constructions de formes circulaires, tels le donjon du Coudray et la tour des Chiens.


** En mars 1429, Jeanne d’Arc vient à Chinon rencontrer Charles VII. Cette rencontre est décrite comme une scène mythique : "La Reconnaissance".
En réalité, il y eut deux entrevues à Chinon. La première se déroule le 25 février 1429, deux jours après l’arrivée de Jeanne. Elle est menée aux appartements du roi qui la reçoit en petit comité. Elle est logée dans le donjon du Coudray.
Sa virginité est vérifiée par une assemblée de femmes présidée par la belle-mère de Charles VII, Yolande d’Aragon. Ensuite, on l’envoie à Poitiers pour que des théologiens puissent juger de sa bonne foi.
À son retour, Jeanne est à nouveau reçue par le roi Charles VII. Cette présentation officielle de Jeanne sera décrite dans une scène mythique et miraculeuse : La Reconnaissance.

Chinon (Indre-et-Loire) by sybarite48

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Chinon (Indre-et-Loire)

Chinon (Indre-et-Loire)


Le logis Royal.

Le château est un ensemble de trois parties inégales : le fort Saint-Georges ; le château du Milieu ; le fort du Coudray.

Le logis Royal est une partie du château du Milieu. Les logis royaux sont construit aux XIVe et XVe siècle.


The castle is a group of three unequal parts: Fort Saint-Georges; Middle Castle; Fort du Coudray.

The "Logis Royal" is a part of the castle of Middle. The "Logis-Royal is built in the fourteenth and fifteenth century.